mercredi 29 juin - où il est question de miossec, de yohann riche, de quelques autres musiciens... et de mammifères
Il y a quelques jours, on avait découvert le dernier opus de Miossec : "Mammifères" à l'occasion du moment live de l'émission "C à vous". Disons que les propos et le style de Miossec nous avaient intéressés. Mais de surcroit il y avait la présence de Yohann Riche, que nous avions tout de suite identifié. Yohann et son "hénaurme" Beltuna, reconnaissable entre mille accordéons. On avait forcément à cœur d'en écouter plus.
Françoise, à l'occasion de moult explorations du côté de YouTube, avait justement exploré plusieurs morceaux de cet album et, comme moi, avait envie de l'acquérir. On a donc - stratégie classique - profité des courses du samedi pour le ramener à la maison. Et depuis, on l'écoute en priorité. On l'écoute forcément, mais c'est aussi un plaisir de manipuler "l'objet". C'est en effet un bel objet, fort bien fini, agréable à l'oreille et à la vue. Très réussi du point de vue plastique avec un livret beau et informatif. On y trouve par exemple les textes des onze chansons de l'album. Pour l'heure, c'est le titre 5 "Les écailles" qui est mon préféré. Mais le 6 "La nuit est bleue" me touche aussi beaucoup. Question d'atmosphère. Mélancolie, quand tu nous tiens...
En fait, de manière générale, autant j'ai plaisir à écouter de la musique "pure", je veux dire des morceaux instrumentaux, autant j'ai peu de goût pour les chansons : paroles et musique. J'ai en effet avec les chansons le plus grand mal à les apprécier car je n'arrive pas à percevoir ensemble et les paroles et la musique. Bien loin de se renforcer, ces deux éléments en même temps m'embrouillent... Ou j'écoute la musique et je perds le fil et le sens des paroles ou j'écoute les paroles et la musique me fuit.
Mais là, en l'occurrence, après plusieurs écoutes, je réussis à percevoir la voix de Miossec non comme porteuse de paroles et de messages textuels mais comme un instrument comme les autres, avec les autres : guitares, accordéon, violon, etc... Et cette perception est un vrai plaisir. Plus tard, c'est certain, j'écouterai la totalité des titres en lisant les textes donnés sur le livret. Patience ! En route vers la synthèse.
Mais en attendant, déjà, je dois dire que mon attention se focalise en priorité sur l'accordéon de Yohann et sur le violon. L'orchestration est magnifique de complexité et de nuances subtiles. Et Yohann donc ! Quel artiste ! A lui seul capable de nous entrainer dans son monde, si singulier. C'est ce qu'on appelle la présence.
Avant de terminer cet article, juste un post-scriptum. De plus en plus, les titres 10 "L'innocence" (5:08) et 11 "Papa" (2:53) deviennent mes préférences. Et ça n'a pas fini de changer...
Françoise, à l'occasion de moult explorations du côté de YouTube, avait justement exploré plusieurs morceaux de cet album et, comme moi, avait envie de l'acquérir. On a donc - stratégie classique - profité des courses du samedi pour le ramener à la maison. Et depuis, on l'écoute en priorité. On l'écoute forcément, mais c'est aussi un plaisir de manipuler "l'objet". C'est en effet un bel objet, fort bien fini, agréable à l'oreille et à la vue. Très réussi du point de vue plastique avec un livret beau et informatif. On y trouve par exemple les textes des onze chansons de l'album. Pour l'heure, c'est le titre 5 "Les écailles" qui est mon préféré. Mais le 6 "La nuit est bleue" me touche aussi beaucoup. Question d'atmosphère. Mélancolie, quand tu nous tiens...
En fait, de manière générale, autant j'ai plaisir à écouter de la musique "pure", je veux dire des morceaux instrumentaux, autant j'ai peu de goût pour les chansons : paroles et musique. J'ai en effet avec les chansons le plus grand mal à les apprécier car je n'arrive pas à percevoir ensemble et les paroles et la musique. Bien loin de se renforcer, ces deux éléments en même temps m'embrouillent... Ou j'écoute la musique et je perds le fil et le sens des paroles ou j'écoute les paroles et la musique me fuit.
Mais là, en l'occurrence, après plusieurs écoutes, je réussis à percevoir la voix de Miossec non comme porteuse de paroles et de messages textuels mais comme un instrument comme les autres, avec les autres : guitares, accordéon, violon, etc... Et cette perception est un vrai plaisir. Plus tard, c'est certain, j'écouterai la totalité des titres en lisant les textes donnés sur le livret. Patience ! En route vers la synthèse.
Mais en attendant, déjà, je dois dire que mon attention se focalise en priorité sur l'accordéon de Yohann et sur le violon. L'orchestration est magnifique de complexité et de nuances subtiles. Et Yohann donc ! Quel artiste ! A lui seul capable de nous entrainer dans son monde, si singulier. C'est ce qu'on appelle la présence.
Avant de terminer cet article, juste un post-scriptum. De plus en plus, les titres 10 "L'innocence" (5:08) et 11 "Papa" (2:53) deviennent mes préférences. Et ça n'a pas fini de changer...
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