jeudi 16 février - pulcinella suhubiette et nougaro
Après les deux soirées de concert du duo Pascal Contet-Wu Wei - entre parenthèses, le second soir nous y avons croisé Florian Demonsant -, samedi, concert de Pulcinella à La Dynamo, rue Amélie, dans le quartier Saint Aubin, à cinq cents mètres du métro Marengo-SNCF et à deux cents mètres du canal du Midi. Il fait très froid, de l'ordre de - 6° à - 8°. Le vent qui s'engouffre le long des quais, le long des voies de chemin de fer et qui nous surprend à la traversée des rues adjacentes, le vent nous glace. On avance silencieux. Attentifs à ne pas glisser sur le verglas des trottoirs. Pourtant, en passant sur un pont, on s'arrête. Dans cette partie de son cours, le canal n'est pas gelé. A d'autres endroits, une fine couche de glace s'est formée. Tout de même, ce jeu de lumière, le bruit de la circulation, toute cette vie, c'est beau. Il est 18h30.
Je ne saurais dire pourquoi, mais la salle de La Dynamo, un vaste espace cubique de couleur sombre, me fait penser au New Morning. On s'installe au balcon, face à la scène. On est bien. Il fait chaud. On a réussi à trouver deux chaises. C'est super ! Le quartet tourne bien. De mieux en mieux. Avec Hervé Suhubiette, ils forment plus un quintet qu'un quartet augmenté d'un chanteur. Florian a une belle présence. Il est 19h45. Le concert a démarré depuis peu.
Dans la minute suivante, toujours Florian. J'aime bien l'équilibre de cette photographie.
19h55. Une vue générale de Pulcinella et d'H. Suhubiette. Une scène certes de dimensions réduites, mais un cadre intime pour un jazz lettré, si je puis dire par allusion aux beaux textes de Nougaro. Beaucoup m'étaient inconnus ; d'autres font partie du répertoire "incontournable" de Nougaro. L'amalgame est réussi. Chaque fois, c'est une histoire qui nous est racontée, parfois tendre comme une brioche, parfois pleine de bruits et de fureur. Les arrangements sont juste parfaits.
20h16. Une autre vue de la scène. Maximum du zoom avant. H. Suhubiette se déplace dans l'espace entre saxo, contrebasse et batterie. Mime et paroles. Chaque chanson est théâtralisée.
20h30. Le téléobjectif "écrase" les distances. Ce rapprochement, en partie artificiel, entre Hervé Suhubiette et Florian Demonsant me plait assez.
20h50. IL y a du déplacement dans l'air. Certaines positions ont changé. On s'oriente à grands pas vers la fin du concert. Déjà on pense à repèrer la prochaine date...
Je ne sais si je l'ai assez dit, mais vraiment tous les cinq sont pleins de talent. Bien sûr, nous les connaissons de mieux en mieux et, à leur contact, j'ai le sentiment que l'on apprend beaucoup. Et, en tout cas, je trouve Pulcinella de plus en plus classique, non pas évidemment au sens du style ou du répertoire de la musique classique, mais au sens où ils produisent le maximum d'effets avec le minimum de moyens. De concert en concert, je trouve que leur créativité se conjugue avec sobriété et que leur style erst de plus en plus affirmé. Affaire à suivre...
Je ne saurais dire pourquoi, mais la salle de La Dynamo, un vaste espace cubique de couleur sombre, me fait penser au New Morning. On s'installe au balcon, face à la scène. On est bien. Il fait chaud. On a réussi à trouver deux chaises. C'est super ! Le quartet tourne bien. De mieux en mieux. Avec Hervé Suhubiette, ils forment plus un quintet qu'un quartet augmenté d'un chanteur. Florian a une belle présence. Il est 19h45. Le concert a démarré depuis peu.
Dans la minute suivante, toujours Florian. J'aime bien l'équilibre de cette photographie.
19h55. Une vue générale de Pulcinella et d'H. Suhubiette. Une scène certes de dimensions réduites, mais un cadre intime pour un jazz lettré, si je puis dire par allusion aux beaux textes de Nougaro. Beaucoup m'étaient inconnus ; d'autres font partie du répertoire "incontournable" de Nougaro. L'amalgame est réussi. Chaque fois, c'est une histoire qui nous est racontée, parfois tendre comme une brioche, parfois pleine de bruits et de fureur. Les arrangements sont juste parfaits.
20h16. Une autre vue de la scène. Maximum du zoom avant. H. Suhubiette se déplace dans l'espace entre saxo, contrebasse et batterie. Mime et paroles. Chaque chanson est théâtralisée.
20h30. Le téléobjectif "écrase" les distances. Ce rapprochement, en partie artificiel, entre Hervé Suhubiette et Florian Demonsant me plait assez.
20h50. IL y a du déplacement dans l'air. Certaines positions ont changé. On s'oriente à grands pas vers la fin du concert. Déjà on pense à repèrer la prochaine date...
Je ne sais si je l'ai assez dit, mais vraiment tous les cinq sont pleins de talent. Bien sûr, nous les connaissons de mieux en mieux et, à leur contact, j'ai le sentiment que l'on apprend beaucoup. Et, en tout cas, je trouve Pulcinella de plus en plus classique, non pas évidemment au sens du style ou du répertoire de la musique classique, mais au sens où ils produisent le maximum d'effets avec le minimum de moyens. De concert en concert, je trouve que leur créativité se conjugue avec sobriété et que leur style erst de plus en plus affirmé. Affaire à suivre...
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