lundi 25 octobre - 1, 2, 3... perrone
"1, 2, 3... Perrone" : trois jours exceptionnels autour de Marc Perrone, les 22, 23 et 24 octobre à Billère, commune de l'agglomération paloise. Conférence de Perrone sur son travail de collectage le 22 ; master-classe les 22 et 24 ; concert le 23, à 20h30, avec dégustation de garbure à l'entr'acte puis bal.
Le concert est assuré par le trio : Perrone au diatonique, Marie-Odile Chantran, chant, maracas et vielle à roue, André Minvielle, batterie et chant. Ce concert est émouvant à plusieurs titres : la présence de Marc Perrone, sa force et sa faiblesse indissociables, son énergie, ses engagements et ses fidélités, bref son humanité. Un vrai talent de conteur pour dire son enfance de "rital", ses hésitations entre ses identités d'enfant de la Courneuve et de fils d'immigrés. L'école et la banlieue en France ; l'Italie, ses odeurs, sa chaleur et ses lumières pendant les vacances. Résultat : un être bilingue qui revendique sa double culture. Dire qu'il est de gauche serait sans doute réducteur. Disons qu'il aime les gens, les rencontres et les échanges. Il a la simplicité des hommes de conviction.
Les titres du concert sont tirés pour l'essentiel des deux albums : "Son éphémère passion" et "Les p'tites chansons de Marc Perrone". On reconnait ainsi "Poisson d'or", "Son éphémère passion", "Non dimenticare", "De dame et d'homme", "Banlieue Chronique", "Vert luisant", "Guili Guili". On aime l'accordéoniste ; on aime le chanteur ; on aime son regard vers ses complices, Marie-Odile et André et sa posture aussi quand il se tourne vers eux plein d'attention amicale.
A l'occasion de ce concert, nous avons découvert Marie-Odile Chantran. On a aimé sa présence avec des sortes de maracas et autres instruments de percussion. On a aimé l'entendre chanter, entre scat et textes surréalistes. On a aussi aimé son jeu avec sa vielle à roue. Peut-on parler de swing en l'occurence. Oui ! Aussi surprenant que cela puisse paraitre. Il fallait voir comment André Minvielle jubilait en l'accompagnant.
Minvielle justement, quelle énergie, quel sens de la langue, rythme et paroles ! Mais aussi quel batteur fin et délicat. Certes nous ne l'avons pas découvert quant à son style et à sa personnalité, mais nous l'avons découvert en tant que batteur et ce fut un vrai plaisir. Et puis il a ce don rare : la présence.
Un concert émouvant dont la petite musique continue à résonner dans nos têtes, d'autant plus que "Son éphémère passion " et "Les p'tites chansons..." tournent à peu près en continu.
Le concert est assuré par le trio : Perrone au diatonique, Marie-Odile Chantran, chant, maracas et vielle à roue, André Minvielle, batterie et chant. Ce concert est émouvant à plusieurs titres : la présence de Marc Perrone, sa force et sa faiblesse indissociables, son énergie, ses engagements et ses fidélités, bref son humanité. Un vrai talent de conteur pour dire son enfance de "rital", ses hésitations entre ses identités d'enfant de la Courneuve et de fils d'immigrés. L'école et la banlieue en France ; l'Italie, ses odeurs, sa chaleur et ses lumières pendant les vacances. Résultat : un être bilingue qui revendique sa double culture. Dire qu'il est de gauche serait sans doute réducteur. Disons qu'il aime les gens, les rencontres et les échanges. Il a la simplicité des hommes de conviction.
Les titres du concert sont tirés pour l'essentiel des deux albums : "Son éphémère passion" et "Les p'tites chansons de Marc Perrone". On reconnait ainsi "Poisson d'or", "Son éphémère passion", "Non dimenticare", "De dame et d'homme", "Banlieue Chronique", "Vert luisant", "Guili Guili". On aime l'accordéoniste ; on aime le chanteur ; on aime son regard vers ses complices, Marie-Odile et André et sa posture aussi quand il se tourne vers eux plein d'attention amicale.
A l'occasion de ce concert, nous avons découvert Marie-Odile Chantran. On a aimé sa présence avec des sortes de maracas et autres instruments de percussion. On a aimé l'entendre chanter, entre scat et textes surréalistes. On a aussi aimé son jeu avec sa vielle à roue. Peut-on parler de swing en l'occurence. Oui ! Aussi surprenant que cela puisse paraitre. Il fallait voir comment André Minvielle jubilait en l'accompagnant.
Minvielle justement, quelle énergie, quel sens de la langue, rythme et paroles ! Mais aussi quel batteur fin et délicat. Certes nous ne l'avons pas découvert quant à son style et à sa personnalité, mais nous l'avons découvert en tant que batteur et ce fut un vrai plaisir. Et puis il a ce don rare : la présence.
Un concert émouvant dont la petite musique continue à résonner dans nos têtes, d'autant plus que "Son éphémère passion " et "Les p'tites chansons..." tournent à peu près en continu.
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