mardi 31 juillet - à propos de deux albums passionnants...
Depuis plusieurs jours, dès que j'en ai le loisir - ce qui est rare en ces temps de farniente et de canicule - j'écoute exclusivement, alternativement et en boucle deux albums pour lesquels je me suis pris de passion. J'ai déjà en son temps dit mon intérêt pour ces deux œuvres, mais, en l'occurrence celui-ci a passé plusieurs degrés, ce pourquoi je parle ici de passion. Ces deux albums sont constitués l'un et l'autre de deux cds. Il s'agit de :
- "Jazz / No Jazz" de Marc Berthoumieux
- et de "Francesita" de Louise Jallu.
Ces deux opus sont de véritables créations, originales, marquées du sceau de fortes personnalités. Ce sont des œuvres de profonde culture. On y perçoit de toute évidence la passion de Marc Berthoumieux et de Louise Jallu. Passion qui se transmet immédiatement à notre écoute. Avec, par exemple, la richesse du casting de l'un et de l'autre. Casting qui dit tout de suite à quel point ces deux artistes sont reconnus par leurs pairs. Complicité manifeste. Avec toutes les compositions originales en ce qui concerne "Jazz / No Jazz". Compositions qui se répondent de telle sorte qu'on est irrésistiblement attiré dans un jeu de correspondances et de comparaisons entre les différents titres, soit comparaisons à l'intérieur de chaque classe, "jazz" ou "no jazz", soit de classe à classe. Sans qu'on sache jamais si les deux versions ont été créées ensemble ou l'une à partir de l'autre et par différence. Un jeu de miroirs ou, si l'on veut, de tissage. Ce qui explique mon écoute sans cesse sinon recommencée, en tout cas approfondie.
Mais aussi, en ce qui concerne "Francesita", un hommage magnifique à Enrique Delfino, que j'ai ici découvert ; hommage qui dit assez la culture du tango de Louise Jallu. Et avec, entre autres, cette perle :"Recuerdos de Bohemia" en version solo et en version "Louise Jallu Quartet". Un album comme une manière de donner une vie nouvelle au tango tel qu'en lui-même Gennevilliers le change. Où l'on comprend que tradition et innovation ne sont en rien incompatibles.
- "Jazz / No Jazz" de Marc Berthoumieux
- et de "Francesita" de Louise Jallu.
Ces deux opus sont de véritables créations, originales, marquées du sceau de fortes personnalités. Ce sont des œuvres de profonde culture. On y perçoit de toute évidence la passion de Marc Berthoumieux et de Louise Jallu. Passion qui se transmet immédiatement à notre écoute. Avec, par exemple, la richesse du casting de l'un et de l'autre. Casting qui dit tout de suite à quel point ces deux artistes sont reconnus par leurs pairs. Complicité manifeste. Avec toutes les compositions originales en ce qui concerne "Jazz / No Jazz". Compositions qui se répondent de telle sorte qu'on est irrésistiblement attiré dans un jeu de correspondances et de comparaisons entre les différents titres, soit comparaisons à l'intérieur de chaque classe, "jazz" ou "no jazz", soit de classe à classe. Sans qu'on sache jamais si les deux versions ont été créées ensemble ou l'une à partir de l'autre et par différence. Un jeu de miroirs ou, si l'on veut, de tissage. Ce qui explique mon écoute sans cesse sinon recommencée, en tout cas approfondie.
Mais aussi, en ce qui concerne "Francesita", un hommage magnifique à Enrique Delfino, que j'ai ici découvert ; hommage qui dit assez la culture du tango de Louise Jallu. Et avec, entre autres, cette perle :"Recuerdos de Bohemia" en version solo et en version "Louise Jallu Quartet". Un album comme une manière de donner une vie nouvelle au tango tel qu'en lui-même Gennevilliers le change. Où l'on comprend que tradition et innovation ne sont en rien incompatibles.
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