mercredi 13 mai - médiathèque encore et encore
Nous sommes revenus, Françoise et moi, en début d’après-midi, à la médiathèque « les Allées ». Françoise s’est fait faire une carte de prêt. Elle a emprunté des dvd de films difficiles à se procurer aujourd’hui dans le commerce mais qu’elle a grand plaisir à voir et revoir. J’ai rendu les deux disques que j’avais empruntés hier. Je pourrai les emprunter à nouveau dès que j’en aurai le désir.
Je note à quel point les gens présents sont d’âges variés : des adolescents, des adultes, surtout des femmes. Ils se déplacent en silence comme des habitués. Et bien sûr des retraités.
Un disque attire mon attention. Dans le coin gauche, en haut, en lettres rouges agressives, ça saute aux yeux, « Tango Argentino » :
- « Anibal Troilo Pichuco y Roberto Goyeneche / El Gordo y El Polaco », 1996, BMG Ariola Argentina.
Troilo et Goyeneche, c’est vraiment le tango, sinon dans toute sa pureté, du moins dans toute sa dimension d’archétype. On comprend, en écoutant ce disque, comment les admirateurs de Troilo et a fortiori ses thuriféraires ont pu vouer Piazzolla aux gémonies. Une musique de salon, même si le salon en question est celui d’un café chic et a les dimensions de Versailles. On se laisse embarquer et quasiment bercer. Et puis la voix de Goyeneche… Du velours. Le corazon à fleur de peau. Gomina et chemise de soie. Le costume finement rayé, forcément finement rayé. Quelque chose d’envoutant et pourrait-on dire d’hypnotique.
post-scriptum. Après avoir bouclé cette page, je me rends compte de la présence d'un commentaire le 6 mai. Commentaire signé Malmarzirie et posté ce jour, 13 mai, à 12 h 56. Remerciements sympathiques me sont adressés pour mon travail de présentation du numéro de mai d' "Accordéon & accordéonistes". Un regret cependant : que je n'ai pas parlé de la partie "Pédagogie".
En fait, disons, pour me justifier, que la présentation que je fais de chaque numéro de notre revue de référence est chaque fois le résultat d'une lecture "à chaud", en diagonale et subjective : je retiens ce qui m'accroche. Mais, je reconnais bien volontiers que cette rubrique, ce cahier, mérite qu'on s'y arrête un peu. C'est pourquoi, pour Malmarzirie, je note, dans ce cahier "Pédagogie", les articles suivants :
- "A propos des doigtés" de Jacques Mornet. Premier volet d'une série à venir. Un travail d'analyse pédagogique et d'apprentissage progressif.
- Un portrait d'un pédagogue, enseignant à Paris depuis 1970, Martin Irazoqui.
- La découverte du cd d'un groupe qui sillonne la France en tous sens, de bars en festivals :"Tournée générale".
- L'incontournable article de William Sabatier : "La Cumparsita" (1ère partie). Il est question d'arrangement aux petits oignons... Partition, pages VIII-IX.
- Les trucs et astuces de F. Deschamps avec la référence à sa méthode.
Voilà !
Je note à quel point les gens présents sont d’âges variés : des adolescents, des adultes, surtout des femmes. Ils se déplacent en silence comme des habitués. Et bien sûr des retraités.
Un disque attire mon attention. Dans le coin gauche, en haut, en lettres rouges agressives, ça saute aux yeux, « Tango Argentino » :
- « Anibal Troilo Pichuco y Roberto Goyeneche / El Gordo y El Polaco », 1996, BMG Ariola Argentina.
Troilo et Goyeneche, c’est vraiment le tango, sinon dans toute sa pureté, du moins dans toute sa dimension d’archétype. On comprend, en écoutant ce disque, comment les admirateurs de Troilo et a fortiori ses thuriféraires ont pu vouer Piazzolla aux gémonies. Une musique de salon, même si le salon en question est celui d’un café chic et a les dimensions de Versailles. On se laisse embarquer et quasiment bercer. Et puis la voix de Goyeneche… Du velours. Le corazon à fleur de peau. Gomina et chemise de soie. Le costume finement rayé, forcément finement rayé. Quelque chose d’envoutant et pourrait-on dire d’hypnotique.
post-scriptum. Après avoir bouclé cette page, je me rends compte de la présence d'un commentaire le 6 mai. Commentaire signé Malmarzirie et posté ce jour, 13 mai, à 12 h 56. Remerciements sympathiques me sont adressés pour mon travail de présentation du numéro de mai d' "Accordéon & accordéonistes". Un regret cependant : que je n'ai pas parlé de la partie "Pédagogie".
En fait, disons, pour me justifier, que la présentation que je fais de chaque numéro de notre revue de référence est chaque fois le résultat d'une lecture "à chaud", en diagonale et subjective : je retiens ce qui m'accroche. Mais, je reconnais bien volontiers que cette rubrique, ce cahier, mérite qu'on s'y arrête un peu. C'est pourquoi, pour Malmarzirie, je note, dans ce cahier "Pédagogie", les articles suivants :
- "A propos des doigtés" de Jacques Mornet. Premier volet d'une série à venir. Un travail d'analyse pédagogique et d'apprentissage progressif.
- Un portrait d'un pédagogue, enseignant à Paris depuis 1970, Martin Irazoqui.
- La découverte du cd d'un groupe qui sillonne la France en tous sens, de bars en festivals :"Tournée générale".
- L'incontournable article de William Sabatier : "La Cumparsita" (1ère partie). Il est question d'arrangement aux petits oignons... Partition, pages VIII-IX.
- Les trucs et astuces de F. Deschamps avec la référence à sa méthode.
Voilà !
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