samedi 11 août - "l'amuseur", dernier opus de michel macias
Je suis en train de découvrir le dernier opus de Michel Macias, intitulé "L'Amuseur". C'est un vrai bonheur . Quatorze morceaux : dix originaux de Michel lui-même ; un de J. Rameau, arrangements de Michel, un de W. Montgomery, un de JS Bach, arrangé aussi par Michel ("Sarabande, suite pour violoncelle n°4"), un de Dave Brubek. Forcément, des coups de cœur de Michel Macias. Un disque qui manifeste très explicitement ses préférences et ses enthousiasmes. Entre musique des iles et références classiques.
Un disque très personnel, bien à l'image de son auteur. Du travail, de l'exigence jamais satisfaite et une extrême pudeur qui semble vouloir nous faire croire que tout ça, c'est, sinon naturel, du moins l'œuvre d'un musicien doué. Au don, je n'y crois pas. Tout ce disque, c'est du boulot, encore et encore. Mais, présenté de telle sorte qu'on pourrait penser que c'est œuvre d'amuseur, comme le suggère le titre. Un titre à double fond, si je puis dire. Que l'on comprend en lisant les pages de présentation. Où l'on découvre la lignée où se situe l'inspiration de Michel. Où en effet l'on découvre cette clé : l'amuseur est à dans la lignée de Marcel Azzola, Tony Murena, Gus Viseur. Toute une tradition donc. Un musette de haut vol. Et, aujourd'hui, du musette à la mode Macias.
Un mot encore. J'ai beaucoup apprécié la construction de cet album : titres 1 et 2 de Michel, titre 3 de Rameau, titres 4 et 5 de Michel, 6 de Montgomery, 7 et 8 de Michel, 9 de Bach, 10 et 11 de
Michel, 12 de Brubek, enfin 13 et 14 de Michel. Une organisation très pensée. Rien n'es laissé au hasard. Un style inimitable, très au-delà de l'éclectisme. Un parcours de découverte, que je me fais un plaisir de parcourir.
Un disque très personnel, bien à l'image de son auteur. Du travail, de l'exigence jamais satisfaite et une extrême pudeur qui semble vouloir nous faire croire que tout ça, c'est, sinon naturel, du moins l'œuvre d'un musicien doué. Au don, je n'y crois pas. Tout ce disque, c'est du boulot, encore et encore. Mais, présenté de telle sorte qu'on pourrait penser que c'est œuvre d'amuseur, comme le suggère le titre. Un titre à double fond, si je puis dire. Que l'on comprend en lisant les pages de présentation. Où l'on découvre la lignée où se situe l'inspiration de Michel. Où en effet l'on découvre cette clé : l'amuseur est à dans la lignée de Marcel Azzola, Tony Murena, Gus Viseur. Toute une tradition donc. Un musette de haut vol. Et, aujourd'hui, du musette à la mode Macias.
Un mot encore. J'ai beaucoup apprécié la construction de cet album : titres 1 et 2 de Michel, titre 3 de Rameau, titres 4 et 5 de Michel, 6 de Montgomery, 7 et 8 de Michel, 9 de Bach, 10 et 11 de
Michel, 12 de Brubek, enfin 13 et 14 de Michel. Une organisation très pensée. Rien n'es laissé au hasard. Un style inimitable, très au-delà de l'éclectisme. Un parcours de découverte, que je me fais un plaisir de parcourir.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil