dimanche 29 novembre - y a pas que l'accordéon... y a ausi "tori" du nicolas parent trio...
... reçu, il y a quelques jours, "Tori", le dernier opus de Nicolas Parent en formation trio. Ce trio est composé de Nicolas Parent lui-même à la guitare, de Guillaume Arbonville, percussions, et de Kentaro Suzuki à la contrebasse. Avec, en invité sur le titre 1 :"Train to Isalo", Karsten Hochapfeld au violoncelle.
Depuis hier donc, je suis en train de découvrir cet album de dix titres et d'une durée d'environ 55 minutes. Disons-le d'emblée, un disque plein de profondeur, dont on ne fait pas le tour en un seul voyage. Ce qui d'abord m'a frappé, c'est la qualité de la prise de son qui donne au disque cette profondeur que j'évoquais ci-dessus. On se croirait dans quelque monde de cristal, tout en transparence et en complexité. Ce qui donc m'a frappé et me frappe encore en cet instant c'est la texture de la guitare. On peut repérer ici ou là quelques notes brésiliennes, quelques notes de guitare flamenca ou de guitare classique espagnole et - pourquoi pas ? - d'autres notes encore aux accents orientaux. Sans compter la guitare rock de "Copenhagen". Mais tout ça est intégré dans un son spécifique qui est l'originalité et la signature de cet album.
Pour l'heure, je l'ai dit, j'en suis au temps de la découverte et je mesure déjà la complexité de cet album sous une apparence de ligne claire et de (fausse) nonchalance - la dimension brésilienne. Temps de découverte aussi des percussions et de la contrebasse. Qui donnent aux différents morceaux beaucoup de cette profondeur que j'évoquais ci-dessus.
Mais aussi trois solos intitulés "Solo 4", 3:15, en 4 ; "Solo 2", 2:23, en 8 ; "Solo 1", 3:15, en 10. Trois exercices de style, que je viens d'écouter à la suite, ce qui a pour effet de mettre ces trois solos en échos ou en interaction et c'est bien.
Enfin, sans introduire une hiérarchie entre les dix titres, disons que j'apprécie particulièrement "Valse pour Victoria" en 6 et encore plus "Deep in black" en 7. A mon sens, le titre le plus complexe.
Mais finalement je me rends compte que la liste de mes préférences se confond presque avec celle des titres. C'est tout dire...
.........
ps.1- Après une écoute un peu plus approfondie, je découvre des beautés particulières au titre 1 :"Train to Isalo" avec la présence magnifique du violoncelle, et au titre 9 : "Copenhagen", d'une durée de 12:31, le temps pour le trio de nous introduire dans un monde dont on ne sort pas tout à fait indemne. Du coup, la liste de mes préférences se confond bien avec le programme du disque.
ps.2- Il est facile d'écouter Nicolas Parent sur internet avec des documents vidéo. Mais, pour ma part, je retiens ici un précédent opus : "Moments" qui est bien significatif du style du trio.
http://www.deezer.com/album/1374081
Depuis hier donc, je suis en train de découvrir cet album de dix titres et d'une durée d'environ 55 minutes. Disons-le d'emblée, un disque plein de profondeur, dont on ne fait pas le tour en un seul voyage. Ce qui d'abord m'a frappé, c'est la qualité de la prise de son qui donne au disque cette profondeur que j'évoquais ci-dessus. On se croirait dans quelque monde de cristal, tout en transparence et en complexité. Ce qui donc m'a frappé et me frappe encore en cet instant c'est la texture de la guitare. On peut repérer ici ou là quelques notes brésiliennes, quelques notes de guitare flamenca ou de guitare classique espagnole et - pourquoi pas ? - d'autres notes encore aux accents orientaux. Sans compter la guitare rock de "Copenhagen". Mais tout ça est intégré dans un son spécifique qui est l'originalité et la signature de cet album.
Pour l'heure, je l'ai dit, j'en suis au temps de la découverte et je mesure déjà la complexité de cet album sous une apparence de ligne claire et de (fausse) nonchalance - la dimension brésilienne. Temps de découverte aussi des percussions et de la contrebasse. Qui donnent aux différents morceaux beaucoup de cette profondeur que j'évoquais ci-dessus.
Mais aussi trois solos intitulés "Solo 4", 3:15, en 4 ; "Solo 2", 2:23, en 8 ; "Solo 1", 3:15, en 10. Trois exercices de style, que je viens d'écouter à la suite, ce qui a pour effet de mettre ces trois solos en échos ou en interaction et c'est bien.
Enfin, sans introduire une hiérarchie entre les dix titres, disons que j'apprécie particulièrement "Valse pour Victoria" en 6 et encore plus "Deep in black" en 7. A mon sens, le titre le plus complexe.
Mais finalement je me rends compte que la liste de mes préférences se confond presque avec celle des titres. C'est tout dire...
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ps.1- Après une écoute un peu plus approfondie, je découvre des beautés particulières au titre 1 :"Train to Isalo" avec la présence magnifique du violoncelle, et au titre 9 : "Copenhagen", d'une durée de 12:31, le temps pour le trio de nous introduire dans un monde dont on ne sort pas tout à fait indemne. Du coup, la liste de mes préférences se confond bien avec le programme du disque.
ps.2- Il est facile d'écouter Nicolas Parent sur internet avec des documents vidéo. Mais, pour ma part, je retiens ici un précédent opus : "Moments" qui est bien significatif du style du trio.
http://www.deezer.com/album/1374081
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