samedi 14 janvier - paris jazz corner : 20 ans... 20%... pendant 20 jours...
J'ai dit à maintes reprises à quel point j'apprécie la qualité du service de Paris Jazz Corner. Qu'on en juge : le 10 à 23h57, courriel de PJC annonçant une opération : 20 ans / 20% / 20 jours. Dès le matin du 11, un coup d'oeil sur le catalogue, où je découvre un cd du plus grand intérêt pour moi : "Rencontre à Paris / Raul Barboza et Daniel Colin", 2010, Respect Records, made in Japan. Je passe commande. A 11h42, notification et bon de commande. Ce même jour, 11 janvier, à 13h52, envoi du cd. En rentrant de Toulouse, vendredi 13, à midi, je trouve dans la boite à lettres un avis de passage du transporteur, déposé à 10 heures. Service rapide s'il en est. Et, ce matin, à 11 heures, je récupère mon colissimo à la Poste.
Comme pour "The Last Balkan Tango", on se contente, au moment du déjeuner, d'une écoute en survol. Qui suffit pour nous faire sentir que c'est un beau disque. Disons, pour aller vite, que cet album, qui commence par "Indifférence" est de ceux qui, pour moi, perpétuent un authentique esprit musette. Un de ces disques qui font honte aux "musetteux" qui confondent énergie et sourire niais, pour qui une virtuosité besogneuse et minable au service de la recherche de succès faciles tient lieu d'inspiration, un de ces disques qui discréditent définitivement toutes les boites à rythmes et les dents blanches.
Ici, tout est finesse et discrétion. Avec une complicité de longue date entre Daniel Colin et Raul Barboza. On reconnait immédiatement leurs différences et vdu coup chaque interprétation prend une "épaisseur" exceptionnelle. On comprend la passion des japonais pour cet accordéon. Ils ont bon goût !
Le disque est accompagné d'un livret en japonais. Evidemment, indéchiffrable pour moi, ce qui ajoute au charme de l'objet. En français, les textes des chansons, car à côté des instrumentaux il y a en effet quelques chansons célébres, disons dans la tradition parisienne : "A Paris dans chaque faubourg", "Quel temps fait-il à Paris ?", "Les feuilles mortes", etc... Et, à côté des deux accordéonistes, il y a Claire Elzière, chant, Dominique Cravic, guitare et voix, Grégory Veux, piano, Laurent Larcher, contrebasse, Bertrand Auger, clarinette, Jean-Michel Davis, vibraphone et percussions.
Bon ! Il ne reste plus qu'à trouver du temps pour savourer...
Comme pour "The Last Balkan Tango", on se contente, au moment du déjeuner, d'une écoute en survol. Qui suffit pour nous faire sentir que c'est un beau disque. Disons, pour aller vite, que cet album, qui commence par "Indifférence" est de ceux qui, pour moi, perpétuent un authentique esprit musette. Un de ces disques qui font honte aux "musetteux" qui confondent énergie et sourire niais, pour qui une virtuosité besogneuse et minable au service de la recherche de succès faciles tient lieu d'inspiration, un de ces disques qui discréditent définitivement toutes les boites à rythmes et les dents blanches.
Ici, tout est finesse et discrétion. Avec une complicité de longue date entre Daniel Colin et Raul Barboza. On reconnait immédiatement leurs différences et vdu coup chaque interprétation prend une "épaisseur" exceptionnelle. On comprend la passion des japonais pour cet accordéon. Ils ont bon goût !
Le disque est accompagné d'un livret en japonais. Evidemment, indéchiffrable pour moi, ce qui ajoute au charme de l'objet. En français, les textes des chansons, car à côté des instrumentaux il y a en effet quelques chansons célébres, disons dans la tradition parisienne : "A Paris dans chaque faubourg", "Quel temps fait-il à Paris ?", "Les feuilles mortes", etc... Et, à côté des deux accordéonistes, il y a Claire Elzière, chant, Dominique Cravic, guitare et voix, Grégory Veux, piano, Laurent Larcher, contrebasse, Bertrand Auger, clarinette, Jean-Michel Davis, vibraphone et percussions.
Bon ! Il ne reste plus qu'à trouver du temps pour savourer...
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