lundi 7 septembre - où il est question de trois cds de pascal contet
Lundi, 14h30. On vient de finir de faire les courses alimentaires pour la semaine. On vient de déposer les sacs Leclerc, recyclables, dans le coffre de la voiture. On vient de remettre le caddy dans une file d'attente. On a récupéré le jeton. C'est bon ! Les obligations sont accomplies. C'est pourquoi on peut décider d'aller faire un tour d'un pas léger dans les rayons de cds et de polars du Parvis. A tout hasard, on demande au responsable du secteur des disques si "Fantaisies lyriques" est sorti comme annoncé. "Fantaisies lyriques", un disque Sony Music / Sony Classical, 2015. Un disque du duo Paul Meyer, clarinette, et Pascal Contet, Ballone Burini.
D'abord, ce titre ne lui dit rien, mais un coup d'œil vers le rayon des disques classiques suffit pour nous rassurer. Il est là ! Il nous attend ! On est d'autant plus content qu'il n'apparaissait pas ce matin encore dans les stocks d'Amazon. D'où notre doute et notre question.
Mais voilà qu'au moment de partir, une pochette, près de la caisse, attire notre attention : "Utopian Wind solo / Pascal Contet", Plein Jeu 001. Une pochette blanche avec une très belle photo de Pascal lui-même. Au dos, 13 titres. A l'intérieur il est dit qu'il s'agit, à l'origine, d'un enregistrement réalisé en Autiche, en 2013 : une commande du Festival Tage der Utopie, St Arbogast.
Ces indications ainsi que le titre nous font forcément penser à cet album :"Utopian Wind" que Pascal nous avait si aimablement dédicacé un soir glacial et enneigé de janvier 2014, le 15 précisément, à l'issue d'un récital d'improvisations mémorables, à Toulouse. Nous savons que les treize titres du dit album, que nous connaissons par cœur, sont notés de "Dialog 1" à "Dialog 13". Ces mêmes treize titres, sur la pochette du disque que nous découvrons, sont notés avec des noms propres à chacun ; par exemple "Mother" pour le 1 ou "A Deeply Mother's Love !" pour le 13, le dernier. La liste n'apparait donc plus comme une série, comme une déclinaison d'une même inspiration par différence avec l'autre album. Cette différence peut fort bien modifier les attentes que l'on se donne à la lecture de l'énoncé des titres. Je fais même l'hypothèse que les attentes et donc l'écoute sont nécessairement orientées par les titres en question.
Ces deux disques sont certes identiques quant au contenu, mais, même si ce trait de mon caractère peut paraitre puéril - ce que j'assume sans réticence aucune - pas question de ne pas posséder les deux exemplaires. Après tout, ce ne sont pas le même objet.
Maintenant, il s'agit, de retour à la maison, de ranger les courses, de faire du thé, de répondre à quelques courriels... Et alors on pourra passer à l'essentiel, à savoir écouter ces deux/trois albums. On en reparlera bientôt...
D'abord, ce titre ne lui dit rien, mais un coup d'œil vers le rayon des disques classiques suffit pour nous rassurer. Il est là ! Il nous attend ! On est d'autant plus content qu'il n'apparaissait pas ce matin encore dans les stocks d'Amazon. D'où notre doute et notre question.
Mais voilà qu'au moment de partir, une pochette, près de la caisse, attire notre attention : "Utopian Wind solo / Pascal Contet", Plein Jeu 001. Une pochette blanche avec une très belle photo de Pascal lui-même. Au dos, 13 titres. A l'intérieur il est dit qu'il s'agit, à l'origine, d'un enregistrement réalisé en Autiche, en 2013 : une commande du Festival Tage der Utopie, St Arbogast.
Ces indications ainsi que le titre nous font forcément penser à cet album :"Utopian Wind" que Pascal nous avait si aimablement dédicacé un soir glacial et enneigé de janvier 2014, le 15 précisément, à l'issue d'un récital d'improvisations mémorables, à Toulouse. Nous savons que les treize titres du dit album, que nous connaissons par cœur, sont notés de "Dialog 1" à "Dialog 13". Ces mêmes treize titres, sur la pochette du disque que nous découvrons, sont notés avec des noms propres à chacun ; par exemple "Mother" pour le 1 ou "A Deeply Mother's Love !" pour le 13, le dernier. La liste n'apparait donc plus comme une série, comme une déclinaison d'une même inspiration par différence avec l'autre album. Cette différence peut fort bien modifier les attentes que l'on se donne à la lecture de l'énoncé des titres. Je fais même l'hypothèse que les attentes et donc l'écoute sont nécessairement orientées par les titres en question.
Ces deux disques sont certes identiques quant au contenu, mais, même si ce trait de mon caractère peut paraitre puéril - ce que j'assume sans réticence aucune - pas question de ne pas posséder les deux exemplaires. Après tout, ce ne sont pas le même objet.
Maintenant, il s'agit, de retour à la maison, de ranger les courses, de faire du thé, de répondre à quelques courriels... Et alors on pourra passer à l'essentiel, à savoir écouter ces deux/trois albums. On en reparlera bientôt...
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