samedi 14 mai - toninho ferragutti et bebè kramer : como manda o figurino
C'est à l'occasion du festival de Trentels qu'une amie qui aime l'accordéon, en jouer et l'écouter, m'a fait connaitre un disque que l'on peut situer en première analyse comme relevant du forro :
- "Commo Manda o Figurino / Toninho Ferragutti e Bebè Kramer"
Pour avoir une idée du style de cet album, j'ai relevé les deux documents YouTube ci-dessous :
- 6. "Forro classudo"
https://www.youtube.com/watch?v=q1WSiblRqLE
- 9. "Sorriso da manu"
https://www.youtube.com/watch?v=zfZ83QYSfD8
En fait, déjà le premier titre de l'album est emblématique de l'ensemble des onze titres :
https://www.google.fr/#q=na+sombra+da+asa+branca
D'emblée, on est dans le monde du forro tel qu'en lui-même, dans un monde festif, joyeux, extraverti proche de la samba, disons traditionnel. Mais, très vite, le rythme se fait plus alangui et l'on est alors dans le monde brésilien sous sa forme décontractée, insouciante, rêveuse. Ces deux pôles, si je puis dire, structurent l'ensemble des morceaux. Et l'on n'est pas étonné, en titre 8, d'avoir affaire à une valse, une valse lente.
Bref, un disque attachant avec deux instrumentistes virtuoses en toute simplicité et leurs instruments : deux accordéons piano monumentaux, qu'ils pilotent avec le sourire qui convient à cette musique.
Un disque dont l'écoute me fait oublier qu'il pleut, qu'il pleut, qu'il pleut... et que ça menace de durer.
- "Commo Manda o Figurino / Toninho Ferragutti e Bebè Kramer"
Pour avoir une idée du style de cet album, j'ai relevé les deux documents YouTube ci-dessous :
- 6. "Forro classudo"
https://www.youtube.com/watch?v=q1WSiblRqLE
- 9. "Sorriso da manu"
https://www.youtube.com/watch?v=zfZ83QYSfD8
En fait, déjà le premier titre de l'album est emblématique de l'ensemble des onze titres :
https://www.google.fr/#q=na+sombra+da+asa+branca
D'emblée, on est dans le monde du forro tel qu'en lui-même, dans un monde festif, joyeux, extraverti proche de la samba, disons traditionnel. Mais, très vite, le rythme se fait plus alangui et l'on est alors dans le monde brésilien sous sa forme décontractée, insouciante, rêveuse. Ces deux pôles, si je puis dire, structurent l'ensemble des morceaux. Et l'on n'est pas étonné, en titre 8, d'avoir affaire à une valse, une valse lente.
Bref, un disque attachant avec deux instrumentistes virtuoses en toute simplicité et leurs instruments : deux accordéons piano monumentaux, qu'ils pilotent avec le sourire qui convient à cette musique.
Un disque dont l'écoute me fait oublier qu'il pleut, qu'il pleut, qu'il pleut... et que ça menace de durer.
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