lundi 14 mars - richard galliano et sylvain luc à orthez : la vie en rose
Orthez est une ville moyenne à une quarantaine de kilomètres à l'ouest de Pau. L'autoroute les relie. Orthez a un festival de jazz : "Jazz naturel", qui mérite toute notre estime. Ce dimanche 13 mars, en clôture, à 16 heures, concert de Richard Galliano et Sylvain Luc : "La vie en rose".
Le programme du concert reprend évidemment un grand nombre des titres de l'album, mais avec quelques variantes : tel titre disparait, par exemple "Paris", "Sous le ciel de Paris", "Swing Valse" ; tel autre est ajouté, par exemple "Fou rire" ou "Tango pour Claude".
Ce qui m'a frappé tout au long de ce concert, c'est la complicité entre Richard Galliano et Sylvain Luc, tout particulièrement à l'occasion de telle ou telle improvisation. En tout cas, un joli travail de tissage entre les deux instruments. Une impression non de décontraction tant leur sérieux est manifeste, mais plutôt... Comment dire ? Qu'ils sont à l'aise et en confiance dans cette salle d'environ 350 places fort confortables.
Dès la fin du concert et après avoir salué les deux artiste, notamment Richard Galliano qui nous signe "Mare Nostrum II, "La vie en rose" ayant été signée à Eysines par les deux membres du duo, on essaie, Françoise et moi, sur le chemin du retour, de se rappeler le programme. De ce petit travail de mémoire immédiate, on retient dans un ordre relatif :
- "Douce joie" de Gus Viseur en introduction
- "L'accordéoniste"
- "Les amants d'un jour"
- "La vie en rose"
- "La goualante..."
- "L'hymne à l'amour"
- "Fou rire"
- "Les forains"
- "La foule"
- "Tango pour Claude"
- "Flambée montalbanaise", en fin de concert
- etc...
Vers la fin du concert, pour corroborer cette impression que le duo se sent bien en cet après-midi d'hiver finissant, Richard Galliano salue la présence dans la salle d'un musicien, du nom de Lassus, je crois, qu'il présente comme le batteur préféré de Claude Nougaro. S'ensuit un échange au terme duquel ce dernier monte sur scène et se joint au duo pour un trio improvisé. Pour preuve de cette improvisation, Richard annonce "Les forains", mais la complicité aidant ils finissent, dans un éclat de rire, par interpréter "La foule". Preuve, s'il en était besoin que le duo était en pays de confiance. Confiance et, comme je l'ai dit, aucunement décontraction. Pour preuve encore du sérieux de l'un et de l'autre, leurs solos respectifs marqués au sceau de la créativité et de la virtuosité. Une créativité qui a les moyens techniques de ses intentions, une virtuosité au service de l'expression.
Bref, deux heures qui ont passé comme un rêve où l'on oublie toute notion de temps. De la belle ouvrage !
- 16h20
- 16h20
- 16h27
- 16h27
- 16h33
- 16h33
- 16h34
- 16h48
- 17h16
- 17h22
Le programme du concert reprend évidemment un grand nombre des titres de l'album, mais avec quelques variantes : tel titre disparait, par exemple "Paris", "Sous le ciel de Paris", "Swing Valse" ; tel autre est ajouté, par exemple "Fou rire" ou "Tango pour Claude".
Ce qui m'a frappé tout au long de ce concert, c'est la complicité entre Richard Galliano et Sylvain Luc, tout particulièrement à l'occasion de telle ou telle improvisation. En tout cas, un joli travail de tissage entre les deux instruments. Une impression non de décontraction tant leur sérieux est manifeste, mais plutôt... Comment dire ? Qu'ils sont à l'aise et en confiance dans cette salle d'environ 350 places fort confortables.
Dès la fin du concert et après avoir salué les deux artiste, notamment Richard Galliano qui nous signe "Mare Nostrum II, "La vie en rose" ayant été signée à Eysines par les deux membres du duo, on essaie, Françoise et moi, sur le chemin du retour, de se rappeler le programme. De ce petit travail de mémoire immédiate, on retient dans un ordre relatif :
- "Douce joie" de Gus Viseur en introduction
- "L'accordéoniste"
- "Les amants d'un jour"
- "La vie en rose"
- "La goualante..."
- "L'hymne à l'amour"
- "Fou rire"
- "Les forains"
- "La foule"
- "Tango pour Claude"
- "Flambée montalbanaise", en fin de concert
- etc...
Vers la fin du concert, pour corroborer cette impression que le duo se sent bien en cet après-midi d'hiver finissant, Richard Galliano salue la présence dans la salle d'un musicien, du nom de Lassus, je crois, qu'il présente comme le batteur préféré de Claude Nougaro. S'ensuit un échange au terme duquel ce dernier monte sur scène et se joint au duo pour un trio improvisé. Pour preuve de cette improvisation, Richard annonce "Les forains", mais la complicité aidant ils finissent, dans un éclat de rire, par interpréter "La foule". Preuve, s'il en était besoin que le duo était en pays de confiance. Confiance et, comme je l'ai dit, aucunement décontraction. Pour preuve encore du sérieux de l'un et de l'autre, leurs solos respectifs marqués au sceau de la créativité et de la virtuosité. Une créativité qui a les moyens techniques de ses intentions, une virtuosité au service de l'expression.
Bref, deux heures qui ont passé comme un rêve où l'on oublie toute notion de temps. De la belle ouvrage !
- 16h20
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- 16h27
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