samedi 28 juin - à propos du festival tangopostale à toulouse...
Françoise, Nadja et Charlotte ont profité d'un temps libre exceptionnel, de jeudi à samedi, pour aller visiter Madrid et Le Prado. Sébastien travaille jusque tard le soir. Camille a ses journées rythmées par l'école. Je suis donc venu lui tenir compagnie à Toulouse. Et voilà qu'un courriel de Florian Demonsant nous annonce un apéro-concert, le jeudi 26, sur la terrasse du Mandala à partir de 18 heures. Duo Musette : accordéon et batterie. Camille est enthousiaste. Le projet lui plait.
Après la sortie de l'école et un goûter rapide, direction le métro. Las, quand on sort de la station Saint Cyprien-République, une averse, d'ailleurs prévue par la météo, nous attend. Le parcours à pied est long ; il traverse la Garonne et le pont à franchir n'offre aucun abri. On se regarde. On a compris. On renonce.
Mais alors qu'on est sur le point de redescendre les marches de la station, une affiche sur le mur de l'espace Saint Cyprien attire notre attention. "Tangopostale / 27 juin - 6 juillet / 6ème festival international de Tango / Toulouse". On a bien compris le court-circuit : Toulouse, la ville de Carlos Gardel, capitale européenne du tango et l'aéropostale comme lien avec l'Amérique du Sud et l'Argentine. Et l'on aperçoit, sur les murs de l'espace, des peintures exposées qui semblent fort dignes d'intérêt. Le vernissage aura lieu dimanche, mais déjà il est possible de les contempler et même de faire des photographies. L'exposition est un hommage aux musiciens et aux danseurs de tango ; mais tout particulièrement à Anibal Troilo. Le peintre s'appelle Jorge Alio.
J'aime beaucoup cette évocation du monde du tango.
Après la sortie de l'école et un goûter rapide, direction le métro. Las, quand on sort de la station Saint Cyprien-République, une averse, d'ailleurs prévue par la météo, nous attend. Le parcours à pied est long ; il traverse la Garonne et le pont à franchir n'offre aucun abri. On se regarde. On a compris. On renonce.
Mais alors qu'on est sur le point de redescendre les marches de la station, une affiche sur le mur de l'espace Saint Cyprien attire notre attention. "Tangopostale / 27 juin - 6 juillet / 6ème festival international de Tango / Toulouse". On a bien compris le court-circuit : Toulouse, la ville de Carlos Gardel, capitale européenne du tango et l'aéropostale comme lien avec l'Amérique du Sud et l'Argentine. Et l'on aperçoit, sur les murs de l'espace, des peintures exposées qui semblent fort dignes d'intérêt. Le vernissage aura lieu dimanche, mais déjà il est possible de les contempler et même de faire des photographies. L'exposition est un hommage aux musiciens et aux danseurs de tango ; mais tout particulièrement à Anibal Troilo. Le peintre s'appelle Jorge Alio.
J'aime beaucoup cette évocation du monde du tango.
Un dernier mot pour signaler que ce festival, que je découvre, me parait d'un très haut niveau. Vous pouvez en juger par vous-même :
Et si, par chance, vous habitez dans la région toulousaine, ce sont des moments à ne pas manquer !
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