samedi 27 septembre - love day los angeles sessions
Depuis plusieurs jours, dès que nous en avons le loisir, nous écoutons le dernier opus de Richard Galliano :
- "Love Day Los Angeles Sessions", 2008, Editions Milan music & Richard Galliano Music.
Un quatuor : Galliano, accordéon, Gonzalo Rubalcaba, piano, Charlie Haden, contrebasse, Mino Cinelu, batterie et percussions.
Je note, car cela me parait exceptionnel et de grande importance, que l'enregistrement a eu lieu les 2, 3 et 4 avril 2008, le mixage, les 5, 6 et 7 avril et la masterisation le 8 avril 2008. Enregistrement, mixage, masterisation : 7 jours. Le studio ? L'un des plus prestigieux : Capitol Records Studio de Los Angeles. Tous ces éléments disent à l'évidence que Richard Galliano a contrôlé complétement son projet. Ajoutons que toutes les compositions sont de lui et originales.
Pour l'instant, j'essaie de m'immerger dans cette musique. C'est un disque sans concessions. On s'en serait douté. La prise de son est exceptionnelle. Les instruments sont là, présents, occupant l'espace. Musique sans concession en ce sens qu'elle relève de ce que j'appellerais volontiers une inspiration méditative.
Deux titres parmi les douze de l'album :
- "Pourquoi ?", 8:44
- "Aria", 4:56. Superbe !
Bien sûr, je reviendrai sur mes impressions. Mais comme pour le vin d'un grand cru, il faut laisser le temps de la décantation.
- "Love Day Los Angeles Sessions", 2008, Editions Milan music & Richard Galliano Music.
Un quatuor : Galliano, accordéon, Gonzalo Rubalcaba, piano, Charlie Haden, contrebasse, Mino Cinelu, batterie et percussions.
Je note, car cela me parait exceptionnel et de grande importance, que l'enregistrement a eu lieu les 2, 3 et 4 avril 2008, le mixage, les 5, 6 et 7 avril et la masterisation le 8 avril 2008. Enregistrement, mixage, masterisation : 7 jours. Le studio ? L'un des plus prestigieux : Capitol Records Studio de Los Angeles. Tous ces éléments disent à l'évidence que Richard Galliano a contrôlé complétement son projet. Ajoutons que toutes les compositions sont de lui et originales.
Pour l'instant, j'essaie de m'immerger dans cette musique. C'est un disque sans concessions. On s'en serait douté. La prise de son est exceptionnelle. Les instruments sont là, présents, occupant l'espace. Musique sans concession en ce sens qu'elle relève de ce que j'appellerais volontiers une inspiration méditative.
Deux titres parmi les douze de l'album :
- "Pourquoi ?", 8:44
- "Aria", 4:56. Superbe !
Bien sûr, je reviendrai sur mes impressions. Mais comme pour le vin d'un grand cru, il faut laisser le temps de la décantation.
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