samedi 21 mai - florian demonsant solo à toulouse : sortie de son opus "étreinte"
Il y a quelques jours déjà, Florian Demonsant nous avait informé de la sortie de son album solo :"Etreinte" et indiqué quelques dates de présentation. Parmi celles-ci, deux concerts à Toulouse le jeudi 19 et le vendredi 20. Finalement, malgré quelques obstacles qui nous retenaient à Pau, on a réussi à se libérer pour assister, avec Charlotte, au concert du vendredi, au café associatif "Chez ta mère". Forcément, on est arrivé très en avance, le temps de prendre un pot, de rencontrer un photographe qui fait de belles images d'accordéons et d'accordéonistes, d'échanger quelques mots avec Florian, de découvrir son opus... et de prendre place au premier rang pour pouvoir dans les meilleures conditions faire des photographies de sa prestation. Disons des images de sa présence, ici et maintenant, en ce moment et en ce lieu.
L'image ci-dessous décrit la salle et la scène, et, à bien regarder, on voit à gauche le fantôme de Florian inspectant les lieux.
De la place que j'ai choisie pour avoir de l'angle, on aperçoit les coulisses comme un cocon protecteur.
Les six photos ci-dessous, qui sont autant de portraits de Florian, rendent compte de sa posture : une grande économie de gestes, une grande économie de mouvements, une certaine distance qui se traduit par un humour que j'apprécie au plus haut point. Humour par exemple dans le récit de sa formation d'accordéoniste à Gaillac ; humour et virtuosité pour décrire son rapport au musette.
Le programme de ce concert reprend plusieurs titres de l'album, mais sans s'y réduire. On découvre ainsi "Métro", "Valse finale", "L'eau", "Grust", "Les mémés de Barabachova"...
En prime, durant le concert, la beauté de l'accordéon au plan visuel et l'attitude de Florian qui cultive une certaine présence lointaine ou une certaine distance chaleureuse.
Un mot au sujet des lumières : minimalistes, mais justes, en ce sens qu'elles "font" exactement ce qu'il faut pour polariser l'attention sur l'écoute sans la disperser par des jeux d'éclairage intempestifs.
Pour terminer, pas de rappel. Mieux que ça. Florian coupe le son de la scène et vient, parmi le public présent, pour interpréter quelques mots suivant l'humeur du moment et les demandes des uns ou des autres. Parmi les présents, des collègues musiciens venus avec leurs instruments... Et l'accordéon va !
Bref ! Une soirée heureuse, un lieu plus qu'attachant, un accordéonistes de talent parmi ses amis... On y reviendra. En attendant, on va écouter "Etreinte". En espérant retrouver bientôt Florian sur une autres scène.
L'image ci-dessous décrit la salle et la scène, et, à bien regarder, on voit à gauche le fantôme de Florian inspectant les lieux.
De la place que j'ai choisie pour avoir de l'angle, on aperçoit les coulisses comme un cocon protecteur.
Les six photos ci-dessous, qui sont autant de portraits de Florian, rendent compte de sa posture : une grande économie de gestes, une grande économie de mouvements, une certaine distance qui se traduit par un humour que j'apprécie au plus haut point. Humour par exemple dans le récit de sa formation d'accordéoniste à Gaillac ; humour et virtuosité pour décrire son rapport au musette.
Le programme de ce concert reprend plusieurs titres de l'album, mais sans s'y réduire. On découvre ainsi "Métro", "Valse finale", "L'eau", "Grust", "Les mémés de Barabachova"...
J'ai beaucoup aimé l'ensemble des morceaux joués ce soir au moins pour deux raisons : d'une part, parce que j'ai mieux perçu la maîtrise de Florian, mieux qu'en collectif, d'autre part parce que j'ai découvert le compositeur et j'ai trouvé ses recherches fort intéressantes. Il s'aventure sur des terrains très modernes et je puis dire que ses compositions m'ont fasciné.
En prime, durant le concert, la beauté de l'accordéon au plan visuel et l'attitude de Florian qui cultive une certaine présence lointaine ou une certaine distance chaleureuse.
Un mot au sujet des lumières : minimalistes, mais justes, en ce sens qu'elles "font" exactement ce qu'il faut pour polariser l'attention sur l'écoute sans la disperser par des jeux d'éclairage intempestifs.
Pour terminer, pas de rappel. Mieux que ça. Florian coupe le son de la scène et vient, parmi le public présent, pour interpréter quelques mots suivant l'humeur du moment et les demandes des uns ou des autres. Parmi les présents, des collègues musiciens venus avec leurs instruments... Et l'accordéon va !
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