mardi 5 janvier - accordéon et accordéonistes est arrivé-é-é...
"Accordéon et accordéonistes", n° 159, janvier 2016, est arrivé. Un bandeau sur la page de couverture s'affiche :"Nouvelle formule". En fait de nouvelle formule, il me semble qu'il s'agit, ce qui n'est pas rien, de nouvelle maquette. Mais aucune révolution quant à la partie éditoriale. L'esprit reste le même. Et, pour le dire clairement, je trouve - selon mon goût - qu'il y a beaucoup de photographies
fort anecdotiques et finalement peu de textes, encore moins de réflexions. Sans doute cette formule est-elle destinée à répondre aux attentes du lectorat. Si tel est le cas, je me sens plutôt marginal par rapport au monde des amateurs d'accordéon.
Je retiens pour l'heure
- un article "Tête d'affiche" consacré à A. Lassagne et à Ch. Lampidecchia. Intéressant. L'anecdote est signifiante.
- un portrait de Lydie Auvray, inconnue en France, reconnue en Allemagne.
- un entretien de Régis Huiban.
- un entretien de Sophie Cavez. Très original.
Au milieu de la revue, le cahier Pédagogie toujours technique et intéressant.
Pages 42-43, un chef-d'oeuvre : une photo de Jean Corti, photo en noir et blanc de Raphaël Rinaldi, qui la commente lui-même. Je dis bien qu'il s'agit d'une image en noir et blanc. Quelle différence, quel écart avec toutes ces photos en couleurs du cahier "Gazette du musette" qui, selon moi, contribuent à véhiculer, pour ne pas dire promouvoir, une image fort ringarde de l'accordéon. Franchement, nouvelle formule ou pas, tout ce qui relève du musette donne une image fort passéiste de notre instrument de prédilection. Pourquoi a-t-on l'impression que le monde du musette ne peut être qu'un tissu d'anecdotes, souvent identiques entre elles, et qu'il est par nature incompatible avec tout essai de réflexion sur sa réalité. Sans compter les sourires éclatants pour réclames de dentifrice. Heureusement ! Rinaldi ! Une photo en noir et blanc.
Pour finir enfin, dans l'ultime rubrique, dont je ne commente plus l'intitulé, une lettre de F. Couvreux à Didier Roussin. Pour Rinaldi et F. Couvreux, je continuerai à m'abonner, même si ça fait lourd eu égard aux pages qui m'intéressent vraiment.
fort anecdotiques et finalement peu de textes, encore moins de réflexions. Sans doute cette formule est-elle destinée à répondre aux attentes du lectorat. Si tel est le cas, je me sens plutôt marginal par rapport au monde des amateurs d'accordéon.
Je retiens pour l'heure
- un article "Tête d'affiche" consacré à A. Lassagne et à Ch. Lampidecchia. Intéressant. L'anecdote est signifiante.
- un portrait de Lydie Auvray, inconnue en France, reconnue en Allemagne.
- un entretien de Régis Huiban.
- un entretien de Sophie Cavez. Très original.
Au milieu de la revue, le cahier Pédagogie toujours technique et intéressant.
Pages 42-43, un chef-d'oeuvre : une photo de Jean Corti, photo en noir et blanc de Raphaël Rinaldi, qui la commente lui-même. Je dis bien qu'il s'agit d'une image en noir et blanc. Quelle différence, quel écart avec toutes ces photos en couleurs du cahier "Gazette du musette" qui, selon moi, contribuent à véhiculer, pour ne pas dire promouvoir, une image fort ringarde de l'accordéon. Franchement, nouvelle formule ou pas, tout ce qui relève du musette donne une image fort passéiste de notre instrument de prédilection. Pourquoi a-t-on l'impression que le monde du musette ne peut être qu'un tissu d'anecdotes, souvent identiques entre elles, et qu'il est par nature incompatible avec tout essai de réflexion sur sa réalité. Sans compter les sourires éclatants pour réclames de dentifrice. Heureusement ! Rinaldi ! Une photo en noir et blanc.
Pour finir enfin, dans l'ultime rubrique, dont je ne commente plus l'intitulé, une lettre de F. Couvreux à Didier Roussin. Pour Rinaldi et F. Couvreux, je continuerai à m'abonner, même si ça fait lourd eu égard aux pages qui m'intéressent vraiment.
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