dimanche 10 janvier - présence de richard galliano au concert du nouvel an à pau [1]
Le concert du nouvel an à Pau est un événement culturel majeur dont les Palois sont fiers à juste titre. Un concert du nouvel an qui, vu la demande, est triplé au Zénith, chaque fois plein : samedi 20h30, dimanche 11 heures, dimanche 17 heures. Un public, au total, de 10000 personnes ! Cet événement mériterait un article, il faudrait en dire toutes les qualités ; entre autres le climat de plaisir partagé, mais pour m'en tenir au cadre de ce blog, je me contenterai d'évoquer seulement la présence de Richard Galliano comme invité. A chacune de ses prestations, avec des variantes propres à chacun des concerts, il a donc joué à l'accordéon "La Javanaise", un bon titre pour impliquer le public ravi de fredonner puis de chanter ce chef d'œuvre de Gainsbourg, "Tango pour Claude" et au bandonéon "Adios Nonino" et "Oblivion". Comme variante, par exemple, il a joué avec l'orchestre symphonique, avec les cordes seules, avec le chœur de l'orchestre. Chaque fois avec la même maitrise et la même énergie.
Il y a déjà longtemps que je n'ai plus de mots - sauf à me répéter sans cesse - pour dire mon admiration pour Richard Galliano, c'est pourquoi je m'en tiens à un seul : présence. Avec ce mot, tout est dit. Il apparait. Il joue et, dès les premières mesures, pour moi, le temps s'arrête. A chaque fois, c'est comme si je découvrais une version nouvelle des titres que j'ai entendus maintes fois, soit sur disque, soit en direct live. Et en fait c'est bien chaque fois d'une version originale qu'il s'agit.
En tout cas, pour évoquer ses prestations, j'ai essayé de sélectionner quelques photographies qui expriment bien cette présence, quelques photos qui en disent beaucoup sur cette qualité à la fois artistique et personnelle dont je parlais plus haut. Les photos ci-dessous ont été prises au cours du premier concert, samedi entre 20h30 et 23 heures. Dans l'article suivant, elles ont été prises dimanche, au cours du troisième concert, entre 17 heures et 19h30.
Il y a déjà longtemps que je n'ai plus de mots - sauf à me répéter sans cesse - pour dire mon admiration pour Richard Galliano, c'est pourquoi je m'en tiens à un seul : présence. Avec ce mot, tout est dit. Il apparait. Il joue et, dès les premières mesures, pour moi, le temps s'arrête. A chaque fois, c'est comme si je découvrais une version nouvelle des titres que j'ai entendus maintes fois, soit sur disque, soit en direct live. Et en fait c'est bien chaque fois d'une version originale qu'il s'agit.
En tout cas, pour évoquer ses prestations, j'ai essayé de sélectionner quelques photographies qui expriment bien cette présence, quelques photos qui en disent beaucoup sur cette qualité à la fois artistique et personnelle dont je parlais plus haut. Les photos ci-dessous ont été prises au cours du premier concert, samedi entre 20h30 et 23 heures. Dans l'article suivant, elles ont été prises dimanche, au cours du troisième concert, entre 17 heures et 19h30.
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