samedi 18 février - un entretien de david venitucci
J'ai signalé, il y a quelques jours et encore dans mon post précédent, l'entretien de Françoise Jallot avec David Venitucci dans le numéro 116, le dernier, de la revue "Accordéon & accordéonistes". Un entretien fort intéressant où il décrit l'origine de son goût pour l'accordéon, sa manière de jouer, ses expériences musicales, où il explique pourquoi il s'est orienté vers l'accompagnement et le plaisir qu'il prend à tenir ce rôle. Il explicite sa participation au monde du cirque. Il revient en détail sur son duo avec Annick Cisaruk, sur leurs projets, et sur sa collaboration ave Renaud Garcia-Fons et là aussi sur ses projets, notamment une création avec le ballet de l'opéra de Limoges. Sans compter d'autres projets encore en trio avec D. Leloup et Ch. Marguet, en trio encore avec Hradcany, en duo avec la harpiste Isabelle Olivier et quelques autres enregistrements.
Bref, à la lecture de cet entretien, on a l'impression que "ça marche pour lui", et on s'en réjouit. Tout ça en effet, ça annonce des concerts ou des cds.
Mais, de cet ensembl d'informations, je retiens ce passage surprenant, au moins pour moi :
" [...] j'ai eu la chance de travailler avec un grand pédagogue, André Thépaz. J'ai énormément appris avec lui. Il considérait l'accordéon comme un instrument à vent, parlait de compression. Il faisait un parallèle entre la vitesse d'archet des violonistes et le maniement du soufflet ".
Et cet autre passage, moins surprenant :
" J'essaie de trouver mon propre langage. Le fait de jouer avec ce système de main gauche à basses chromatiques m'aide beaucoup à développer un jeu plus personnel ". Ce propos, je le confirme en effet : cette présence de la main gauche nous a frappés chaque fois que nous avons écouté David Venitucci, que ce soit dans le cadre de "La Linea del Sur" ou de Hradcany.
Bref, à la lecture de cet entretien, on a l'impression que "ça marche pour lui", et on s'en réjouit. Tout ça en effet, ça annonce des concerts ou des cds.
Mais, de cet ensembl d'informations, je retiens ce passage surprenant, au moins pour moi :
" [...] j'ai eu la chance de travailler avec un grand pédagogue, André Thépaz. J'ai énormément appris avec lui. Il considérait l'accordéon comme un instrument à vent, parlait de compression. Il faisait un parallèle entre la vitesse d'archet des violonistes et le maniement du soufflet ".
Et cet autre passage, moins surprenant :
" J'essaie de trouver mon propre langage. Le fait de jouer avec ce système de main gauche à basses chromatiques m'aide beaucoup à développer un jeu plus personnel ". Ce propos, je le confirme en effet : cette présence de la main gauche nous a frappés chaque fois que nous avons écouté David Venitucci, que ce soit dans le cadre de "La Linea del Sur" ou de Hradcany.
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