mardi 24 septembre - à propos de "rendez-vous sous les cerisiers"...
Après avoir écouté méthodiquement les deux cds de l'album "Rendez-vous sous les cerisiers", album signé par Hiroko Ito et Patrice Peyriéras, je commence à bien en identifier le style mais je reste aussi étonné qu'à la première écoute tant il s'agit d'une œuvre originale.
Le premier titre du disque A, "On est tous du même acabit", 3:28, sonne comme un Nino Rota mezzo voce. Un Nino Rota plein de retenue et d'allégresse, plein d'allégresse contenue. Le deuxième : "Rendez-vous sous les cerisiers", 4:58, aurait pu s'intituler "Place du Tertre" ou "Dans les rues de Montmartre". Le style d'Hiroko Ito en effet s'apparente à une relecture des romances et des airs d'un Paris plein de tendresse et de nostalgie. Relecture qui donne une saveur mi-sucre mi-citron à ces romances.
Autre particularité de l'album : sa lenteur. On est dans un monde où le temps dure, dure, dure et cette durée est pour moi source d'étonnement. Au bout du compte, cette particularité fait style. Au fur et à mesure que les morceaux se suivent, on se sent de plus en plus en apesanteur et c'est agréable. Entre vigilance et rêve, un état de rêverie s'installe.
Encore une particularité : la présence d'un quatuor d'accordéons ou plus exactement d'un trio qui offre à Hiroko Ito un environnement exceptionnel pour déployer son jeu que j'ai qualifié de mi-sucre mi-citron.
Enfin, dernier point, j'ai bien aimé écouter les interprétations de morceaux connus parce que justement comme je les connaissais toute mon attention pouvait se porter sur leurs particularités : "La Cumparsita", "Flambée montalbanaise", "Sous le ciel de Paris" et enfin "Vesoul". "La Cumparsita" est surprenante avec l'intervention du shamisen. Après ce dernier point, un après dernier point : j'ai bien aimé "Milongana", à la lenteur impressionnante, "Place de la Boca", "Soa", "Délivrance", "Accordéon 33", mon morceau de prédilection. Voilà ! C'est tout pour aujourd'hui, avec ce sentiment que je suis loin d'avoir fait le tour de cet album et d'en avoir exploré tous les charmes... Un sentiment plein d'attentes positives...
Le premier titre du disque A, "On est tous du même acabit", 3:28, sonne comme un Nino Rota mezzo voce. Un Nino Rota plein de retenue et d'allégresse, plein d'allégresse contenue. Le deuxième : "Rendez-vous sous les cerisiers", 4:58, aurait pu s'intituler "Place du Tertre" ou "Dans les rues de Montmartre". Le style d'Hiroko Ito en effet s'apparente à une relecture des romances et des airs d'un Paris plein de tendresse et de nostalgie. Relecture qui donne une saveur mi-sucre mi-citron à ces romances.
Autre particularité de l'album : sa lenteur. On est dans un monde où le temps dure, dure, dure et cette durée est pour moi source d'étonnement. Au bout du compte, cette particularité fait style. Au fur et à mesure que les morceaux se suivent, on se sent de plus en plus en apesanteur et c'est agréable. Entre vigilance et rêve, un état de rêverie s'installe.
Encore une particularité : la présence d'un quatuor d'accordéons ou plus exactement d'un trio qui offre à Hiroko Ito un environnement exceptionnel pour déployer son jeu que j'ai qualifié de mi-sucre mi-citron.
Enfin, dernier point, j'ai bien aimé écouter les interprétations de morceaux connus parce que justement comme je les connaissais toute mon attention pouvait se porter sur leurs particularités : "La Cumparsita", "Flambée montalbanaise", "Sous le ciel de Paris" et enfin "Vesoul". "La Cumparsita" est surprenante avec l'intervention du shamisen. Après ce dernier point, un après dernier point : j'ai bien aimé "Milongana", à la lenteur impressionnante, "Place de la Boca", "Soa", "Délivrance", "Accordéon 33", mon morceau de prédilection. Voilà ! C'est tout pour aujourd'hui, avec ce sentiment que je suis loin d'avoir fait le tour de cet album et d'en avoir exploré tous les charmes... Un sentiment plein d'attentes positives...
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