jeudi 1er octobre - paris concert live at the théâtre du châtelet
Au début de l'année, Françoise, qui consulte très régulièrement le site de Richard Galliano, avait obtenu deux invitations pour un concert solo qu'il donnait le 9 mars au foyer du théâtre du Châtelet. Mais, la santé de mon père nous avait contraint à renoncer à y assister. On se demandait quel avait été le programme. On n'attendait pas d'enregistrement de ce concert plutôt confidentiel.
Mais il y a quelques jours, Françoise, qui consulte donc toujours aussi régulièrement le site de Galliano et qui assure ainsi une veille vigilante, si j'ose dire, en tout cas sans failles, m'appelle pour me montrer, un peu étonnée, l'annonce de la sortie d'un nouveau cd prévue le 24 septembre. Dans l'heure qui suit, je vais vérifier l'information auprès du responsable "musique" du Parvis. Vérification faite, le cd doit être dans les bacs le 28.
Bref, dès l'ouverture du magasin, lundi, j'ai le plaisir de récupérer, tout chaud sorti du paquet "Harmonia Mundi", "Richard Galliano / Paris Concert Live at the Théâtre du Châtelet".
Un disque solo donc. Enregistrement live. La liste des titres suffit à donner une idée juste de cet opus d'une durée de 42 minutes 28 :
- Chat pitre
- Gnossienne n°1
- Gnossienne n°2
- Sertao
- Sheng
- Bagatelle
- La Javanaise
- Caruso
- New York Tango
- Round Midnight
- Oblivion
- Aria
En écoutant cet enregistrement, j'ai eu immédiatement le sentiment d'une oeuvre très personnelle. Bien sûr, tout ce que joue Galliano, seul ou avec d'autres musiciens, est marqué du sceau de sa personnalité et de son style, mais en l'occurrence j'ai l'intuition qu'il s'agit d'un choix où, si j'ose dire, son implication est tout à fait particulière. Je ne sais comment dire mon sentiment, mais il me semble qu'il a voulu provoquer l'occasion de ce concert pour approfondir quelque chose, pour expérimenter un je ne sais quoi, qui pourtant relie entre eux tous les morceaux. D'où un sentiment de très grande unité. C'est comme si l'on avait affaire à une vision du monde.
Pour le dire en quelques mots, en écoutant les douze titres de ce disque, j'ai l'impression que Richard Galliano essaie de nous faire partager quelque chose d'essentiel, une manière particulière de les éclairer et de les mettre en scène. En ce sens, il y aurait quelque analogie entre son entreprise et celle du peintre qui, à sa façon et avec son regard, nous dévoile le monde en choisissant un point de vue et un cadrage pour le représenter.
Mais il y a quelques jours, Françoise, qui consulte donc toujours aussi régulièrement le site de Galliano et qui assure ainsi une veille vigilante, si j'ose dire, en tout cas sans failles, m'appelle pour me montrer, un peu étonnée, l'annonce de la sortie d'un nouveau cd prévue le 24 septembre. Dans l'heure qui suit, je vais vérifier l'information auprès du responsable "musique" du Parvis. Vérification faite, le cd doit être dans les bacs le 28.
Bref, dès l'ouverture du magasin, lundi, j'ai le plaisir de récupérer, tout chaud sorti du paquet "Harmonia Mundi", "Richard Galliano / Paris Concert Live at the Théâtre du Châtelet".
Un disque solo donc. Enregistrement live. La liste des titres suffit à donner une idée juste de cet opus d'une durée de 42 minutes 28 :
- Chat pitre
- Gnossienne n°1
- Gnossienne n°2
- Sertao
- Sheng
- Bagatelle
- La Javanaise
- Caruso
- New York Tango
- Round Midnight
- Oblivion
- Aria
En écoutant cet enregistrement, j'ai eu immédiatement le sentiment d'une oeuvre très personnelle. Bien sûr, tout ce que joue Galliano, seul ou avec d'autres musiciens, est marqué du sceau de sa personnalité et de son style, mais en l'occurrence j'ai l'intuition qu'il s'agit d'un choix où, si j'ose dire, son implication est tout à fait particulière. Je ne sais comment dire mon sentiment, mais il me semble qu'il a voulu provoquer l'occasion de ce concert pour approfondir quelque chose, pour expérimenter un je ne sais quoi, qui pourtant relie entre eux tous les morceaux. D'où un sentiment de très grande unité. C'est comme si l'on avait affaire à une vision du monde.
Pour le dire en quelques mots, en écoutant les douze titres de ce disque, j'ai l'impression que Richard Galliano essaie de nous faire partager quelque chose d'essentiel, une manière particulière de les éclairer et de les mettre en scène. En ce sens, il y aurait quelque analogie entre son entreprise et celle du peintre qui, à sa façon et avec son regard, nous dévoile le monde en choisissant un point de vue et un cadrage pour le représenter.
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