mardi 17 septembre - alors ? les nuits de nacre ? c'était comment ?
"Les nuits de nacre", édition 2013, c'était super. Une réussite du début à la fin. Je me donne un peu de temps pour mettre de l'ordre dans nos impressions et dans nos souvenirs encore tout chauds et pour trouver les mots et les photos capables d'en donner une expression fidèle.
Mais avant de faire ce travail de sélection et d'écriture, travail plutôt difficile tant, pour l'instant, nous sommes encore immergés dans le mélange inextricable de ces impressions, je voudrais garder trace de ce moment magnifique. Garder trace pour nous, mais aussi pour tous les amis et autres passionnés d'accordéon que nous avons croisés et avec qui nous avons échangé quelques mots. Garder trace aussi pour suggérer à tous ceux qui n'ont pu assister à ces nuits de nacre ce que furent ces moments de pur plaisir.
Nous sommes arrivés à Tulle jeudi, à midi. On a déposé nos bagages à l'"Hôtel de la gare", où l'on commence à avoir nos habitudes. On a garé la voiture dans le parking face à la cité administrative. Autre habitude. On est allé déjeuner à "La taverne du sommelier", au cœur du festival, où l'on a aussi nos habitudes. C'est ainsi qu'à deux heures de l'après-midi on était déjà "dans l'événement".
On a rejoint le point presse. On a retrouvé Soizick Fonteneau, l'attachée de presse des "Nuits de nacre" et Sonia Rekis. Le festival ne pouvait mieux commencer. Avant de continuer, je tiens à dire un grand merci à Soizick pour deux raisons : d'une part, pour la qualité du dossier de presse, qui nous a servi de boussole et de viatique durant ces quatre jours, d'autre part, à titre personnel, pour son efficacité et son amabilité.
L'abondance de l'offre de concerts payants et gratuits est telle que je renonce à en faire le décompte. De même, pas question pour moi d'essayer de faire un compte-rendu objectif de l'ensemble des événements. Ce n'est pas l'objectif de ce blog, mais de plus il est impossible pour qui n'a pas le don d'ubiquité d'assister à tout ce qui est proposé. L'édito du directeur artistique, Sébastien Farge, est titré :"Il pleut des invitations sur le festival". "Invitations plurielles" est le titre qui figure sur les affiches. L'idée de pluie d'invitation me parait pertinentes à deux égards : comme métaphore, mais aussi comme prémonition. Le soir de samedi, à la sortie du concert de 21 heures, vers 23 heures donc, quelles averses !!! On s'est réfugié à "La taverne du sommelier" et, on le verra, ce fut une chance inattendue... Merci la pluie !
Cette année, le fil rouge était Hiroko Ito. Je reviendrai sur nos impressions au fil de ses concerts, mais pour l'heure je m'en tiens à deux photos : la première prise lors du concert d'ouverture à 21h22 le jeudi 12, la seconde prise au Magic Mirrors, lors du concert de clôture à 16h16 le dimanche 15
Avant de revenir, dans d'autres articles, sur le détail ne "notre" festival, "les nuits de nacre" telles que nous les avons vécues, je vais essayer de faire la liste des accordéonistes que nous avons pu écouter et avec qui nous avons pu souvent échanger quelques mots, souvent amicaux :
- Sonia Rekis, Kiss & Bye, place des frères Maugein, jeudi à 19 heures,
- Hiroko Ito, au théâtre, jeudi à 21 heures. A l'issue de ce concert, on a acheté son double cd "Sous les cerisiers", qu'elle nous a aimablement signé. Notons ici la présence de Patrice Peyriéras, chef d'orchestre, arrangeur, pianiste, qui nous a touchés par son enthousiasme,
- "Délinquante", "Fatras", "4 pistes"...
- Bernard Ariu, solo, à l'agence du crédit agricole, le vendredi 13 à 17 heures,
- Fanny Vicens, au théâtre, à 19 heures,
- Marcel Azzolla à la salle de l'Auzelou, ce même vendredi, à 21 heures,
- "Non trio band", en animation au marché de la gare, samedi, à partir de 10h30,
- Olivier Manoury et William Sabatier, ce même jour à 12h15, à l'espace Galliano,
- Jean-Claude Laudat, à la guinguette du quai Baluze, à 16 heures puis - merci la pluie - vers minuit à "La taverne du sommelier",
- Laurent Derache au Magic Mirrors, toujours samedi, à 18 heures
- Juan-Jose Mosalini avec O. Manoury et W. Sabatier, encore ce même jour, au théâtre, à 21 heures,
- Christian Toucas, place des frères Maugein, puis, grâce à la pluie, vers 23 heures à "La taverne du sommelier",
- ... et, vrai surprise, même si ni l'un ni l'autre nous ne croyons au hasard, sauf s'il est provoqué, la rencontre ave SwinJo. On avait l'impression de se connaitre depuis longtemps, disons depuis toujours...
- Dimanche enfin, au Magic Mirrors, à 15h30, le duo Okasumiso : Iroko Ito et Koji Tsubana...
Je vous l'avais dit : on n'a pas assez de ses deux jambes et de ses deux oreilles pour assister à tout ce qui est offert. Notez en effet que ma liste ne représente qu'une petite partie de cette offre. Et encore faudrait-il ajouter que tout est de qualité...
Un dernier mot enfin pour les copains, comme Jean-Marc ou Annick, que l'on compte bien retrouver bientôt à l'occasion d'un concert dans notre région, et pour toutes les personnes que l'on a croisées et avec qui on a échangé nos enthousiasmes en quelques phrases.
Mais avant de faire ce travail de sélection et d'écriture, travail plutôt difficile tant, pour l'instant, nous sommes encore immergés dans le mélange inextricable de ces impressions, je voudrais garder trace de ce moment magnifique. Garder trace pour nous, mais aussi pour tous les amis et autres passionnés d'accordéon que nous avons croisés et avec qui nous avons échangé quelques mots. Garder trace aussi pour suggérer à tous ceux qui n'ont pu assister à ces nuits de nacre ce que furent ces moments de pur plaisir.
Nous sommes arrivés à Tulle jeudi, à midi. On a déposé nos bagages à l'"Hôtel de la gare", où l'on commence à avoir nos habitudes. On a garé la voiture dans le parking face à la cité administrative. Autre habitude. On est allé déjeuner à "La taverne du sommelier", au cœur du festival, où l'on a aussi nos habitudes. C'est ainsi qu'à deux heures de l'après-midi on était déjà "dans l'événement".
On a rejoint le point presse. On a retrouvé Soizick Fonteneau, l'attachée de presse des "Nuits de nacre" et Sonia Rekis. Le festival ne pouvait mieux commencer. Avant de continuer, je tiens à dire un grand merci à Soizick pour deux raisons : d'une part, pour la qualité du dossier de presse, qui nous a servi de boussole et de viatique durant ces quatre jours, d'autre part, à titre personnel, pour son efficacité et son amabilité.
L'abondance de l'offre de concerts payants et gratuits est telle que je renonce à en faire le décompte. De même, pas question pour moi d'essayer de faire un compte-rendu objectif de l'ensemble des événements. Ce n'est pas l'objectif de ce blog, mais de plus il est impossible pour qui n'a pas le don d'ubiquité d'assister à tout ce qui est proposé. L'édito du directeur artistique, Sébastien Farge, est titré :"Il pleut des invitations sur le festival". "Invitations plurielles" est le titre qui figure sur les affiches. L'idée de pluie d'invitation me parait pertinentes à deux égards : comme métaphore, mais aussi comme prémonition. Le soir de samedi, à la sortie du concert de 21 heures, vers 23 heures donc, quelles averses !!! On s'est réfugié à "La taverne du sommelier" et, on le verra, ce fut une chance inattendue... Merci la pluie !
Cette année, le fil rouge était Hiroko Ito. Je reviendrai sur nos impressions au fil de ses concerts, mais pour l'heure je m'en tiens à deux photos : la première prise lors du concert d'ouverture à 21h22 le jeudi 12, la seconde prise au Magic Mirrors, lors du concert de clôture à 16h16 le dimanche 15
Avant de revenir, dans d'autres articles, sur le détail ne "notre" festival, "les nuits de nacre" telles que nous les avons vécues, je vais essayer de faire la liste des accordéonistes que nous avons pu écouter et avec qui nous avons pu souvent échanger quelques mots, souvent amicaux :
- Sonia Rekis, Kiss & Bye, place des frères Maugein, jeudi à 19 heures,
- Hiroko Ito, au théâtre, jeudi à 21 heures. A l'issue de ce concert, on a acheté son double cd "Sous les cerisiers", qu'elle nous a aimablement signé. Notons ici la présence de Patrice Peyriéras, chef d'orchestre, arrangeur, pianiste, qui nous a touchés par son enthousiasme,
- "Délinquante", "Fatras", "4 pistes"...
- Bernard Ariu, solo, à l'agence du crédit agricole, le vendredi 13 à 17 heures,
- Fanny Vicens, au théâtre, à 19 heures,
- Marcel Azzolla à la salle de l'Auzelou, ce même vendredi, à 21 heures,
- "Non trio band", en animation au marché de la gare, samedi, à partir de 10h30,
- Olivier Manoury et William Sabatier, ce même jour à 12h15, à l'espace Galliano,
- Jean-Claude Laudat, à la guinguette du quai Baluze, à 16 heures puis - merci la pluie - vers minuit à "La taverne du sommelier",
- Laurent Derache au Magic Mirrors, toujours samedi, à 18 heures
- Juan-Jose Mosalini avec O. Manoury et W. Sabatier, encore ce même jour, au théâtre, à 21 heures,
- Christian Toucas, place des frères Maugein, puis, grâce à la pluie, vers 23 heures à "La taverne du sommelier",
- ... et, vrai surprise, même si ni l'un ni l'autre nous ne croyons au hasard, sauf s'il est provoqué, la rencontre ave SwinJo. On avait l'impression de se connaitre depuis longtemps, disons depuis toujours...
- Dimanche enfin, au Magic Mirrors, à 15h30, le duo Okasumiso : Iroko Ito et Koji Tsubana...
Je vous l'avais dit : on n'a pas assez de ses deux jambes et de ses deux oreilles pour assister à tout ce qui est offert. Notez en effet que ma liste ne représente qu'une petite partie de cette offre. Et encore faudrait-il ajouter que tout est de qualité...
Un dernier mot enfin pour les copains, comme Jean-Marc ou Annick, que l'on compte bien retrouver bientôt à l'occasion d'un concert dans notre région, et pour toutes les personnes que l'on a croisées et avec qui on a échangé nos enthousiasmes en quelques phrases.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil