jeudi 16 décembre - libertrio se met en quatre
J'avais eu connaissance de l'existence de Libertrio par un article de Françoise Jallot dans la revue "Accordéon & accordéonistes" (n° 96, avril 2010, page 6). J'avais noté alors l'adresse du quartet pour lui commander son premier opus : "Du vent dans les cordes".
http://www.libertrio.com/article.htm
Plus récemment, j'ai exploré leur site myspace. Et j'avais été intéressé à l'écoute des morceaux proposés.
http://www.myspace.com/libertrio
J'avais derechef fait le projet de leur passer commande... Mais, d'autres préoccupations interférant, je n'avais pas donné suite. Jusqu'à ces jours derniers où Françoise, un soir, me demanda si je connaissais un groupe nommé Libertrio. Bien sûr ! Mais je ne pouvais lui en dire plus. Retour au point de départ : "Accordéon & accordéonistes", adresse du groupe, courriel pour commander "Du vent dans les cordes".
Eh bien, ce midi, il y avait l'album dans notre boite à lettres. Une lettre Max venue d'Arras, on ne pouvait se tromper. Vite fait, on s'est débarrassé des courses à l'hypermarché et, depuis notre retour, la galette tourne en boucle. Un disque d'emblée très agréable. Faussement simple. Je le qualifierais volontiers de léger, au meilleur sens du terme : rien de trop, aucun effet forcé. Juste une sorte d'évidence qui manifeste une culture intimement assimilée.
Ce sont donc quatre musiciens : Bernard Sergeant, guitare, Philippe Decomble, basse, Raphaël Limousin, accordéon, Franck Marco, batterie, percussions. L'album est composé de douze titres : deux de Sergeant, deux de Decomble, sept de Limousin. Et un de Piazzolla, "Libertango". Ils se réclament du "New Musette" et du "New Tango", de Galliano, de Piazzolla et de Philippe Catherine. Ce qui m'a frappé en première écoute, c'est l'homogénéité du quartet, en ce sens que chaque instrument a une présence égale et qu'il en résulte un équilibre de l'ensemble immédiatement perceptible.
Ce disque dégage une sorte de bonne humeur, mais j'hésite à utiliser ce terme qui dénote trop souvent une musique qui se veut seulement festive. Ici, il s'agit de tout autre chose : la bonne humeur procède d'un travail exigeant. Je pense par exemple à "For Ever", à "Quintes et Tango", à "Liliswing", à "Song for Chantal". Ce sont des exemples, pas un palmarés, tant il est vrai que chaque morceau a sa propre personnalité.
Et puis, in fine, titre 12, "Tempête sur Molène"... Comme un autre style, comme l'expression d'une autre recherche, d'une autre inspiration... L'annonce d'un prochain album ?
http://www.libertrio.com/article.htm
Plus récemment, j'ai exploré leur site myspace. Et j'avais été intéressé à l'écoute des morceaux proposés.
http://www.myspace.com/libertrio
J'avais derechef fait le projet de leur passer commande... Mais, d'autres préoccupations interférant, je n'avais pas donné suite. Jusqu'à ces jours derniers où Françoise, un soir, me demanda si je connaissais un groupe nommé Libertrio. Bien sûr ! Mais je ne pouvais lui en dire plus. Retour au point de départ : "Accordéon & accordéonistes", adresse du groupe, courriel pour commander "Du vent dans les cordes".
Eh bien, ce midi, il y avait l'album dans notre boite à lettres. Une lettre Max venue d'Arras, on ne pouvait se tromper. Vite fait, on s'est débarrassé des courses à l'hypermarché et, depuis notre retour, la galette tourne en boucle. Un disque d'emblée très agréable. Faussement simple. Je le qualifierais volontiers de léger, au meilleur sens du terme : rien de trop, aucun effet forcé. Juste une sorte d'évidence qui manifeste une culture intimement assimilée.
Ce sont donc quatre musiciens : Bernard Sergeant, guitare, Philippe Decomble, basse, Raphaël Limousin, accordéon, Franck Marco, batterie, percussions. L'album est composé de douze titres : deux de Sergeant, deux de Decomble, sept de Limousin. Et un de Piazzolla, "Libertango". Ils se réclament du "New Musette" et du "New Tango", de Galliano, de Piazzolla et de Philippe Catherine. Ce qui m'a frappé en première écoute, c'est l'homogénéité du quartet, en ce sens que chaque instrument a une présence égale et qu'il en résulte un équilibre de l'ensemble immédiatement perceptible.
Ce disque dégage une sorte de bonne humeur, mais j'hésite à utiliser ce terme qui dénote trop souvent une musique qui se veut seulement festive. Ici, il s'agit de tout autre chose : la bonne humeur procède d'un travail exigeant. Je pense par exemple à "For Ever", à "Quintes et Tango", à "Liliswing", à "Song for Chantal". Ce sont des exemples, pas un palmarés, tant il est vrai que chaque morceau a sa propre personnalité.
Et puis, in fine, titre 12, "Tempête sur Molène"... Comme un autre style, comme l'expression d'une autre recherche, d'une autre inspiration... L'annonce d'un prochain album ?
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