mardi 25 avril : il était une fois pulcinella / sylvain rifflet salle nougaro (2)...
C'était le vendredi 21 à la salle Nougaro à Toulouse. Suivant l'indication portée sur les billets, il s'agissait d'un "co-plateau" : Pulcinella / Sylvain Rifflet. Placement libre, assis. En fait, deux concerts successifs : le premier, où Pulcinella présente son dernier opus : "3/4 d'Once" ; le second, où Sylvain Rifflet en quartet s'appuie comme programme sur son album :"Mechanics".
Le quartet de Sylvain Rifflet est pour nous une découverte. Du moins en partie, car nous le connaissions par sa participation à un disque que nous apprécions beaucoup :"Le bal perdu". De même que son collègue, Jocelyn Mienniel, pour sa participation au même opus. Ce soir, le quartet est composé de S. Rifflet, saxophone ; Benjamin Flament, percussions ; Philippe Gordiani, guitare ; J. Mienniel, flûte, kalimba.
Après le concert du dit quartet, on a eu l'occasion et le plaisir de discuter quelque peu avec S. Rifflet et J. Mienniel. Un moment d'échange fort agréable. Un moment qui complétait heureusement ce concert dont les titres étaient pour l'essentiel tirés d'un album intitulé "Mechanics". Un album que j'ai hâte d'explorer. Pour l'heure en effet je reste sous l'emprise de l'émotion du concert. Françoise parle de musique hypnotique. Un mot on ne peut plus juste, une impression que je compte bien affiner et analyser à l'écoute du disque.
En attendant, quelques photos du quartet... où l'on voit S. Rifflet habillé d'abord d'un long manteau rouge, manière d'installer son personnage comme une figure imaginaire, un héros de bande dessinée.
Il faudrait aussi dire la présence de ses trois collègues dont en particulier J. Mienniel à la flûte au moment de présenter le thème de chaque morceau ; il faudrait aussi dire sa posture, sa manière de se pénétrer de chaque morceau - danse, transe - avant de se lancer dans une sorte d'incantation, suivant l'expression de Françoise, hypnotique. Une musique sobre et fascinante. En tout cas, envoûtante.
Le quartet de Sylvain Rifflet est pour nous une découverte. Du moins en partie, car nous le connaissions par sa participation à un disque que nous apprécions beaucoup :"Le bal perdu". De même que son collègue, Jocelyn Mienniel, pour sa participation au même opus. Ce soir, le quartet est composé de S. Rifflet, saxophone ; Benjamin Flament, percussions ; Philippe Gordiani, guitare ; J. Mienniel, flûte, kalimba.
Après le concert du dit quartet, on a eu l'occasion et le plaisir de discuter quelque peu avec S. Rifflet et J. Mienniel. Un moment d'échange fort agréable. Un moment qui complétait heureusement ce concert dont les titres étaient pour l'essentiel tirés d'un album intitulé "Mechanics". Un album que j'ai hâte d'explorer. Pour l'heure en effet je reste sous l'emprise de l'émotion du concert. Françoise parle de musique hypnotique. Un mot on ne peut plus juste, une impression que je compte bien affiner et analyser à l'écoute du disque.
En attendant, quelques photos du quartet... où l'on voit S. Rifflet habillé d'abord d'un long manteau rouge, manière d'installer son personnage comme une figure imaginaire, un héros de bande dessinée.
Il faudrait aussi dire la présence de ses trois collègues dont en particulier J. Mienniel à la flûte au moment de présenter le thème de chaque morceau ; il faudrait aussi dire sa posture, sa manière de se pénétrer de chaque morceau - danse, transe - avant de se lancer dans une sorte d'incantation, suivant l'expression de Françoise, hypnotique. Une musique sobre et fascinante. En tout cas, envoûtante.
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