dimanche 25 mars 2018

dimanche 25 mars -...y a pas que l'accordéon... y aussi le tango argentin et le bandonéon...

A Noël, "les petits" m'ont offert plusieurs albums de bandes dessinées. J'ai pris un tel plaisir à les découvrir et à les lire que l'envie m'est venue de continuer à explorer ce monde. Entreprise d'autant plus facile que le Parvis de Pau - centre culturel de l'hyper Leclerc - est on ne peut mieux pourvu en la matière.

C'est ainsi que je me trouve actuellement en train de savourer trois albums dédiés à la culture de l'Argentine et donc au tango et donc au bandonéon. Trois albums qui - le hasard fait bien les choses !- se répondent au fil des pages.

 
 
- "Gran café Tortoni",  éditions Grand Angle, Philippe Charlot - Winoc, 2018 Bamboo Edition
 
- "Borges, le labyrinthe de l'infini", éditions nouveau monde graphic, Nicolas Castells et Oscar Pantoja, 2017.
 
- "Bandoneon", éditions Aire Libre, Jorge Gonzalez, Dupuis 2013.
 
Trois albums que je vous recommande. Et auxquels il faut ajouter dans ce dernier ouvrage mention d'un cd de Marcelo Mercadante intitulé "Con Un Taladro en el Corazon",  Nuba Records 2005.
 
Quatre objets culturels différents quant à leur style, mais ensemble d'une forte unité et d'un très grand intérêt pour qui aime l'Argentine, sa vie, son œuvre... Je veux dire le tango, ses états d'âme et son instrument de prédilection, le bandonéon.  Notons, par exemple, qu'il est question du café Tortoni dans l'ouvrage consacré à Borges, ce qui suggère qu'en effet les trois bandes dessinées forment ensemble une espèce de réseau.  


mercredi 21 mars 2018

mercredi 21 mars - émile parisien quintet à orthez

Dimanche 18 mars, à 20h30, au théâtre Francis Planté à Orthez, Emile Parisien Quintet en concert.

Ce quintet est composé d'Emile Parisien, saxophone, de Manu Codjia, guitare, de Roberto Negro, piano, de Simon Tailleu, contrebasse et de Mario Costa, batterie.

A 19 heures, au bistro face au théâtre, alors qu'on a commandé deux portos, Emile, Roberto et Manu viennent boire une bière bien fraiche avant de rejoindre les coulisses. On est content de les rencontrer et d'échanger quelques propos de peu d'importance mais pleins de convivialité et d'amitié. Un moment de détente avant l'inéluctable montée du stress.

Du concert lui-même, je dirais volontiers qu'il nous entraine dans des chemins explorés certes par le free jazz et le jazz le plus contemporains, mais qui nous introduit aussi vers des régions sonores encore à découvrir. Une liberté d'autant plus explosive qu'elle s'appuie de toute évidence sur une organisation complexe au service d'une créativité époustouflante.


21h01. Le quintet se met en place. On est trop près de la scène pour avoir la totalité des cinq musiciens sur une seule photo. D'entrée, un premier morceau qui sonne comme un premier round.


21h01. Emile, droit comme un i. Une posture hiératique qui sied à son saxo qui nous propulse vers des sommets encore inouïs.


21h03.Les trois images ci-dessous sont, à mon sens, emblématiques du style ou, si l'on veut, de la gestuelle d'Emile. Une tension et une puissance hors du commun.


21h04.

21h05.

21h07. J'ai réussi à saisir une image du batteur. Je suis content. Discrétion physique, mais en revanche une vraie présence jusqu'à un solo final magnifique.


21h11. Une attitude d'Emile qui me plait beaucoup : on comprend à quel point il est un leader attentif à ses collègues et bienveillant. Un premier de cordée dirait qui l'on sait !


 21h58. A nouveau, deux images significatives de la présence d'Emile : leader du quintet et mélodiste hors pair...

21h59... et d'autre part le musicien en transes.


Mais enfin il y a aussi un autre Emile Parisien... Celui  qui se déplace sans cesse auprès de ses collègues, qui en quelque sorte les anime. C'est pourquoi, à côté de son style comme musicien, comme saxophoniste, je parlerais volontiers de la danse d'Emile, une gestuelle qui participe de la spécificité du jazz du quintet.


Alors que nous quittons la salle de concert et que nous sommes sur le point de reprendre le chemin du retour, je pense, je ne sais pourquoi, à ce mot du philosophe Bergson qui fait cette remarque tellement juste, à savoir que le désordre, ce qu'on nomme comme désordre, n'est en fait que l'expression d'un ordre dont la complexité nous échappe. En effet, j'ai bien conscience que ce soir l'impression que j'ai pu avoir de quelque désordre ici ou là correspond en réalité aux limites de ma compréhension.


dimanche 18 mars 2018

dimanche 18 mars - richard galliano et new jazz musette à moissac...

Moissac, le jeudi 15 mars. Il est 16h56. On a réservé une chambre à l'hôtel du Chapon fin, place des Récollets. Le concert a lieu au hall de Paris, de l'autre côté de la place. A quelques pas. On a déposé nos bagages à l'hôtel. Forcément, on va visiter le cloître. En passant devant la salle du concert... l'affiche.


D'entrée de jeu, Richard Galliano vient prendre place devant le micro. Au bord de la scène. Solo. 21h20. On a noté qu'il y a des concerts où il introduit des commentaires entre les morceaux. D'autres fois, il y a la musique et les morceaux qui s'enchaînent. Ce soir, c'est la musique. Rien que la musique. C'est tout.  Sauf pour un morceau : "Aurore", en hommage à Didier Lockwood;


Toujours solo. Il est 21h26. Formidable présence. Juste un léger essoufflement entre les morceaux. Quel rythme ! Quelle présence ! Quelle créativité !



21h29. Le trio avec Jean-Marie Ecay à la basse et Yaron Stavi à la contrebasse. Deux magnifiques musiciens.


21h31. A nouveau, Richard Galliano solo. Le concert comme une mécanique bien huilée.


21h37. Le quartet avec Jean-Christophe Galliano à la batterie. Un peu en retrait. On pourrait le dire "à l'ombre de son père". Une présence discrète, mais efficace.


21h43. Le quartet tel qu'en lui-même.




22h04.  Richard Galliano et Jean-Marie Ecay. Duo. Avec, Richard à l'accordina. Un moment de complicité intense entre les deux musiciens.


22h14. Le concert avance vers son terme. Encore quelques rappels. Encore un moment rare ! Un moment où nous avons, chemin faisant, reconnu chaque morceau sans être capables d'en nommer un seul titre.


mardi 13 mars 2018

mardi 13 mars - à propos de didier laloy... un aperçu de son "oeuvre"...

J'ai dit dans l'un de mes tout derniers articles toute notre admiration pour Didier Laloy à l'occasion de la sortie du disque intitulé "Belem & The Mekanics". Du coup, j'ai jeté un coup d'œil sur sa discographie, sans doute incomplète dans la mesure où je suis bien certain de n'avoir pas la totalité de ses cds. Impressionnant n'est-ce pas !


mardi 13 mars - à propos de didier ithursarry... un aperçu de son "oeuvre"...

J'ai dit dans mes tout derniers articles toute notre admiration pour Didier Ithursarry à l'occasion de la sortie du disque intitulé "The Atomic Flonflons" à l'initiative d'Alban Darche. Du coup, j'ai jeté un coup d'œil sur sa discographie, sans doute incomplète dans la mesure où je suis bien certain de n'avoir pas la totalité de ses cds. Impressionnant n'est-ce pas !

lundi 12 mars 2018

lundi 12 mars - ... y a pas que l'accordéon, y a aussi "sfumato" d'émile parisien...

Françoise, et moi avec elle, nous avons une vraie admiration pour le jeu d'Emile Parisien. D'autant plus que souvent il se produit avec - autre admiration ! - Vincent Peirani. Eh bien, le texte ci-dessous imaginé, conçu et écrit par Françoise explique mieux que je n'aurais su le faire le pourquoi et le comment de notre admiration. Une explication qui vaut le détour.

 http://francoise-rebinguet.blogspot.fr/2018/03/le-sfumato-demile-parisien.html

lundi 12 mars - un objet étrange : "didier laloy / belem & the mekanics"

Un objet musical étrange en cours d'identification : "Didier Laloy / Belem & the Mekanics", Igloo Records / Zig Zag World, 2017 / Label Iglectic.

- "Belem", c'est le duo Didier Laloy, diatonique, et Kathy Adam, violoncelle.
- "The Mekanics", c'est Walter Hus.

Confrontation et coopération entre le duo et la machinerie musicale créée par Walter Hus.



Une rencontre, au Parvis de Pau, après avoir sacrifié au rite des courses alimentaires et autres, avec cet objet improbable. Tellement improbable que je l'écoute en boucle en m'interdisant de chercher la moindre information qui pourrait m'éclairer sur ce projet. Un duo et une machine musicale font alliance pour créer une musique venue d'ailleurs.

Parfois, on croirait entendre comme une musique de Motion Trio. Je pense au titre 2 "Lego's Tragedy" (3:45). Admirable !

Pour l'heure je suis fasciné par cette musique post moderne, si j'ose ce qualificatif... On en reparlera ! Mais, quelle rencontre entre ce diatonique aux possibilités sans limites, un violoncelle à la présence envoûtante, lumineuse, et une machine pilotée comme un orgue formidable par un accordéon à touches piano [un Piermaria visible sur l'image de gauche ci-dessus]  !

Tout de même... Le court circuit entre ce disque et "The Atomic Flonflons" a quelque chose d'étonnant. Le hasard fait bien les choses. Sauf qu'il n'y a pas de hasard...

dimanche 11 mars 2018

dimanche 11 mars - connaissez-vous "the atomic flonflons" ?

Je suis en train de découvrir le dernier opus d'Alban Darche intitulé "Alban Darche et l'OrphiCube / Atomic Flonflons", un disque enregistré en 2017 sous label Yolk Music et qui fait suite à un disque intitulé "Alban Darche / l'Orphicube / Perceptions instantanées", Le gros cube 2013, Yolk 2014. Deux disques qui suffisent par ces éléments pour prouver leur inscription dans un projet original et mûrement réfléchi. Un projet inscrit dans la durée.

C'est ainsi qu'Alban Darche explique dès le premier de ces deux disques que l'Orphicube est un orchestre à géométrie variable avec six musiciens fixes - une sorte de base fondamentale - et des voix pour donner à l'ensemble une couleur spécifique. Il est question dans sa présentation d'architecture, d'exécution millimétrée et de créativité qui, sur l'instant, bouscule - c'est la vie ! - cette belle ordonnance architecturale. Il est aussi question d'une musique qui vient réveiller et ranimer des perceptions enfouies en la mémoire, une musique destinée à ranimer les réminiscence. Il y a de la madeleine de Proust dans cette mise en mouvement de la mémoire latente.

 
 
Mais, voyons de plus près ce  second opus, "The Atomic Flonflons", que je suis en train de découvrir. Que penser de ce titre ? Qu'attendre de la musique qu'il nous propose ?
 
D'abord, "Les Flonfons". On sait que ce terme désigne des accords bruyants de certains morceaux de musique populaire. On les associe au bal du 14 juillet ou à la musique des fêtes foraines. Ensuite, l'adjectif "atomique" connote l'idée d'énergie hors du commun. On sent que ça va chahuter.
 
En fait, l'énergie communicative et l'intensité sonore sont bien présentes au fil de tous les morceaux de cet album. Mais elles sont présentes, pour ainsi dire, à un second degré qui est à la source même de l'humour qui anime les douze morceaux. Douze morceaux qui sont comme l'expression renouvelée de douze figures d'une musique effectivement populaire par ses racines. Je pense à ces titres que sont "Saudade", "La Paloma", "Java", "Musette", "Ragtime", "Tango vif", etc... Autant de morceaux où l'on reconnait bien un monde musical familier, avec ses formes canoniques, mais qui bien vite prennent leur liberté et nous emmènent vers d'autres modes et d'autres mondes de sensations. Un monde où se croisent en effet, suivant le projet d'Alban Darche, des sensations familières et d'autres inattendues, voire encore inouïes.
 
Notons pour terminer que le personnel des deux disques est un peu différent :
 
- "L'Orphicube" comprend quatre saxos, dont un saxo / clarinette, un violon, un accordéon, un piano, une contrebasse, une batterie. Compositions et arrangements d'Alban Darche.
- "Les Flonflons" comprend deux saxos, un accordéon, un piano, un chant, une trompette, une batterie, une contrebasse. La plupart des morceaux sont composés par Alban Darche.
 
Un personnel donc un peu différent entre les deux disques, mais une présence prééminente des saxos qui donnent sa couleur à l'ensemble et surtout son unité ou, si l'on veut, sa continuité.
 
Un dernier mot enfin sur le personnel. L'accordéon est tenu par Didier Ithurssary et je retrouve bien sa présence telle que je la connais bien maintenant à travers  maints concerts et une douzaine d'albums. Je retrouve bien son goût de la coopération et son sens de l'engagement collectif. Dans un premier temps, j'ai toujours du mal à identifier sa présence et puis en écoutant plus attentivement son jeu, de morceau en morceau, je le perçois comme fondamental en tant que soutien de ses collègues. Une sorte de clé de voûte. Une présence subtile et rassurante. Un jeu, disons-le, parfait : ce qu'il faut, comme il faut, juste ce qu'il faut. Une présence juste au service du collectif. C'est pour cette qualité à la fois esthétique et morale que je l'admire.
 
Bref ! On l'aura compris, ce temps de découverte, que j'évoquais au début de mon article, est à la fois une vraie expérience, ici et maintenant, et la promesse d'autres plaisirs à venir. En tout cas, une belle rencontre avec une musique de prise de risques et de vitalité.    
 
 

jeudi 8 mars 2018

jeudi 8 mars - où il est question de quelques diatos explorateurs...

Troisième volet ! Après avoir dressé une liste d'accordéonistes que je classe, entre autres critères, dans la catégorie des explorateurs, toujours soucieux d'explorer des mondes nouveaux
et de prendre le risque de se remettre en question à chaque nouvel album ; après avoir dressé de la même manière une liste de bandonéonistes, le moment me semble venu d'entreprendre le même travail pour les diatos. Troisième et dernier volet de cet essai de nomenclature. Essai en toute subjectivité évidemment. Quinze noms !

-  Borghetti Renato
"Andanças / Live in Brussels", 2011, Music et Words / Blue Kapibara

- Cavez Sophie et Montanaro Baltazar
"Le "3ème temps", 2015, IN / EX music

- Danças Ocultas
"Travessa da Espera", 2002, EMI

- Delicq Stéphane
"Douce"

- Junkera Kepa
"Fandango : provença sessions", Infernuko et Hiri Records

- Heim François et Le Tron Bruno
"Intersection", bAlAgAn, 2013

- Laloy Didier et Beghin Fabian
"Cryptonique", homerecords.be, 2006

- Laloy Didier et Adam Kathy
"Belem", homerecords,

- Mullane Damien
"13", 2012

- Niepold Anne
"Musette is not Dead, 2014

- Pennec Alain et Bertrand Sébastien
"Duo Pennec Bertrand / Réunions de chantier", Cinq planètes, 2008

- Perrone Marc
"Son éphémère passion", Azimuh productions, Rue bleue, 2004

- Lepistö M., Munnelly D., Tesi R., Le Tron B., Laloy D.
"Accordion Samurai", homerecords, 2011

- Tesi Riccardo
"Acqua Foco E Vento / New traditional Music from Tuscany", 2001

- Tref
"Loop To The Moon", Wild Boar Music

Voilà ! Ce troisième volet met un terme provisoire à mon projet de recensement d'accordéonistes explorateurs. Pour l'heure, je m'en tiens là.



mercredi 7 mars 2018

mercredi 7 mars - où il est question de quelques bandonéonistes explorateurs...

Après avoir dressé une liste très subjective des accordéonistes que j'admire, entre autres qualités, pour leur capacité à explorer des mondes encore inexploités et à en affronter les risques, le désir m'est venu de tenter de réaliser le même projet pour les bandonéonistes. Le résultat tient en quinze noms. Il ne s'agit certes que d'une première liste, sans doute incomplète, mais qui ne trahit pas mes goûts ni mes préférences.

- Astor Piazzolla
"Theatro Regina / Astor Piazzolla y su quinteto", Ariola, 1970

-Duo Intermezzo : M. Gars et S. Authemayou
"Invitacion", Klarthe, 2017

- Di Bonaventura, P. Fresu
"In maggiore", ECM, 2015

- Cuarteto Cédron
"Tango Primeur", Cédron/Praino, 1990

- Hodeau Guy et D. Louwerse
"Barocco Tango / A rought Dance", Anches et Soufflets, 2007

- Gotan Project
"Gotan Project", Ya Basta ! 2001

- Manoury Olivier
"Solo", Signature, 2002

- Mosalini Juan Jose, Beytelmann, Caratini
"Violento", Label bleu, 1990

- Mosalini Juan-Jo
"Mosalini Teruggi Cuarteto / Tango Hoy", M et T.

- Sabatier William, Ciro Perez, Norberto Pedreira
"Trio P.S.P / Las Siluetas  Portenas", Cinq planètes, 2005

- Quatuor Caliente
"Libertango", Aeon, 2004

- Saluzzi Dino et al..
"IF", Enja Records, 2002

- Sexteto Major
"Vida, Pasion y Tango", P et C, 2010

- Tangate Rea
"Tango Alla Baila", Winter et Winter, 1988

- Kronos Quartet / Astor Piazzolla
"Five Tango Sensations", Elektra  Entertainement, 1991

- post scriptum : au moment de clore cette liste de bandonéonistes explorateurs, il me semble pertinent de faire une place particulière à Philippe Ollivier, auteur d'une improvisation en toute liberté "dans la zone interdite" de Tchernobyl. En quelque sorte une expérience cruciale, en tout cas singulière.
"Malenki Minki", prise de son en plein air le 11 mai 2008.




lundi 5 mars 2018

lundi 5 mars - où il est question d'accordéonistes explorateurs... (8)

Essai de nomenclature (8)

Cette fois, c'est bien le bout de la dernière ligne droite.  Cinq noms...

- Suarez Lionel
"Cocanha !", 2012

- Toucas
"Toucas Trio Vasco / Sangue Do Mar", Absilone2017

- Varis Francis
"J.-S. Bach / Suites pour violoncelle 1, 5 et 6", Absilone,  2012

- Venitucci
"David Venitucci Trio / Travelling", Enja, 2014

- Viale Frédéric
"La belle chose", Diapason, 2013.

Voilà ! En toute subjectivité !

lundi 5 mars - où il est question d'accordéonistes explorateurs... (7)

Essai de nomenclature (7)

On aborde la dernière ligne droite : deux listes de cinq noms.

- Peirani Vincent
"François Salque, Vincent Peirani / Est", Zig Zag Territoires, 2010.

- Riche Johann
"Beltuner *",  ICI Label, 2005 ; "Beltuner **", Pulsacions, 2008" ;  Beltuner ***"; Narguillé Production, 2012.

- Salis Antonello
"Vignola Réunion Trio / Azzola, Galliano, Salis", 1991

- Sopa René
"Kamel Erdem / René Sopa Quartet", 2010

- Spasiuk Chango
"Pynandi", 2008 Chango Spasiuk

dimanche 4 mars 2018

dimanche 4 mars - où il est question d'accordéonistes explorateurs... (6)

Essai de nomenclature (6)

Donc... on continue... Encore trois listes de cinq noms. Et toujours un seul album par accordéoniste. C'est déjà pas mal pour se constituer un fonds de discothèque.

- Matinier Jean-Louis
"Anouar Brahem / Le pas du chat noir", ECM, 2002

- Maurice Bruno
"Esszencia", Charlotte, Production, 1998

- Mille Daniel
"Daniel Mille / Astor Piazzolla / Circa tus Ojos", Sony Music, 2014

- Paier Klaus
"Klaus Paier et Asja Valcic / A deux", ACT, 2008

- Pascoal Hermeto
"Hermeto Pascoal and Grupo Vice Versa / Viajando Com O Som", La Baleine, 2017

dimanche 4 mars - où il est question d'accordéonistes explorateurs... (5)

Essai de nomenclature (5)

Donc... on continue avec cinq nouveaux noms. Ma sélection en comporte en effet encore vingt. Vingt, soit quatre listes de cinq noms. Et toujours cette contrainte difficile à respecter qui consiste à ne citer qu'un seul album par accordéoniste. Contrainte nécessaire, sinon c'est l'inflation.

-Jacommuci Claudio
"Beyond", Blowout Record, 2012

- Klucevsek  Guy
"Dave Douglas / Charms of the Night", Winter et Winter, 1998

- Labro Julien
"Julien Labro and the Spektral Quartet / From this Point forward", Azica Records, 2014,

- Loeffler Marcel
"Domi Emorine / Marcel Loeffler", Gadji, 2015

- Macias Michel
"En attendant", Daqui, 2014

jeudi 1 mars 2018

jeudi 1er mars - où il est question d'accordéonistes explorateurs... (4)

Essai de  nomenclature (4)

Donc... on continue avec six nouveaux noms et la contrainte difficile à respecter qui consiste à ne citer qu'un seul titre d'album pour chaque accordéoniste. Contrainte nécessaire cependant pour éviter tout risque d'inflation.

- Florizoone Tuur
"Mixtuur", De Werf, 2011

- Richard Galliano, 2016
"New Jazz Musette", Ponderosa Music et Art 

- Gizavo Régis
"Madagascar", Cinq planètes

- Hermosa Gorka
"Flamenco extea", 2011

- Halti Frode
"Passing Images", ECM, 2007

- Ithursarry Didier
"Alban Darche et l'Orphicube / The Atomic Flonflons", Yolk, 2017

jeudi 1er mars - où il est question d'accordéonistes explorateurs... (3)

Essai de nomenclature (3).

Donc... on continue avec une troisième liste de six noms. Toujours suivant l'ordre alphabétique.

- Daltin Grégory
"Daltin Trio / Tango de l'autruche", 2015, Klarthe

- De Ezcurra Philippe
"Euphonia / Duo a Tempo", 2014, Ameson

- Demonsant Florian
"Etreinte", 2015

- Derache Laurent
"Laurent Derache Trio / Life on Venus", 52e rue Est, 2012

- Dominguinhos
"Dominguinhos, Sivuca et  Oswaldinho"

- Fixi
"A new Day / Winston Mac Anuff et Fixi", Chapter Two / Wagram Music", 2013.