mercredi 17 décembre - macias à bordeaux : photonotes
18h47 ! Le projecteur découpe un cercle lumineux. J'imagine qu'en cet instant le trac, comme par enchantement, s'évapore. Peut-être même que les douleurs aux poignets, aux doigts, au dos, ces douleurs qui font douter de pouvoir mener au bout la performance, que ces douleurs laissent place à une étrange souplesse. Comme dans un rêve. Solo. J'imagine...
18h56.
![](//4.bp.blogspot.com/_xNouJ8QrFS8/SUeGqP6a3GI/AAAAAAAAElg/hgm8xIo6cvU/s320/PC110016.JPG)
18h59. Est-ce que la salle existe encore en cet instant où Michel Macias semble relié directement à son monde d'inspiration dont il nous livre des échos ? En un sens, cette image me parait emblématique de la situation : solo.
19h07. J'aime beaucoup cette photographie. Les yeux clos ; l'extrême concentration. j'ai l'impression qu'il va chercher très loin, au plus profond de ses intuitions, quelque chose qu'il s'agit de traduire en sons pour nous le transmettre.
19h13.
![](//3.bp.blogspot.com/_xNouJ8QrFS8/SUeGC66i_VI/AAAAAAAAElI/j9g2BJY0tOw/s320/PC110041.JPG)
19h23. L'accordéon est aussi un instrument de percussions. Un complice de corps à corps. L'accordéon, c'est physique !
![](//4.bp.blogspot.com/_xNouJ8QrFS8/SUeF2DcG1_I/AAAAAAAAElA/vXMg-GYSev4/s320/PC110054.JPG)
19h27. Ces deux photographies, en dépit de leur qualité technique, me touchent beaucoup. En dépit ou peut-être à cause de leur faible qualité technique. J'en aime assez le bougé. Je pense à un Pierrot lunaire ou, encore plus, au Gilles de Watteau. Une fragilité extrême. Un tremblement suspendu. Intense instant. Solo !
18h59. Est-ce que la salle existe encore en cet instant où Michel Macias semble relié directement à son monde d'inspiration dont il nous livre des échos ? En un sens, cette image me parait emblématique de la situation : solo.
19h23. L'accordéon est aussi un instrument de percussions. Un complice de corps à corps. L'accordéon, c'est physique !
19h27. Ces deux photographies, en dépit de leur qualité technique, me touchent beaucoup. En dépit ou peut-être à cause de leur faible qualité technique. J'en aime assez le bougé. Je pense à un Pierrot lunaire ou, encore plus, au Gilles de Watteau. Une fragilité extrême. Un tremblement suspendu. Intense instant. Solo !
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil