lundi 3 octobre - pulcinella à l'astrada : sept photonotes de florian demonsant
Les six photonotes ci-dessous ont été prises du quatrième rang entre 21h11 et 22h40. La septième a été prise à 21h38. Elle a une particularité qui la différencie des autres. Nous verrons in fine quelle est cette particularité. J'ai choisi ces photographies ni pour leur qualité informative, encore moins pour leur qualité technique, mais uniquement pour leur qualité de punctum, au sens où Roland Barthes désigne par cette notion un certain impact de l'image. Impact qui n'a rien à voir avec une connaissance transmise par l'image ou avec sa valeur documentaire, mais qui est fonction de l'émotion ressentie.
21h11. Le concert vient de commencer. Lumière rouge, soufflet rouge ouvert, regard intérieur, les doigts de la main droite.
21h28. Les lumières ont viré au blanc. Image moins estompée que la première. Eclairage plus dur. Attention aux autres.
21h46. Toujours une lumière blanche. Les doigts sur les claviers. Soufflet replié. Attitude introvertie. Concentration. une autre manière d'attention aux autres. Présence du public ?
21h48. Cette photographie, ci-dessous, je l'aime bien. J'ai vraiment voulu la cadrer telle qu'elle est. Le rouge et le noir avec une grande forme bleue. Et le micro qui est comme une balafre sur le rideau de scène. Cette géomètrie me plait assez.
22h31. A nouveau la lumière blanche et crue. Je vois dans cette photographie une image de la concentration, du dialogue entre soi et soi. Et toujours les doigts.
22h40. La fin du concert approche. J'ai gardé cette image pour le regard. Toujours aussi intérieur ; non point parce que les yeux sont clos, mais parce que le regard se perd au-delà... Au-delà de quoi ? Au-delà ! Disons au-delà de l'horizon.
Et puis, il y a la photographie ci-dessous, qui a été prise à 21h38. Sa particularité tient en une question :"Mais où est donc passé l'accordéon ?".
21h11. Le concert vient de commencer. Lumière rouge, soufflet rouge ouvert, regard intérieur, les doigts de la main droite.
21h28. Les lumières ont viré au blanc. Image moins estompée que la première. Eclairage plus dur. Attention aux autres.
21h46. Toujours une lumière blanche. Les doigts sur les claviers. Soufflet replié. Attitude introvertie. Concentration. une autre manière d'attention aux autres. Présence du public ?
21h48. Cette photographie, ci-dessous, je l'aime bien. J'ai vraiment voulu la cadrer telle qu'elle est. Le rouge et le noir avec une grande forme bleue. Et le micro qui est comme une balafre sur le rideau de scène. Cette géomètrie me plait assez.
22h31. A nouveau la lumière blanche et crue. Je vois dans cette photographie une image de la concentration, du dialogue entre soi et soi. Et toujours les doigts.
22h40. La fin du concert approche. J'ai gardé cette image pour le regard. Toujours aussi intérieur ; non point parce que les yeux sont clos, mais parce que le regard se perd au-delà... Au-delà de quoi ? Au-delà ! Disons au-delà de l'horizon.
Et puis, il y a la photographie ci-dessous, qui a été prise à 21h38. Sa particularité tient en une question :"Mais où est donc passé l'accordéon ?".
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil