vendredi 22 octobre - jazzèbre : trois photonotes de luciano biondini
Luciano Biondini joue sur plusieurs disques de Rabih Abou-Khalil. Chaque fois, j'ai aimé la rencontre de l'oud libanais et du fisarmonica "Victoria" italien. L'occasion de les écouter live à Perpignan était trop belle ! De surcroît, j'ai particulièrement apprécié "Em português". Or, le concert était en fait tiré de cet album. Il s'agit d'un choix de poèmes portugais qu'Abou-Khalil a mis en musique. Parfois, en écoutant la présentation qu'il faisait des différents morceaux et en les écoutant avec une certaine distance, j'ai pensé au tango. Non par les rythmes certes, mais par un certain humour : dans les deux cas, on est au paroxysme de l'émotion, on souffre d'aimer et de ne pas être aimé, on se déchire, on est en miettes, mais un clin ici ou là montre que ça n'est pas une tragédie. Le plaisir, c'est comme un délicieux poison.
Il est 22h56. Biondini, visage d'ange du Quattrocento, malgré les apparences, a une présence formidable.
Biondini et Ribeiro ont les yeux clos. On croirait qu'ils sont un peu absents. Erreur. Ils font le plein d'énergie.
23h56. On est tout près de la fin. Abou-Khalil toujours aussi tendu. Biondini toujours aussi présent.
Il est 22h56. Biondini, visage d'ange du Quattrocento, malgré les apparences, a une présence formidable.
Biondini et Ribeiro ont les yeux clos. On croirait qu'ils sont un peu absents. Erreur. Ils font le plein d'énergie.
23h56. On est tout près de la fin. Abou-Khalil toujours aussi tendu. Biondini toujours aussi présent.
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