samedi 31 janvier - joël louveau par retour du courrier
Huit heures. La dame factrice, qui ne sonne toujours qu'une fois, dépose en coup de vent un paquet facilement identifiable devant la porte. Elle est passée par ici, elle ne repassera pas !
Rituel : le paquet bien à plat sur la table. Le temps de rêver un peu à son contenu. L'adresse de l'expéditeur ne me laisse aucun doute.
A l'intérieur, plein de choses belles ou sympathiques. De la documentation sur l'entreprise de Joël Louveau et trois disques. Devant cette profusion de couleurs, je suis comme un enfant. J'assume avec délice cette puérilité. J'espère bien la cultiver jusqu'à mon dernier souffle. C'est une manière, qui en vaut bien d'autres, de retomber en enfance.
Rituel : le paquet bien à plat sur la table. Le temps de rêver un peu à son contenu. L'adresse de l'expéditeur ne me laisse aucun doute.
A l'intérieur, plein de choses belles ou sympathiques. De la documentation sur l'entreprise de Joël Louveau et trois disques. Devant cette profusion de couleurs, je suis comme un enfant. J'assume avec délice cette puérilité. J'espère bien la cultiver jusqu'à mon dernier souffle. C'est une manière, qui en vaut bien d'autres, de retomber en enfance.
- "Cordes et Lames", que toutes mes informations me donnaient comme épuisé. Une vraie résurrection. Fracis Varis, accordéon, Dominique Cravic, guitare, Yves Torchinsky, contrebasse, Jean-Claude Jouy, batterie et Dominique Pifarely, violon, sur un titre. Editeur : Jamuz. Enregistrement et mixage entre le 29 mars et le 9 juin 1983.
- "Trio Elbasan / Un voyage du Danube à la Méditerranée". 2008. Thierry Vaillot, guitare, Héloïse Lefebvre, violon, Christian Toucas, accordéon.
- "Yuri Shishkin / Sonata n° 6 d'Anatoly Kusiakov / Pictures an Exhibition de Modest Mussorgsky". 2008, Waldemar Gudi.
Ma première impression se confirme : l'entreprise Joël Louveau est digne de confiance. Cela vaut la peine d'être signalé, car finalement il n'est pas si fréquent que les délais entre commande et réception soient aussi scrupuleusement respectés. Et puis, je l'avoue, ce 33 tours me touche car j'en avais fait (difficilement ) mon deuil.
Il est temps d'abandonner mon clavier d'ordinateur et de faire chauffer la platine de lecture. D'autant plus que nous avions emporté pour notre voyage à Bordeaux le dernier opus de Titi Robin, "Kali Sultana" (2 cds), avec Francis Varis à l'accordéon, et qu'évidemment nous ne l'avons pas écouté. Trop de tension à l'aller ; pas le coeur au retour.
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