mardi 17 mai - les troublamours : tadjiguinie
Samedi 14 mai, 21 heures, Théâtre Alexis Peyret à Serres Castet, banlieue de Pau. "L'association Vie et Culture présente TADJIGUINIE par les Troublamours".
Qu'est-ce que la Tadjiguinie ? Il suffit de taper le mot sur Google pour avoir l'explication :
" TADJIGUINIE
Née de l’aspiration des Troublamours, la Tadjiguinie est un pays imaginaire se matérialisant au gré des rassemblements de ses citoyens…
Ici,là-bas,ailleurs…un pays ou fête et conscience sont richesses de l’âme, c’est aussi un état d’esprit inspiré par des hommes poétiques et infesté de vagabonds citoyens nourris par l’espérance d’une humanité plus respectueuses de ses habitants et de leur environnement.
Ambrassadeurs de l’Etat d’Esprit Tadjiguin, les Troublamours sont une fanfare de poche qui débarque pour vous offrir un bouquet d’intentions en tous genres : numéro de tubapprivoisé, cracheur de jeu, jongleur de mots, et les deux charlatans bourrins distillant leur inimitable elixir de la tarantule. Ils créent un périmètre d’insécurité où il se peut que vous soyez pris en hommage ".
Pour en savoir plus, cliquer sur le lien ci-dessous :
http://troublamours.free.fr/01_tagjiguinie/index.html
Et pour en savoir plus sur les troublamours en tant que tels, taper sur le lien vers leur myspace :
http://www.myspace.com/troublamours
Le concert est prévu à 21 heures. Evidemment, on est sur le parking à 20 h 15. On est très en avance ; c'est notre manière de nous mettre dans l'ambiance, de jauger l'allure des spectateurs et, souvent, de rencontrer les musiciens entre les derniers réglages et le début du concert. C'est ainsi que l'on a croisé d'abord Emmanuel Ferrari avec sa copine, puis plus tard les quatre autres membres de l'équipe, avec qui on a discuté agréablement de leurs tournées dans la région et en Italie, de leurs conditions de travail et de leurs projets. On a toujours grand plaisir à retrouver ainsi les Troublamours. Je crois que ça les amuse aussi de nous voir, autant que possible, fidèles à leurs rendez-vous.
Un mot encore, avant le début du concert, sur la Tadjiguinie. Ce pays imaginaire au plan politique et sociologique se situe, musicalement parlant, et très subjectivement pour nous, entre l'Italie du Sud, la Sardaigne plus précisément, et une région qui pourrait être la Moldavie. Elle se déploie entre tarentelles et valses avec des morceaux instrumentaux et d'autres chantés, en italien. Le tout pimenté d'une bonne dose d'humour.
A 21 h 09, le quintet s'est mis en place et vient d'entamer le premier titre. On reconnait Eric Chafer, bassotuba, euphonium ; Christophe Paris, saxophone alto, clarinette ; Simon Ferrari, voix, saxophone soprano, gralla ; Bruno Bernes, voix, tamburella, cajon, batteria ; Emmanuel Ferrari, fisarmonica, voix.
21 h 19. Emmanuel Ferrari, sa fisarmonica et sa façon bien à lui de tenir son instrument. Je suis épaté, tout au long du concert, par le jeu de sa main droite et de sa main gauche.
22 h 00. Une autre image du même, pour le plaisir des yeux. J'aime en effet la simplicité et le dépouillement de ce cliché. Il rend bien compte de la posture d'Emmanuel.
22 h 13. Le quintet entoure Simon au chant et, ayant rompu la disposition frontale, semble le soutenir et l'entourer de toute sa protection. On sent beaucoup de connivences entre les cinq.
Il est 22 h 33. Après un rappel, les cinq , comme à leur habitude, descendent de la scène et se mêlent au public ravi. Si l'on ne danse pas, on chante et l'on frappe en cadence dans les mains. Bref, on est content. Tout simplement ! Je me dis à ce moment-là que ces Troublamours, décidément, s'améliorent de prestation en prestation. Il nous tarde de trouver une date où les écouter à nouveau.
Qu'est-ce que la Tadjiguinie ? Il suffit de taper le mot sur Google pour avoir l'explication :
" TADJIGUINIE
Née de l’aspiration des Troublamours, la Tadjiguinie est un pays imaginaire se matérialisant au gré des rassemblements de ses citoyens…
Ici,là-bas,ailleurs…un pays ou fête et conscience sont richesses de l’âme, c’est aussi un état d’esprit inspiré par des hommes poétiques et infesté de vagabonds citoyens nourris par l’espérance d’une humanité plus respectueuses de ses habitants et de leur environnement.
Ambrassadeurs de l’Etat d’Esprit Tadjiguin, les Troublamours sont une fanfare de poche qui débarque pour vous offrir un bouquet d’intentions en tous genres : numéro de tubapprivoisé, cracheur de jeu, jongleur de mots, et les deux charlatans bourrins distillant leur inimitable elixir de la tarantule. Ils créent un périmètre d’insécurité où il se peut que vous soyez pris en hommage ".
Pour en savoir plus, cliquer sur le lien ci-dessous :
http://troublamours.free.fr/01_tagjiguinie/index.html
Et pour en savoir plus sur les troublamours en tant que tels, taper sur le lien vers leur myspace :
http://www.myspace.com/troublamours
Le concert est prévu à 21 heures. Evidemment, on est sur le parking à 20 h 15. On est très en avance ; c'est notre manière de nous mettre dans l'ambiance, de jauger l'allure des spectateurs et, souvent, de rencontrer les musiciens entre les derniers réglages et le début du concert. C'est ainsi que l'on a croisé d'abord Emmanuel Ferrari avec sa copine, puis plus tard les quatre autres membres de l'équipe, avec qui on a discuté agréablement de leurs tournées dans la région et en Italie, de leurs conditions de travail et de leurs projets. On a toujours grand plaisir à retrouver ainsi les Troublamours. Je crois que ça les amuse aussi de nous voir, autant que possible, fidèles à leurs rendez-vous.
Un mot encore, avant le début du concert, sur la Tadjiguinie. Ce pays imaginaire au plan politique et sociologique se situe, musicalement parlant, et très subjectivement pour nous, entre l'Italie du Sud, la Sardaigne plus précisément, et une région qui pourrait être la Moldavie. Elle se déploie entre tarentelles et valses avec des morceaux instrumentaux et d'autres chantés, en italien. Le tout pimenté d'une bonne dose d'humour.
A 21 h 09, le quintet s'est mis en place et vient d'entamer le premier titre. On reconnait Eric Chafer, bassotuba, euphonium ; Christophe Paris, saxophone alto, clarinette ; Simon Ferrari, voix, saxophone soprano, gralla ; Bruno Bernes, voix, tamburella, cajon, batteria ; Emmanuel Ferrari, fisarmonica, voix.
21 h 19. Emmanuel Ferrari, sa fisarmonica et sa façon bien à lui de tenir son instrument. Je suis épaté, tout au long du concert, par le jeu de sa main droite et de sa main gauche.
22 h 00. Une autre image du même, pour le plaisir des yeux. J'aime en effet la simplicité et le dépouillement de ce cliché. Il rend bien compte de la posture d'Emmanuel.
22 h 13. Le quintet entoure Simon au chant et, ayant rompu la disposition frontale, semble le soutenir et l'entourer de toute sa protection. On sent beaucoup de connivences entre les cinq.
22 h 15. A propos de connivence, cette image exprime bien une sorte de dialogue qui s'est établi entre le tambourin, la voix de Bruno Bernes et la fisarmonica.
Il est 22 h 33. Après un rappel, les cinq , comme à leur habitude, descendent de la scène et se mêlent au public ravi. Si l'on ne danse pas, on chante et l'on frappe en cadence dans les mains. Bref, on est content. Tout simplement ! Je me dis à ce moment-là que ces Troublamours, décidément, s'améliorent de prestation en prestation. Il nous tarde de trouver une date où les écouter à nouveau.
A l'issue du concert, on s'attarde un peu au bar. L'association est gérée par des bénévoles qui se sont mis en quatre pour que cette soirée soit réussie. Ils y sont parvenus. On discute un peu avec les musiciens autour de quelques verres de blanc doux. Ils ne s'attardent pas, car ils sont invités à un mariage à Tarbes. On a le temps cependant de leur acheter un disque :
- "Les Troublamours / Tarentelle gitano guinguette", Anima Mundi Edizioni, Otranto 2008.C'est une compilation à partir de trois morceaux pris dans chacun des albums suivants : "Ama l'acqua", 2007 ; "Air tadjiguin", 2004, "La ballade de Ninour", 2002. Neuf titres donc par le quartet, avant l'arrivée de Christophe Paris au saxophone, mais avec plein d'invités.
Cet album vient compléter celui que nous leur avions acheté à Nogaro et qu'ils avaient agrémenté de maintes phrases et dessins :
- "Les Troublamours / Hibou du Monde", Anima Mundi Edizioni, Otranto 2009.
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