vendredi 9 octobre - trio massot florizoone horbaczewski : neuf photonotes
Au cours des deux concerts du 2 et du 3 octobre, j'ai fait beaucoup de photographies avec mon "petit gros" Samsung que j'apprécie chaque jour un peu plus et un peu mieux. Lui-même, je crois, s'habitue à ma manière de faire. Je ne lui demande que de ne pas faire de bruit de déclenchement, de ne pas utiliser son flash et de s'en tenir au mode automatique. Si je n'avais pas résisté, j'aurais publié je ne sais combien de photographies, tant leur force d'évocation m'intéresse et me touche. Mais j'ai résisté et donc choisi. Ce faisant, j'ai bien compris à quel point il est vrai que "choisir c'est renoncer".
Bref ! J'ai dit dans un texte précédent que Michel Massot avec son instrument me faisait penser à un être hybride. Si j'osais, je dirais que ces deux photographies, prises lors de l'un et l'autre concert, montrent bien à quel point il se comporte comme un "trombhomme".
Bref ! J'ai dit dans un texte précédent que Michel Massot avec son instrument me faisait penser à un être hybride. Si j'osais, je dirais que ces deux photographies, prises lors de l'un et l'autre concert, montrent bien à quel point il se comporte comme un "trombhomme".
Quant à Marine Horbaczewski, comment ne pas penser en la voyant à un personnage de Vermeer. Si j'osais, je la qualifierais volontiers de "violoncieliste", tant elle évoque une figure angélique.
Autre évocation : elle assume avec bonheur le rôle de figure intermédiaire dans le trio. Econome de ses gestes, mais d'une précision infaillible.
Et puis, il y a Tuur Florizoone. Je ne sais même plus comment j'ai pu me résoudre à ne garder que cinq images de lui. Pas question de justifier ce choix photo par photo. J'en serais bien incapable. De celle-ci, disons que je retiens le profil et les mains.
De celle-ci, je retiens l'amplitude du soufflet et sa beauté plastique, quasi biologique. Le rouge n'est pas étranger d'ailleurs à cette connotation biologique.
Et puis, il y a Tuur Florizoone. Je ne sais même plus comment j'ai pu me résoudre à ne garder que cinq images de lui. Pas question de justifier ce choix photo par photo. J'en serais bien incapable. De celle-ci, disons que je retiens le profil et les mains.
De celle-ci, je retiens l'amplitude du soufflet et sa beauté plastique, quasi biologique. Le rouge n'est pas étranger d'ailleurs à cette connotation biologique.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil