lundi 10 janvier - l'accordéon de madison avenue
Dimanche, entre 13h50 et 14h00, en "zig-zappant" sur les chaines de la TNT, je croise les personnages d'une série américaine, dont jusqu'ici j'gnorais le nom : "Mad Men". Ambiance côte est des Etats-Unis, agences de pub et autres entreprises du capitalisme triomphant, à l'époque de l'ascension de JFK. On vit au trentième étage des buildings ; vue imprenable sur d'autres buildings, à l'infini. Les hommes en costumes trois pièces, aux cravates flamboyantes, et les femmes en robes à corolles ou en fourreaux noirs étroitement gainés, façon Ava Gardner.
Pour en savoir plus, un bon descriptif de la saison 3, celle que je viens de découvrir sur Canal+ Cinéma :
http://www.cinemaniac.fr/news/mad-men-saison-3-on-accelere-on-delocalise-exit-le-rythme-melancolique
Et, tout à coup, dans ce monde hyper-classieux, disons bourgeois new-yorkais, dans ce monde dont JFK est l'emblème, au cours d'une soirée chic, forcément chic, l'hôte de la soirée demande à sa femme, pour détendre l'atmosphère et égayer les convives, d'aller chercher son instrument de musique et d'interprèter quelque chose d'attrayant. Elle accepte, sort du salon et... revient avec son accordéon.... dont elle s'accompagne pour pousser la chansonnette.
Dans ce monde de bois cirés, de cuir, de verre, de tabac et de femmes blondes, de whisky et d'hommes aux cheveux noirs impeccablement coiffés, d'échanges biaisés et de repas d'affaires, dans ce monde donc... tout à coup surgit un accordéon-piano, rouge... d'un rouge... il faut le voir pour le croire.
Notons l'accord classieux entre la couleur des murs, la couleur de l'accordéon et celle des cheveux de l'hôtesse. Quelle harmonie !
Décidément, ces Yankees sont imprévisibles !
Pour en savoir plus, un bon descriptif de la saison 3, celle que je viens de découvrir sur Canal+ Cinéma :
http://www.cinemaniac.fr/news/mad-men-saison-3-on-accelere-on-delocalise-exit-le-rythme-melancolique
Et, tout à coup, dans ce monde hyper-classieux, disons bourgeois new-yorkais, dans ce monde dont JFK est l'emblème, au cours d'une soirée chic, forcément chic, l'hôte de la soirée demande à sa femme, pour détendre l'atmosphère et égayer les convives, d'aller chercher son instrument de musique et d'interprèter quelque chose d'attrayant. Elle accepte, sort du salon et... revient avec son accordéon.... dont elle s'accompagne pour pousser la chansonnette.
Dans ce monde de bois cirés, de cuir, de verre, de tabac et de femmes blondes, de whisky et d'hommes aux cheveux noirs impeccablement coiffés, d'échanges biaisés et de repas d'affaires, dans ce monde donc... tout à coup surgit un accordéon-piano, rouge... d'un rouge... il faut le voir pour le croire.
Notons l'accord classieux entre la couleur des murs, la couleur de l'accordéon et celle des cheveux de l'hôtesse. Quelle harmonie !
Décidément, ces Yankees sont imprévisibles !
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