samedi 4 octobre - accordéon et accordéonistes
« Accordéon & accordéonistes », numéro 79, octobre 2008, 5,90 euros est arrivé !
Je viens de parcourir cette dernière livraison arrivée, comme d’habitude, avec ponctualité à l’espace « presse » de l’hypermarché. Comme d’habitude, j’y trouve des rubriques ou plus exactement des rédacteurs que j’apprécie, d’autres qui accrochent moins mon attention ou mes intérêts, d’autres enfin qui suscitent chez moi des intérêts nouveaux. Une revue éclectique donc et qui me satisfait. Même si les rubriques consacrées à l’accordéon de concert me paraissent sous-représentées, notamment parce que j’ai toujours le plus grand mal à savoir où me procurer des disques de cette catégorie, je considère que c’est une revue « ouverte », qui rend bien compte de la vitalité de l’accordéon.
Après l’avoir parcourue en diagonale pour me donner une première impression, je me suis amusé à essayer de saisir la structure ou si l’on veut la composition de ce numéro. Structure significative car, de mois en mois, elle varie peu. Une sorte de vitesse de croisière stabilisée. J’ai donc relevé les occurrences des différents éléments composant l’ensemble des 76 pages de la revue. J’ai relevé les occurrences et non le pourcentage, car plusieurs pages ne sont pas homogènes, mais comportent par exemple des échos et de la publicité. Dans ce cas, je compte donc pour une page une occurrence « échos » et une occurrence « publicité », si bien que le nombre d’occurrence est supérieur au nombre de pages.
Si je rapporte mon observation à 100 pages, je trouve les résultats suivants :
- « annonces » : 1/100. Lire 1 occurrence pour 100 pages.
- « boutique » : 12
- « agenda » : 12
- « échos » : 33
- « édito + sommaire » : 1
- « chroniques » : 7
- « pédagogie » : 7
- « articles du type entretien, portrait, histoire, reportage écrit/photos » : 34
J’ai distingué les quatre premières catégories et les quatre autres en considérant que seules celles-ci relèvent du rédactionnel. Bien entendu, il ne s’agit pas de tirer de cette observation un quelconque jugement de valeur. Il me semble cependant que les quatre premières catégories sont le signe d’une bonne santé, d’une bonne circulation d’informations, alors que les quatre autres sont le signe d’une bonne qualité journalistique.
Parmi les différents articles, évidemment je fais un tri spontané. C’est ainsi que, dans ce numéro, j’ai bien apprécié les suivants :
- « Pour l’histoire : le tango en France, 1er partie » de W. Sabatier
- « Entretien de Cathie Travers » avec F. Jallot
- « Entretien de Julien Labro » avec F. Jallot
- « Entretien de Mika Vember & Martina Winckler & Alexander Nefzger » avec F. Jallot
Ce choix n’est pas étonnant car, de numéro en numéro, je lis toujours avec le plus grand intérêt et le plus grand plaisir les articles « savants » de W. Sabatier et les articles « inspirés » de F. Jallot. Je trouve que ce sont deux remarquables « médiateurs ».
Bon… Je vais de ce pas commander par courriel son disque à Julien Labro, « Jazz Wagon », car la chronique de F. Jallot, outre son article, m’a donné envie de l’écouter. Et je sais que je vais passer pas mal de temps à écouter Cathie Travers sur YouTube, car ce que j'en ai entendu me donne envie...
Je viens de parcourir cette dernière livraison arrivée, comme d’habitude, avec ponctualité à l’espace « presse » de l’hypermarché. Comme d’habitude, j’y trouve des rubriques ou plus exactement des rédacteurs que j’apprécie, d’autres qui accrochent moins mon attention ou mes intérêts, d’autres enfin qui suscitent chez moi des intérêts nouveaux. Une revue éclectique donc et qui me satisfait. Même si les rubriques consacrées à l’accordéon de concert me paraissent sous-représentées, notamment parce que j’ai toujours le plus grand mal à savoir où me procurer des disques de cette catégorie, je considère que c’est une revue « ouverte », qui rend bien compte de la vitalité de l’accordéon.
Après l’avoir parcourue en diagonale pour me donner une première impression, je me suis amusé à essayer de saisir la structure ou si l’on veut la composition de ce numéro. Structure significative car, de mois en mois, elle varie peu. Une sorte de vitesse de croisière stabilisée. J’ai donc relevé les occurrences des différents éléments composant l’ensemble des 76 pages de la revue. J’ai relevé les occurrences et non le pourcentage, car plusieurs pages ne sont pas homogènes, mais comportent par exemple des échos et de la publicité. Dans ce cas, je compte donc pour une page une occurrence « échos » et une occurrence « publicité », si bien que le nombre d’occurrence est supérieur au nombre de pages.
Si je rapporte mon observation à 100 pages, je trouve les résultats suivants :
- « annonces » : 1/100. Lire 1 occurrence pour 100 pages.
- « boutique » : 12
- « agenda » : 12
- « échos » : 33
- « édito + sommaire » : 1
- « chroniques » : 7
- « pédagogie » : 7
- « articles du type entretien, portrait, histoire, reportage écrit/photos » : 34
J’ai distingué les quatre premières catégories et les quatre autres en considérant que seules celles-ci relèvent du rédactionnel. Bien entendu, il ne s’agit pas de tirer de cette observation un quelconque jugement de valeur. Il me semble cependant que les quatre premières catégories sont le signe d’une bonne santé, d’une bonne circulation d’informations, alors que les quatre autres sont le signe d’une bonne qualité journalistique.
Parmi les différents articles, évidemment je fais un tri spontané. C’est ainsi que, dans ce numéro, j’ai bien apprécié les suivants :
- « Pour l’histoire : le tango en France, 1er partie » de W. Sabatier
- « Entretien de Cathie Travers » avec F. Jallot
- « Entretien de Julien Labro » avec F. Jallot
- « Entretien de Mika Vember & Martina Winckler & Alexander Nefzger » avec F. Jallot
Ce choix n’est pas étonnant car, de numéro en numéro, je lis toujours avec le plus grand intérêt et le plus grand plaisir les articles « savants » de W. Sabatier et les articles « inspirés » de F. Jallot. Je trouve que ce sont deux remarquables « médiateurs ».
Bon… Je vais de ce pas commander par courriel son disque à Julien Labro, « Jazz Wagon », car la chronique de F. Jallot, outre son article, m’a donné envie de l’écouter. Et je sais que je vais passer pas mal de temps à écouter Cathie Travers sur YouTube, car ce que j'en ai entendu me donne envie...
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