dimanche 3 septembre - la rentrée est là, mais "accordéon et accordénistes" n'y est pas...
La rentrée est là avec son ensemble d'impedimenta, avec son lot de taches ordinaires, d'obligations, de bonnes intentions et de projets. Avec les factures à payer, qui sont arrivées en nombre au cours de la dernière semaine d'août. Avec le plaisir de retrouver la maison et son jardin hirsute, les commerçants du quartier, les copains et de recommencer à chercher des concerts programmés d'ici la fin de l'année et même pour certains d'ici le printemps. Avec la perspective de Tulle d'ici mi-septembre...
Mais... Comment dire ?... Une impression étrange de manque. Un seul être nous manque et c'est un vide bizarre que nous éprouvons. Cette sensation de vide, à quoi tient-elle ? Forcément, à l'absence de la revue "Accordéons et accordéonistes" depuis le mois de juillet et à l'annonce, dont je me suis fait l'écho en cette fin du mois d'août, du dépôt de bilan de son éditeur. Triste nouvelle !
Evidemment, la fin des livraisons de la revue emblématique de l'accordéon, c'est triste. Je n'avais pas vu venir le coup. On va vite constater à quel point le manque quant à la circulation d'informations et l'accès aux nouvelles sera vite considérable. Une absence irremplaçable.
......
En feuilletant ma collection d'"Accordéon et accordéonistes" - depuis mai 2005, numéro 42 -, je me rends compte d'une sorte de clivage entre des articles ou des rubriques dont je regretterai la disparition et d'autres qui, en vérité, ne convenaient pas à mes intérêts. C'est ainsi que j'avais du goût pour certains portraits ou entretiens, pour la plupart des Têtes d'affiche, pour l'agenda, pour les chroniques et autres critiques de cds (pas des dvds), pour la dernière page - "Le meilleur pour la fin" - pour ses qualités informatives et malgré son titre ridicule. J'ai beaucoup apprécié aussi les articles magistraux de W. Sabatier sur le tango, les articles de P. Contet sous le titre "L'instant Contet", une vision du monde personnelle et originale, un regard authentiquement culturel. Sans oublier, trop rares, les photos de R. Rinaldi. Magnifiques.
Par contre, je n'ai jamais apprécié les photos des Echos Musette. A ce sujet, j'avais parlé de clones... de clones au sourire béat et aux dents blanches... Je n'ai pas aimé, pas du tout, certains articles, dans le cadre Pédagogie, dithyrambiques, sur tel ou tel organisateur de formation, membre de jurys nationaux et internationaux, etc... etc... Trop d'admiration, c'est trop. Idem, je n'ai pas aimé les articles de la rubrique Tête d'affiche Musette. De numéro en numéro, cette impression de lire, de relire et de rerelire la même biographie.
Bon ! Tout ça ne constitue en rien un jugement. Ce qui me plaisait et ce qui ne me plaisait pas, je pensais que cela s'adressait à un lectorat assez nombreux et fidèle pour assurer la vie de la revue. En tout cas, si elle renaissait de ses cendres, je serais parmi les premiers soutiens et abonnés.
Mais... Comment dire ?... Une impression étrange de manque. Un seul être nous manque et c'est un vide bizarre que nous éprouvons. Cette sensation de vide, à quoi tient-elle ? Forcément, à l'absence de la revue "Accordéons et accordéonistes" depuis le mois de juillet et à l'annonce, dont je me suis fait l'écho en cette fin du mois d'août, du dépôt de bilan de son éditeur. Triste nouvelle !
Evidemment, la fin des livraisons de la revue emblématique de l'accordéon, c'est triste. Je n'avais pas vu venir le coup. On va vite constater à quel point le manque quant à la circulation d'informations et l'accès aux nouvelles sera vite considérable. Une absence irremplaçable.
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En feuilletant ma collection d'"Accordéon et accordéonistes" - depuis mai 2005, numéro 42 -, je me rends compte d'une sorte de clivage entre des articles ou des rubriques dont je regretterai la disparition et d'autres qui, en vérité, ne convenaient pas à mes intérêts. C'est ainsi que j'avais du goût pour certains portraits ou entretiens, pour la plupart des Têtes d'affiche, pour l'agenda, pour les chroniques et autres critiques de cds (pas des dvds), pour la dernière page - "Le meilleur pour la fin" - pour ses qualités informatives et malgré son titre ridicule. J'ai beaucoup apprécié aussi les articles magistraux de W. Sabatier sur le tango, les articles de P. Contet sous le titre "L'instant Contet", une vision du monde personnelle et originale, un regard authentiquement culturel. Sans oublier, trop rares, les photos de R. Rinaldi. Magnifiques.
Par contre, je n'ai jamais apprécié les photos des Echos Musette. A ce sujet, j'avais parlé de clones... de clones au sourire béat et aux dents blanches... Je n'ai pas aimé, pas du tout, certains articles, dans le cadre Pédagogie, dithyrambiques, sur tel ou tel organisateur de formation, membre de jurys nationaux et internationaux, etc... etc... Trop d'admiration, c'est trop. Idem, je n'ai pas aimé les articles de la rubrique Tête d'affiche Musette. De numéro en numéro, cette impression de lire, de relire et de rerelire la même biographie.
Bon ! Tout ça ne constitue en rien un jugement. Ce qui me plaisait et ce qui ne me plaisait pas, je pensais que cela s'adressait à un lectorat assez nombreux et fidèle pour assurer la vie de la revue. En tout cas, si elle renaissait de ses cendres, je serais parmi les premiers soutiens et abonnés.
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