vendredi 21 octobre - richard galliano erik satie
Comme je rangeais le cd "Nino Rota" dans son boitier, une intuition m'a traversé l'esprit. Le prochain opus de Richard Galliano chez Deutsche Grammophon, le troisième donc, puisqu'on sait bien que "jamais deux sans trois", sera(it) consacré à Erik Satie.
Idée pas si farfelue que ça si l'on considère qu'il a déjà arrangé et joué la "Gnossienne n° 1" avec son New York Trio et la "Gnossienne n° 3" dans le cadre de "Luz Negra". Dans le New York Trio, on trouve déjà Clarence Penn, présent sur le "Nino Rota" ; dans "Luz Negra", on se rappelle la présence d'Alexis Cardenas, de Philippe Aerts et de Raphaël Meijias, complices de Richard dans le projet "Tangaria". Bref, ce n'est pas le personnel qui manque. De plus, je ne connais que ces deux morceaux, mais peut-être en existe-t-il d'autres.
J'imagine déjà un disque comprenant les six "Gnossiennes", mais aussi "Les trois valses distinguées du précieux dégoûté", "Les trois gymnopédies" et quelques autres pièces, que je ne connais pas, à la façon de Satie. En introduction, "Les pantins dansent", au trombone ou à l'accordina... A la manière des introductions du "Bach" ou du "Nino Rota". Et, en conclusion, en forme de signature, comme dans ces deux mêmes disques, "Chat pître", qui a toujours évoqué pour moi, dès les premières mesures, le monde de Satie.
Bon, voilà, j'ai mis mon intuition sur la table... Rendez-vous dans un ou deux ans pour voir si elle se vérifie ou non.
Idée pas si farfelue que ça si l'on considère qu'il a déjà arrangé et joué la "Gnossienne n° 1" avec son New York Trio et la "Gnossienne n° 3" dans le cadre de "Luz Negra". Dans le New York Trio, on trouve déjà Clarence Penn, présent sur le "Nino Rota" ; dans "Luz Negra", on se rappelle la présence d'Alexis Cardenas, de Philippe Aerts et de Raphaël Meijias, complices de Richard dans le projet "Tangaria". Bref, ce n'est pas le personnel qui manque. De plus, je ne connais que ces deux morceaux, mais peut-être en existe-t-il d'autres.
J'imagine déjà un disque comprenant les six "Gnossiennes", mais aussi "Les trois valses distinguées du précieux dégoûté", "Les trois gymnopédies" et quelques autres pièces, que je ne connais pas, à la façon de Satie. En introduction, "Les pantins dansent", au trombone ou à l'accordina... A la manière des introductions du "Bach" ou du "Nino Rota". Et, en conclusion, en forme de signature, comme dans ces deux mêmes disques, "Chat pître", qui a toujours évoqué pour moi, dès les premières mesures, le monde de Satie.
Bon, voilà, j'ai mis mon intuition sur la table... Rendez-vous dans un ou deux ans pour voir si elle se vérifie ou non.
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