vendredi 24 août - le duo binaka en l'église de souraïde
Françoise avait bien repéré l'information : le mardi 21 août, à 20h30, en l'église de Souraïde, le duo Binaka. Souraïde est un superbe et attachant village basque, au sud de Bayonne, à 45 kilomètres d'Hossegor. Un parcours contrasté : moitié autoroute transeuropéenne, moitié montagnes russes des routes basque. Un duo qui s'affirme de plus en plus au fil des ans et des concerts. Philippe de Ezcurra, accordéon et bandonéon ; Marina Beheretche, violon. Leurs noms disent assez leur ancrage dans ce Pays basque.
Un programme qui se densifie au fil du temps en alliant les références à Mozart, à Bartók, à J. Guridi, à A. Pärt, à C. Saint-Saëns, à M. de Falla ou encore à A. Piazzolla. Mais aussi en rappel un inattendu "Tango pour Claude" plein d'énergie et de finesse. Un programme qui dit assez l'esprit d'ouverture qui préside à ce concert. .
Un concert sous le charme de ce duo de la première à la dernière mesure. Une petite église qui, pièce après pièce, explose d'applaudissements et de reconnaissance. Un moment que j'ose dire magique. Un moment hors du monde en plein cœur du Pays basque si lumineux
Ci-dessous, sept images - "résultat brut de décoffrage" - où j'ai essayé de saisir les postures "fondamentales" du duo et, si j'ose dire, dans le même temps, d'en saisir l'esprit dans les arrangements.
Une scène haute de quelques centimètres. Modeste, intime. Le concert sur fond de chœur baroque. La complicité de Marina et Philippe. D'évidence, ils se comprennent à demi note.
Le violon et l'accordéon. Deux "physiques" contrastés qui vont bien ensemble.
Au total, une formidable permanence des postures disons "fondamentales" du duo. Tout est dans les nuances. De beaux arrangements.
Philippe et son instrument. De près, on saisit la complexité de son jeu. ce que l'on peut nommer sa virtuosité, évidente et toute en sobriété.
Comme final, Piazzolla et donc le bandonéon dont Philippe sait si bien tirer des effets spécifiques. Une belle interprétation du tango.
Voilà. Une soirée en toute simplicité, qui donne le goût de vivre. Qui donne le désir d'écouter Binaka encore et encore. Soit dit en passant : "Ce duo ! Quelle maitrise !"
Rendez-vous donc en 2019 pour une troisième année. A l'issue du concert, quelques mots échangés avec Philippe à qui je suggère cet intitulé :"L'accordéon et le violon : les rencontres de Souraïde"...
"Pourquoi pas ?"
Un programme qui se densifie au fil du temps en alliant les références à Mozart, à Bartók, à J. Guridi, à A. Pärt, à C. Saint-Saëns, à M. de Falla ou encore à A. Piazzolla. Mais aussi en rappel un inattendu "Tango pour Claude" plein d'énergie et de finesse. Un programme qui dit assez l'esprit d'ouverture qui préside à ce concert. .
Un concert sous le charme de ce duo de la première à la dernière mesure. Une petite église qui, pièce après pièce, explose d'applaudissements et de reconnaissance. Un moment que j'ose dire magique. Un moment hors du monde en plein cœur du Pays basque si lumineux
Ci-dessous, sept images - "résultat brut de décoffrage" - où j'ai essayé de saisir les postures "fondamentales" du duo et, si j'ose dire, dans le même temps, d'en saisir l'esprit dans les arrangements.
Une scène haute de quelques centimètres. Modeste, intime. Le concert sur fond de chœur baroque. La complicité de Marina et Philippe. D'évidence, ils se comprennent à demi note.
Le violon et l'accordéon. Deux "physiques" contrastés qui vont bien ensemble.
Au total, une formidable permanence des postures disons "fondamentales" du duo. Tout est dans les nuances. De beaux arrangements.
Philippe et son instrument. De près, on saisit la complexité de son jeu. ce que l'on peut nommer sa virtuosité, évidente et toute en sobriété.
Comme final, Piazzolla et donc le bandonéon dont Philippe sait si bien tirer des effets spécifiques. Une belle interprétation du tango.
Voilà. Une soirée en toute simplicité, qui donne le goût de vivre. Qui donne le désir d'écouter Binaka encore et encore. Soit dit en passant : "Ce duo ! Quelle maitrise !"
Rendez-vous donc en 2019 pour une troisième année. A l'issue du concert, quelques mots échangés avec Philippe à qui je suggère cet intitulé :"L'accordéon et le violon : les rencontres de Souraïde"...
"Pourquoi pas ?"
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