dimanche 8 novembre - malandro club
Il y a quelques jours, on a eu le plaisir de recevoir directement d'Espagne l'album "Malandro Club" du trio A. Vaquero, trompette, G. Hermosa, accordéon et J. Mayor, contrebasse, auxquels il faut ajouter quatre invités : J. Pardo, flûte, A. Carmona, voix, I. Salvador, piano et B. Barrueta, batterie.
Jusqu'ici je n'ai pu écouter cet album avec toute l'attention qu'il mérite ; j'expliquerai pourquoi plus loin. Mais d'abord, disons que l'on a commandé cet opus directement à A. Vaquero avec qui Françoise est en relation régulière par le truchement de Facebook. Dès l'annonce de sa sortie, on souhaitait l'écouter dès que possible car nous avons grande admiration pour ce trio depuis qu'on l'a écouté en direct live à Trentels. A quoi il faut ajouter que déjà auparavant la découverte de "Tangosophy" avait suffi pour nourrir notre admiration. "Tangosophy", un album que l'on n'écoute jamais sans émotion. Et encore, que dire de "Heterodoxia" ou de "Flamenco Etxea" ? Toute cette admiration explique notre désir de découvrir "Malandro Club".
Mais voilà que mon projet de l'écouter est un peu mis à mal, pour ne pas dire mis en pièces, par quelques soucis lourds que je me contenterai d'évoquer ici sans insister. En quelques mots, disons que je viens de décider de mettre en vente la villa de ma mère qui, selon toute évidence, ne pourra jamais revenir y finir ses jours. Cette décision implique des démarches nombreuses et un véritable déménagement pour tout vider sans savoir toujours où mettre les objets, souvent sans trouver acquéreur pour les acheter, même à vil prix, ni même trouver les moyens de s'en débarrasser facilement. Beaucoup de soucis donc et quelques courbatures. Mais aussi la découverte d'objets personnels, de cartons de lettres intimes, que l'on ne sait si l'on doit en prendre connaissance ou s'interdire d'en violer les secrets. Grosse fatigue morale... Il n'est point besoin de tomber dans l'indiscrétion, je crois, pour faire comprendre que le cœur n'est pas à l'écoute de "Malandro Club", mais justement le retour du désir est un critère pertinent pour repérer quand "tout ça" s'estompera...
Et, j'en fais la promesse, dès que possible on reparle de cet album dont je sais déjà que je vais l'apprécier tant ses interprètes ont du talent.
Jusqu'ici je n'ai pu écouter cet album avec toute l'attention qu'il mérite ; j'expliquerai pourquoi plus loin. Mais d'abord, disons que l'on a commandé cet opus directement à A. Vaquero avec qui Françoise est en relation régulière par le truchement de Facebook. Dès l'annonce de sa sortie, on souhaitait l'écouter dès que possible car nous avons grande admiration pour ce trio depuis qu'on l'a écouté en direct live à Trentels. A quoi il faut ajouter que déjà auparavant la découverte de "Tangosophy" avait suffi pour nourrir notre admiration. "Tangosophy", un album que l'on n'écoute jamais sans émotion. Et encore, que dire de "Heterodoxia" ou de "Flamenco Etxea" ? Toute cette admiration explique notre désir de découvrir "Malandro Club".
Mais voilà que mon projet de l'écouter est un peu mis à mal, pour ne pas dire mis en pièces, par quelques soucis lourds que je me contenterai d'évoquer ici sans insister. En quelques mots, disons que je viens de décider de mettre en vente la villa de ma mère qui, selon toute évidence, ne pourra jamais revenir y finir ses jours. Cette décision implique des démarches nombreuses et un véritable déménagement pour tout vider sans savoir toujours où mettre les objets, souvent sans trouver acquéreur pour les acheter, même à vil prix, ni même trouver les moyens de s'en débarrasser facilement. Beaucoup de soucis donc et quelques courbatures. Mais aussi la découverte d'objets personnels, de cartons de lettres intimes, que l'on ne sait si l'on doit en prendre connaissance ou s'interdire d'en violer les secrets. Grosse fatigue morale... Il n'est point besoin de tomber dans l'indiscrétion, je crois, pour faire comprendre que le cœur n'est pas à l'écoute de "Malandro Club", mais justement le retour du désir est un critère pertinent pour repérer quand "tout ça" s'estompera...
Et, j'en fais la promesse, dès que possible on reparle de cet album dont je sais déjà que je vais l'apprécier tant ses interprètes ont du talent.
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