mardi 18 octobre - hradcany à bérat : cinq photonotes sur david venitucci
Bérat, un village à 45 kms au sud de Toulouse. Salle polyvalente, transformée par la magie de quelques aménagements : toile noire délimitant un espace plutôt intime avec des tables recouvertes d'une nappe où sont posées quelques bougies ; scène exiguë, mais convenable pour un trio ; un bar qui sert des bières pression bien fraiches. On s'imagine dans un cabaret d'Istanbul, dans une ruelle un peu à l'écart des avenues et autres rues trop fréquentées. Un cabaret pour initiés, pour amateurs de musique authentique, pas pour des hordes de touristes en mal d'exotisme. Je dis bien musique authentique ; je ne la confonds pas avec une musique simplement folklorique ou traditionnelle. Authentique, c'est-à-dire une musique née d'une inspiration qui s'alimente aux rythmes de la musique turque et aux audaces de la musique contemporaine.
21:19. On note la présence du pupitre où sont posées les partitions. Ce qui n'interdit pas, tout au contraire, les improvisations. Mais, peut-être que la présence du pupitre est rassurante.
21:30. Je ne saurais dire pourquoi, mais cette image traduit bien pour moi l'unité et la cohérence du trio.
21:31. Ci-dessous, une posture que j'ai notée maintes fois au cours du concert. Je ne l'avais pas observée à Muret avec le quartet de "La Linea del Sur". Y aurait-il une posture propre sinon à chaque concert du moins à chaque type de concert ? Une posture inhérente au jeu du quartet de "La Linea...", une autre inhérente au jeu du trio Hradcany... etc... ?
21:33. Le jeu de la main gauche de David m'a littéralement fasciné. Sur ce point, la différence avec le quartet m'a paru patente. Il me semble que cette différence traduit une différence de rapport aux autres instrumentistes. A vérifier.
22:00. Bon, c'est tout simple, ce qui me plait dans cette image, c'est l'expression de l'intériorité en acte, si j'ose dire, une tension créatrice. En plus, l'instrument est beau.
21:19. On note la présence du pupitre où sont posées les partitions. Ce qui n'interdit pas, tout au contraire, les improvisations. Mais, peut-être que la présence du pupitre est rassurante.
21:30. Je ne saurais dire pourquoi, mais cette image traduit bien pour moi l'unité et la cohérence du trio.
21:31. Ci-dessous, une posture que j'ai notée maintes fois au cours du concert. Je ne l'avais pas observée à Muret avec le quartet de "La Linea del Sur". Y aurait-il une posture propre sinon à chaque concert du moins à chaque type de concert ? Une posture inhérente au jeu du quartet de "La Linea...", une autre inhérente au jeu du trio Hradcany... etc... ?
21:33. Le jeu de la main gauche de David m'a littéralement fasciné. Sur ce point, la différence avec le quartet m'a paru patente. Il me semble que cette différence traduit une différence de rapport aux autres instrumentistes. A vérifier.
22:00. Bon, c'est tout simple, ce qui me plait dans cette image, c'est l'expression de l'intériorité en acte, si j'ose dire, une tension créatrice. En plus, l'instrument est beau.
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