mardi 18 octobre - la linea del sur à muret : sept photonotes de david venitucci
Le premier photographe portraitiste, Nadar, disait en substance que ce qu'il cherchait à saisir, c'était la ressemblance intime. Loin de moi l'idée ou la prétention de chercher à faire des photographies artistiques, car j'ai bien conscience des limites et de mon matériel (limites choisies pour éviter de remplacer l'écoute par le souci de faire des images) et des conditions de prise de vues et de mes compétences, mais cela ne m'empêche pas, en dépit de celles-ci, de me donner pour objectif de saisir, dans l'instant, quelque chose de la subjectivité des accordéonistes ou autres instrumentistes. Disons que je reprends, modestement, à mon compte le projet de Nadar.
C'est donc avec cette visée, que j'ai fait et retenu ces sept photonotes de David Venitucci à Muret.
21:10. Peu après le début du concert, une absence de tension apparente. Une manière d'entrer dans le jeu pendant le solo introductif de Renaud Garcia-Fons.
21:11. Yeux clos. Pour moi, l'image d'une sorte de regard intérieur ; une manière de dialoguer avec soi-même.
21:12. Même chose avec, en plus, la beauté du Fisart et un éclat de lumière bien venu.
21:20. Ici, on est dans un autre registre, celui de l'attention aux autres et du réseau de regard entre les quatre membres du quartet.
21:24. J'ai noté que David ne se tourne que très rarement vers sa gauche. Il est vrai que ce faisant il tourne le dos aux autres. Solitude de l'improvisateur.
21:29. Bon, celle-ci, je la garde pour le contraste ombre/lumière et pour son aspect "statue".
21:38. Le contraste ombre/lumière s'est atténué. Reste cette image d'un être mi-visage mi-accordéon. Et toujours ce regard intérieur.
C'est donc avec cette visée, que j'ai fait et retenu ces sept photonotes de David Venitucci à Muret.
21:10. Peu après le début du concert, une absence de tension apparente. Une manière d'entrer dans le jeu pendant le solo introductif de Renaud Garcia-Fons.
21:11. Yeux clos. Pour moi, l'image d'une sorte de regard intérieur ; une manière de dialoguer avec soi-même.
21:12. Même chose avec, en plus, la beauté du Fisart et un éclat de lumière bien venu.
21:20. Ici, on est dans un autre registre, celui de l'attention aux autres et du réseau de regard entre les quatre membres du quartet.
21:24. J'ai noté que David ne se tourne que très rarement vers sa gauche. Il est vrai que ce faisant il tourne le dos aux autres. Solitude de l'improvisateur.
21:29. Bon, celle-ci, je la garde pour le contraste ombre/lumière et pour son aspect "statue".
21:38. Le contraste ombre/lumière s'est atténué. Reste cette image d'un être mi-visage mi-accordéon. Et toujours ce regard intérieur.
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