vendredi 8 mai - djangobrasil
Depuis plusieurs mois, de contretemps en contretemps, nous n’avions plus trouvé l’occasion d’aller voir les richesses de la boutique « Harmonia Mundi » de Tarbes et de discuter musique avec Bruno, le responsable. Mais hier, l’opportunité nous a été donnée de réparer cette contrariété. Nadja, Charlotte et Camille avaient en effet décidé de passer le week-end prolongé du 8 mai à Hossegor, mais un problème de voiture les a obligées à prendre le train. Oui, mais, problème : les trains du soir en provenance de Toulouse s’arrêtent à Tarbes. C’était l’occasion de tirer parti de cet inconvénient. Coup de téléphone à Bruno : « Avez-vous toujours le dernier Tharaud ? ». « Oui ». « Avez-vous vous reçu le disque de Ludovic Beier : « Djangobrasil» ? ». « Attendez, je regarde le listing de ma livraison… Oui ».
Les filles doivent arriver à 20 heures à la gare. Bruno doit fermer sa boutique à 19 heures. A 18h45, après avoir eu quelques difficultés à nous garer en cette veille de pont férié, nous débarquons à « Harmonia Mundi ». Beier et Tharaud nous attendent. Comme d’habitude, on parle de tout et de rien ; Bruno nous montre le dernier opus de Venitucci, « French Touch », à qui je l’ai commandé directement. Il nous montre aussi un disque sur lequel Loeffler intervient sur quatre à cinq titres. J’hésite et puis je laisse. A 19h05, on lève le camp. On fait un peu de lèche vitrines. Les cafetiers vident leurs terrasses et passent un dernier coup de balai. Les boutiques se ferment l’une après l’autre. Les rues piétonnes sont devenues désertes en quelques minutes.
On tourne un peu dans Tarbes pour rejoindre la gare tout en écoutant en diagonale quelques morceaux de « Djangobrasil ».Un quartet : Beier à l’accordéon et à l’accordina, Samson Schmitt, guitare solo, Thierry Moncheny, guitare, Matthieu Guillemant, percussions. Beier égal à lui-même. C’est tout dire. Les trois premiers morceaux "Nuages », « Nuits de Saint Germain des Près », « Montagne Sainte Geneviève » sonnent comme du Carlos Jobim. On s’en tient là, car il ne nous plait pas de découvrir cet opus en voiture.
A 19h40, parking de la gare. En face, un bistrot : porto rouge pour Françoise, une pression pour moi. A 20h00, le TER entre en gare, voie D. De Tarbes à Pau, la voiture résonne des histoires de Charlotte et Camille, avec quelques éclats de voix (conflits de la vie ordinaire) et les craquements des chips. Pas question dans ces conditions d’écouter quelque musique que ce soit.
- " Djangobrasil / Ludovic Beier », City Records, 2009, Le Chant du Monde / Harmonia Mundi, 2009.
Les filles doivent arriver à 20 heures à la gare. Bruno doit fermer sa boutique à 19 heures. A 18h45, après avoir eu quelques difficultés à nous garer en cette veille de pont férié, nous débarquons à « Harmonia Mundi ». Beier et Tharaud nous attendent. Comme d’habitude, on parle de tout et de rien ; Bruno nous montre le dernier opus de Venitucci, « French Touch », à qui je l’ai commandé directement. Il nous montre aussi un disque sur lequel Loeffler intervient sur quatre à cinq titres. J’hésite et puis je laisse. A 19h05, on lève le camp. On fait un peu de lèche vitrines. Les cafetiers vident leurs terrasses et passent un dernier coup de balai. Les boutiques se ferment l’une après l’autre. Les rues piétonnes sont devenues désertes en quelques minutes.
On tourne un peu dans Tarbes pour rejoindre la gare tout en écoutant en diagonale quelques morceaux de « Djangobrasil ».Un quartet : Beier à l’accordéon et à l’accordina, Samson Schmitt, guitare solo, Thierry Moncheny, guitare, Matthieu Guillemant, percussions. Beier égal à lui-même. C’est tout dire. Les trois premiers morceaux "Nuages », « Nuits de Saint Germain des Près », « Montagne Sainte Geneviève » sonnent comme du Carlos Jobim. On s’en tient là, car il ne nous plait pas de découvrir cet opus en voiture.
A 19h40, parking de la gare. En face, un bistrot : porto rouge pour Françoise, une pression pour moi. A 20h00, le TER entre en gare, voie D. De Tarbes à Pau, la voiture résonne des histoires de Charlotte et Camille, avec quelques éclats de voix (conflits de la vie ordinaire) et les craquements des chips. Pas question dans ces conditions d’écouter quelque musique que ce soit.
- " Djangobrasil / Ludovic Beier », City Records, 2009, Le Chant du Monde / Harmonia Mundi, 2009.
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