dimanche 22 juin - fête de la musique à pau
Toute la journée, la chaleur avait été très lourde. On avait vécu dans la pénombre en essayant de maintenir dans la maison une température agréable. Et puis, en début de soirée, le ciel s'était assombri de menaces d'orage. Souvent, la fête de la musique est perturbée par quelque déluge autour de minuit. Mais, cette année, tout à coup, vers vingt et une heures, les nuages se dispersent et la lumière est telle que l'on se croirait en plein après-midi. On peut partir confiant à la fête de la musique.
Beaucoup de monde. On s'arrête devant un podium. On écoute un moment et puis on continue son chemin. En zig-zag. On s'arrête pour écouter un trio acoustique, dont on devine plus qu'on entend la musique tant les bars voisins débitent de décibels. Au bout d'un moment, on s'arrête à la terrasse d'un bistrot, le temps de boire une pression. Et puis on repart. Toujours en zig-zag. On passe et l'on repasse trois fois au même endroit.
C'est ainsi que, chemin faisant, on rencontre, sur le podium, place Clémenceau, un groupe de cinq musiciens qui jouent une musique de type sud-américain, qui nous fait penser au style de Manu Chao.
Tout de blanc vêtu, un accordéoniste, qui est aussi le chanteur de cette formation.
Et puis, à quelques pas de ce podium de taille plutôt imposante, au pied du palais des Pyrénées, du côté du boulevard du même nom, un trio : batterie, guitare, diatonique. Un autre accordéoniste.
L'accordéoniste de la place Clémenceau avec son imposant chromatique et celui-ci avec son délicat diatonique seront les deux seuls accordéons que nous aurons rencontrés. L'honneur de l'instrument est sauf.
Plus loin, collée sur un mur, une affiche : "A 19h30, Yvette H, place Royale". Un portrait de l'accordéoniste - qui n'est pas celle que vous croyez - avec son instrument "Hohner". On est arrivé trop tard pour l'écouter.
Beaucoup de monde. On s'arrête devant un podium. On écoute un moment et puis on continue son chemin. En zig-zag. On s'arrête pour écouter un trio acoustique, dont on devine plus qu'on entend la musique tant les bars voisins débitent de décibels. Au bout d'un moment, on s'arrête à la terrasse d'un bistrot, le temps de boire une pression. Et puis on repart. Toujours en zig-zag. On passe et l'on repasse trois fois au même endroit.
C'est ainsi que, chemin faisant, on rencontre, sur le podium, place Clémenceau, un groupe de cinq musiciens qui jouent une musique de type sud-américain, qui nous fait penser au style de Manu Chao.
Tout de blanc vêtu, un accordéoniste, qui est aussi le chanteur de cette formation.
Et puis, à quelques pas de ce podium de taille plutôt imposante, au pied du palais des Pyrénées, du côté du boulevard du même nom, un trio : batterie, guitare, diatonique. Un autre accordéoniste.
L'accordéoniste de la place Clémenceau avec son imposant chromatique et celui-ci avec son délicat diatonique seront les deux seuls accordéons que nous aurons rencontrés. L'honneur de l'instrument est sauf.
Plus loin, collée sur un mur, une affiche : "A 19h30, Yvette H, place Royale". Un portrait de l'accordéoniste - qui n'est pas celle que vous croyez - avec son instrument "Hohner". On est arrivé trop tard pour l'écouter.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil