mardi 12 avril - cristina pato : "migrations / galician bagpipes, piano, voices"
Régulièrement, disons une fois par mois, j'ai l'habitude de consulter les offres de Paris Jazz Corner. Une véritable caverne aux trésors. J'y cherche spécialement des cds d'accordéon ou de bandonéon. J'y trouve souvent des perles. Parfois aussi j'ai des surprises : tel disque où est annoncée la participation d'un accordéoniste ne contient en fait qu'une intervention sur une plage, une autre fois tel musicien annoncé comme accordéoniste intervient seulement comme pianiste. Perles et surprises, telle pourrait être la devise de Paris Jazz Corner.
C'est ainsi qu'après avoir repéré "Mosaïque" de Watremez & Co, dont j'ai parlé dans le précédent article, j'ai repéré un autre disque qui m'a en quelque sorte fait signe :
- "Cristina Pato / Migrations / Galician Bagpipes, piano, voice".
Eh bien, je vous le dis, je n'ai pas regretté mon écoute de cet album. La cornemuse galicienne est acide à souhait. Et puis, il y a un accordéoniste que je voulais connaitre : Victor Prieto, qui signe deux titres. Je ne suis pas déçu. Avec quelques perles, outre les deux titres de Prieto, à savoir "Blue in Green" de Miles Davis, "Gaitango" d'Emilio Solla, "Dindi" de C. Jobim et A. de Oliveira, ou encore des airs traditionnels revisités comme le titre 8 "Jota de Pontevedra". Bref, un album qui mérite un détour.
Une bonne cuvée Paris Jazz Corner, avril 2016. En regardant la couverture, on se dit que l'album aurait pu être titré : "De la cornemuse considérée comme une arme d'assaut". En tout cas, "la" Cristina, elle a peur de rien.
C'est ainsi qu'après avoir repéré "Mosaïque" de Watremez & Co, dont j'ai parlé dans le précédent article, j'ai repéré un autre disque qui m'a en quelque sorte fait signe :
- "Cristina Pato / Migrations / Galician Bagpipes, piano, voice".
Eh bien, je vous le dis, je n'ai pas regretté mon écoute de cet album. La cornemuse galicienne est acide à souhait. Et puis, il y a un accordéoniste que je voulais connaitre : Victor Prieto, qui signe deux titres. Je ne suis pas déçu. Avec quelques perles, outre les deux titres de Prieto, à savoir "Blue in Green" de Miles Davis, "Gaitango" d'Emilio Solla, "Dindi" de C. Jobim et A. de Oliveira, ou encore des airs traditionnels revisités comme le titre 8 "Jota de Pontevedra". Bref, un album qui mérite un détour.
Une bonne cuvée Paris Jazz Corner, avril 2016. En regardant la couverture, on se dit que l'album aurait pu être titré : "De la cornemuse considérée comme une arme d'assaut". En tout cas, "la" Cristina, elle a peur de rien.
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