mercredi 18 mai - à propos des troublamours
J'ai dit dans mon post précédent comment nous avions eu le plaisir d'écouter les "Troublamours" et comment, à l'issue de leur concert, samedi, nous avions découvert un de leurs disques, que nous ne connaissions pas, "Les Troublamours / Tarantelle gitano guinguette", compilation faite à partir de trois disques : "Ama l'acqua", "Air tadjiguin", "La ballade de Ninour", respectivement de 2007, 2004 et 2002.
Depuis lors nous avons eu l'occasion d'écouter ce disque de neuf titres et c'est un vrai plaisir. Je trouve que l'on met facilement le terme "festif" à toutes les sauces, mais en l'occurrence il me parait pertinent. Cinq titres sur les neuf sont signés d'Emmanuel Ferrari, l'accordéoniste, qui a vraiment un sens mélodique très sûr comme compositeur et comme interprète une présence qui en fait le pilier ou le pivot des "Troublamours". Les quatre autres titres sont un arrangement d'un air traditionnel par E. Ferrari, deux traditionnels arrangés par les "Troublamours" et une création par les mêmes.
La liste de ces titres suffit pour donner une idée de leur source d'inspiration ou, si l'on veut, pour traduire plus concrétement leur profession de foi : tarantella gitano guinguette. C'est ainsi que l'on trouve :
- primo piano
- la ballade de ninour
- ellela
- pallumella
- nostalgie et spaghetti
- tarantelle du porche
- sauvons la société
- tarantella e stornelli
- yiddish ska
En fait, depuis lundi, nous nous sommes installés à Hossegor. On a encore quelques difficultés avec le terrasse qui, décidément, manque d'étanchéité. Heureusement qu'il pleut peu ! Lundi, en fin d'après-midi, le chef de chantier est venu procéder à une mise en eau. A minuit et demie, Françoise m'a réveillé. On a dû déboucher les évacuations pour vider l'eau précipitamment, le plafond s'étant transformé en passoire. Bref, je la fais courte, car après tout ce sont de petits malheurs, depuis ce matin deux ouvriers refont entièrement la terrasse... Il semble qu'on ait eu affaire à un défaut de revêtement, qui était poreux, ce qui explique pourquoi l'on n'arrivait pas à localiser un ou quelques points d'infiltration précis.
Pendant que les ouvriers travaillent, de notre côté on s'active pour déjà préparer la villa pour les vacances. Françoise fait les vitres et quelques autres chasses à la poussière, sans compter la cuisine ; pour ma part, j'ai arrosé l'herbe que je n'ose pas appeler pelouse, arrosé aussi quelques autres plantations, peint le portail en bleu lavande et les cabochons de fixation en noir... Pour rythmer nos travaux, il y a les engins et autres machines du chantier d'en face ou, variante, des jardiniers qui tondent ou élaguent. Il y a certes peu de monde à Hossegor en cette saison, mais un nombre finalement limité d'artisans suffit pour remplir l'espace de décibels. C'est pour cela que j'aime bien Hossegor : c'est vivant en toute saison. Même sur la plage, il y a d'énormes machins, assez bruyants, pour soigner et préparer le sable pour les estivants.
Et alors, me direz-vous, mais quand avez-vous écouté les "Troublamours" ? Eh bien, le soir. Et les soirées sont longues quand on ne regarde pas la télé. Juste un peu à midi et au moment du repas du soir, histoire de savoir ce qu'il en est de l'actualité, et puis accordéon, accordéon, accordéon... C'est pour ça aussi que j'aime bien Hossegor : on a pris l'habitude de ne plus regarder la télé en soirée, du coup c'est comme si on se fabriquait du temps d'écoute. Et c'est bien ! Ici, on a du mal à imaginer un monde qui s'agite. C'est comme si le temps prenait son temps.
Depuis lors nous avons eu l'occasion d'écouter ce disque de neuf titres et c'est un vrai plaisir. Je trouve que l'on met facilement le terme "festif" à toutes les sauces, mais en l'occurrence il me parait pertinent. Cinq titres sur les neuf sont signés d'Emmanuel Ferrari, l'accordéoniste, qui a vraiment un sens mélodique très sûr comme compositeur et comme interprète une présence qui en fait le pilier ou le pivot des "Troublamours". Les quatre autres titres sont un arrangement d'un air traditionnel par E. Ferrari, deux traditionnels arrangés par les "Troublamours" et une création par les mêmes.
La liste de ces titres suffit pour donner une idée de leur source d'inspiration ou, si l'on veut, pour traduire plus concrétement leur profession de foi : tarantella gitano guinguette. C'est ainsi que l'on trouve :
- primo piano
- la ballade de ninour
- ellela
- pallumella
- nostalgie et spaghetti
- tarantelle du porche
- sauvons la société
- tarantella e stornelli
- yiddish ska
En fait, depuis lundi, nous nous sommes installés à Hossegor. On a encore quelques difficultés avec le terrasse qui, décidément, manque d'étanchéité. Heureusement qu'il pleut peu ! Lundi, en fin d'après-midi, le chef de chantier est venu procéder à une mise en eau. A minuit et demie, Françoise m'a réveillé. On a dû déboucher les évacuations pour vider l'eau précipitamment, le plafond s'étant transformé en passoire. Bref, je la fais courte, car après tout ce sont de petits malheurs, depuis ce matin deux ouvriers refont entièrement la terrasse... Il semble qu'on ait eu affaire à un défaut de revêtement, qui était poreux, ce qui explique pourquoi l'on n'arrivait pas à localiser un ou quelques points d'infiltration précis.
Pendant que les ouvriers travaillent, de notre côté on s'active pour déjà préparer la villa pour les vacances. Françoise fait les vitres et quelques autres chasses à la poussière, sans compter la cuisine ; pour ma part, j'ai arrosé l'herbe que je n'ose pas appeler pelouse, arrosé aussi quelques autres plantations, peint le portail en bleu lavande et les cabochons de fixation en noir... Pour rythmer nos travaux, il y a les engins et autres machines du chantier d'en face ou, variante, des jardiniers qui tondent ou élaguent. Il y a certes peu de monde à Hossegor en cette saison, mais un nombre finalement limité d'artisans suffit pour remplir l'espace de décibels. C'est pour cela que j'aime bien Hossegor : c'est vivant en toute saison. Même sur la plage, il y a d'énormes machins, assez bruyants, pour soigner et préparer le sable pour les estivants.
Et alors, me direz-vous, mais quand avez-vous écouté les "Troublamours" ? Eh bien, le soir. Et les soirées sont longues quand on ne regarde pas la télé. Juste un peu à midi et au moment du repas du soir, histoire de savoir ce qu'il en est de l'actualité, et puis accordéon, accordéon, accordéon... C'est pour ça aussi que j'aime bien Hossegor : on a pris l'habitude de ne plus regarder la télé en soirée, du coup c'est comme si on se fabriquait du temps d'écoute. Et c'est bien ! Ici, on a du mal à imaginer un monde qui s'agite. C'est comme si le temps prenait son temps.
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