mercredi 25 mai - galliano / mozart ; manu comté / "homilia" : chantiers...
Alors que nous écoutons avec la plus grande attention le Mozart de Richard Galliano et que nous nous laissons immerger dans sa musique en essayant chemin faisant de garder traces de nos impressions, voilà que ce matin débarque dans la boite à lettres le dernier opus de Manu Comté :"Homilia", que nous avons hâte de découvrir.
Mais avant de rendre compte de nos impressions, ce qui devrait demander un peu de temps, une observation me vient à l'esprit en regardant les deux pochettes. Dans l'un et l'autre cas, je note que les formations en jeu sont quasiment identiques :
- Pour le Mozart de Richard Galliano, accordéon et bandonéon, violon, violon, alto, violoncelle, contrebasse
- Pour "Homilia" de Manu Comté, bandonéon, violon, violon, alto, violoncelle, contrebasse, avec comme invité Tomas Gubitsch sur trois titres.
Evidemment, le hasard n'a aucune part dans cette identité. Et il est intéressant de noter que ces deux formations identiques sont contemporaines, comme si elles procédaient d'une sorte d'évolution nécessaire en ce moment de l'histoire de l'accordéon/bandonéon. Richard Galliano en situe l'origine pour lui avec "Piazzolla forever". Manu Comté a choisi pour titre "Homila / Manu Comté et B'Strings Quintet". Il commente ce choix en disant que "l'étonnante et fascinante association des cordes et du bandonéon n'est autre que l'un des éléments formateurs du tango". En tout cas, c'est une dimension de plus qui complexifie l'écoute...
Mais avant de rendre compte de nos impressions, ce qui devrait demander un peu de temps, une observation me vient à l'esprit en regardant les deux pochettes. Dans l'un et l'autre cas, je note que les formations en jeu sont quasiment identiques :
- Pour le Mozart de Richard Galliano, accordéon et bandonéon, violon, violon, alto, violoncelle, contrebasse
- Pour "Homilia" de Manu Comté, bandonéon, violon, violon, alto, violoncelle, contrebasse, avec comme invité Tomas Gubitsch sur trois titres.
Evidemment, le hasard n'a aucune part dans cette identité. Et il est intéressant de noter que ces deux formations identiques sont contemporaines, comme si elles procédaient d'une sorte d'évolution nécessaire en ce moment de l'histoire de l'accordéon/bandonéon. Richard Galliano en situe l'origine pour lui avec "Piazzolla forever". Manu Comté a choisi pour titre "Homila / Manu Comté et B'Strings Quintet". Il commente ce choix en disant que "l'étonnante et fascinante association des cordes et du bandonéon n'est autre que l'un des éléments formateurs du tango". En tout cas, c'est une dimension de plus qui complexifie l'écoute...
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