vendredi 29 avril - accordéon et accordéonistes est arrivé-é-é...
Dans l'édito du dernier numéro de la revue "Accordéon et accordéonistes", on peut lire ce paragraphe :"Editions Emile : lorsqu'une partie de la petite équipe qui réalisait depuis sa création le magazine "Accordéon et accordéonistes" a décidé de créer une scoop pour essayer de relancer et faire vivre un journal pour les passionnés d'accordéon, on se doutait bien que la tâche allait être ardue".
Evidemment, je souhaite longue vie et succès à cette estimable entreprise. Je souhaite toute la réussite qu'elle mérite à l'équipe en charge de ce projet. Je compte bien, en toute logique, participer à la souscription lancée sur Ulule... Bien entendu, dès que la date sera arrivée, je renouvellerai mon abonnement.
Mais mon soutien aux éditions Emile ne m'empêche pas de ne plus retrouver mon compte dans la lecture du magazine. Par exemple, je suis saturé de parcourir ces pages remplies de photographies anecdotiques. On dirait que le monde de l'accordéon est constitué d'une population de clones. Et cette image ne risque pas de modifier l'a priori qui considère ce monde comme ringard. L'affichage, page après page, de visages béats me semble dénué du moindre intérêt. Reste ma fidélité aux éditions Emile, mais une fidélité qui trouve de moins en moins de bonnes justifications pour l'alimenter.
C'est ainsi que si j'analyse le numéro 163 de ce mois de mai, je ne retiens dans mes intérêts que les articles et les pages suivantes :
- "Noëmi Waysfeld", un texte de Françoise Jallot dont le lyrisme et le style sont bien de nature à faire partager son enthousiasme,
- la présentation du tout récent cd du Grégory Daltin Trio pour sa valeur informative,
- "Radie Peat", portrait signé Anne Girard pour son enthousiasme et sa valeur documentaire,
- "Florian Demonsant", excellent entretien sur quatre pages, 22-25, signées Gérard Viel. Un article qui m'intéresse d'autant plus que nous suivons Florian depuis des années, notamment avec Pulchinella, mais pas seulement. Un texte comme j'aimerais en voir en plus grand nombre.
Soit une dizaine de pages. C'est peu. Je m'en contente. Mais je regrette de n'avoir pas retrouvé la signature de Francis Couvreux, dont j'admire l'érudition et la clarté du propos. Un regard très professionnel sur l'accordéon. Très précisément le genre de texte qui me permet de mieux connaitre et de mieux comprendre le monde de l'accordéon. En espérant le retrouver en juin. On peut rêver.
Par contre, combien de pages composées de photographies que je trouve absolument sans intérêt pour qui n'y figure pas. Toujours les mêmes postures, toujours les mêmes sourires, toujours finalement les mêmes "vedettes de l'accordéon" avec qui on se fait tirer le portrait pour l'éternité. Pour le coup, il serait difficile de donner image plus ringarde de l'accordéon. Et je doute que ces "portraits" suffisent pour que les accordéonistes ainsi photographiés achètent le magazine pour le plaisir de se voir y figurer.
Malgré tout, j'y suis bien décidé, je renouvellerai mon abonnement le moment venu.
Evidemment, je souhaite longue vie et succès à cette estimable entreprise. Je souhaite toute la réussite qu'elle mérite à l'équipe en charge de ce projet. Je compte bien, en toute logique, participer à la souscription lancée sur Ulule... Bien entendu, dès que la date sera arrivée, je renouvellerai mon abonnement.
Mais mon soutien aux éditions Emile ne m'empêche pas de ne plus retrouver mon compte dans la lecture du magazine. Par exemple, je suis saturé de parcourir ces pages remplies de photographies anecdotiques. On dirait que le monde de l'accordéon est constitué d'une population de clones. Et cette image ne risque pas de modifier l'a priori qui considère ce monde comme ringard. L'affichage, page après page, de visages béats me semble dénué du moindre intérêt. Reste ma fidélité aux éditions Emile, mais une fidélité qui trouve de moins en moins de bonnes justifications pour l'alimenter.
C'est ainsi que si j'analyse le numéro 163 de ce mois de mai, je ne retiens dans mes intérêts que les articles et les pages suivantes :
- "Noëmi Waysfeld", un texte de Françoise Jallot dont le lyrisme et le style sont bien de nature à faire partager son enthousiasme,
- la présentation du tout récent cd du Grégory Daltin Trio pour sa valeur informative,
- "Radie Peat", portrait signé Anne Girard pour son enthousiasme et sa valeur documentaire,
- "Florian Demonsant", excellent entretien sur quatre pages, 22-25, signées Gérard Viel. Un article qui m'intéresse d'autant plus que nous suivons Florian depuis des années, notamment avec Pulchinella, mais pas seulement. Un texte comme j'aimerais en voir en plus grand nombre.
Soit une dizaine de pages. C'est peu. Je m'en contente. Mais je regrette de n'avoir pas retrouvé la signature de Francis Couvreux, dont j'admire l'érudition et la clarté du propos. Un regard très professionnel sur l'accordéon. Très précisément le genre de texte qui me permet de mieux connaitre et de mieux comprendre le monde de l'accordéon. En espérant le retrouver en juin. On peut rêver.
Par contre, combien de pages composées de photographies que je trouve absolument sans intérêt pour qui n'y figure pas. Toujours les mêmes postures, toujours les mêmes sourires, toujours finalement les mêmes "vedettes de l'accordéon" avec qui on se fait tirer le portrait pour l'éternité. Pour le coup, il serait difficile de donner image plus ringarde de l'accordéon. Et je doute que ces "portraits" suffisent pour que les accordéonistes ainsi photographiés achètent le magazine pour le plaisir de se voir y figurer.
Malgré tout, j'y suis bien décidé, je renouvellerai mon abonnement le moment venu.
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