jeudi 24 septembre - les cinq concerts des nuits de nacre [5/5]
Le cinquième concert : Richard Galliano solo.
Je n'ai ni à cacher mon admiration absolue pour Richard Galliano, ni à la rappeler tant je l'ai dite de fois. Disons que ce concert, en quelque sorte clôture et point d'orgue du festival, m'a renforcé dans mes convictions : Richard Galliano, c'est Richard Galliano. Manière de dire qu'il n'est comparable qu'à lui-même.
Au fil de son récital, on reconnait ses "incontournables" comme "Tango pour Claude", "Fou rire", "La Javanaise", "Habanerando", "Chat pitre", "Opale concerto", etc... Tous titres que j'ai retrouvés avec l'aide de Françoise. Et puis quelques titres qui apparaissent ou non suivant les récitals, comme par exemple telle "Gnossienne" ou "Douce joie", etc...
Petit point technique à propos des quatre photographies ci-dessous. Moyennant une heure et demie en tête de file d'attente, nous avions pris place au premier rang, en plein milieu. J'espérais pouvoir ainsi voir au mieux le comportement de Richard Galliano et aussi être en position optimale pour faire quelques photos. Las ! Juste avant le récital, une annonce très officielle demande de ne pas utiliser d'appareil photo. Autant dire qu'il ne me reste plus qu'à essayer de voler quelques clichés, ce qui ne facilite pas les mises au point. Et puis, coup fatal, un projecteur violent venu des cintres vient en partie frapper mon objectif tout en immergeant Richard Galliano dans un halo hyper-lumineux... Je garde tout de même quatre images pour leur valeur symbolique.
La première montre bien le dispositif du récital. Richard Galliano, le corps rejeté en arrière, collé au micro et... debout. Du début à la fin. Une force de la nature. Et puis, une chaise, objet géométrique inattendu pour ne pas dire incongru.
Evidemment, la photo, suivante est une photo très déficiente techniquement parlant. Je l'ai gardée parce que son imprécision m'évoque l'idée que le jeu de Richard Galliano c'est d'abord de l'énergie, une puissance "hénaurme", un flux qui emporte tout sur son passage. Une force plus qu'une forme "bien carrée". C'est pourquoi il ne peut jouer assis sans dénaturer ou dévitaliser ses interprétations. C'est pourquoi la chaise ne pouvait être qu'inutile. Même si à deux reprises Richard Galliano a fait allusion aux 13 kilos de son Victoria.
Pour finir, deux images en noir et blanc. Deux images pour la posture représentée et pour les gris. Images moins réalistes qu'en couleurs ; images plus abstraites mais du coup plus lisibles du point de vue de la forme.
Je n'ai ni à cacher mon admiration absolue pour Richard Galliano, ni à la rappeler tant je l'ai dite de fois. Disons que ce concert, en quelque sorte clôture et point d'orgue du festival, m'a renforcé dans mes convictions : Richard Galliano, c'est Richard Galliano. Manière de dire qu'il n'est comparable qu'à lui-même.
Au fil de son récital, on reconnait ses "incontournables" comme "Tango pour Claude", "Fou rire", "La Javanaise", "Habanerando", "Chat pitre", "Opale concerto", etc... Tous titres que j'ai retrouvés avec l'aide de Françoise. Et puis quelques titres qui apparaissent ou non suivant les récitals, comme par exemple telle "Gnossienne" ou "Douce joie", etc...
Petit point technique à propos des quatre photographies ci-dessous. Moyennant une heure et demie en tête de file d'attente, nous avions pris place au premier rang, en plein milieu. J'espérais pouvoir ainsi voir au mieux le comportement de Richard Galliano et aussi être en position optimale pour faire quelques photos. Las ! Juste avant le récital, une annonce très officielle demande de ne pas utiliser d'appareil photo. Autant dire qu'il ne me reste plus qu'à essayer de voler quelques clichés, ce qui ne facilite pas les mises au point. Et puis, coup fatal, un projecteur violent venu des cintres vient en partie frapper mon objectif tout en immergeant Richard Galliano dans un halo hyper-lumineux... Je garde tout de même quatre images pour leur valeur symbolique.
La première montre bien le dispositif du récital. Richard Galliano, le corps rejeté en arrière, collé au micro et... debout. Du début à la fin. Une force de la nature. Et puis, une chaise, objet géométrique inattendu pour ne pas dire incongru.
Evidemment, la photo, suivante est une photo très déficiente techniquement parlant. Je l'ai gardée parce que son imprécision m'évoque l'idée que le jeu de Richard Galliano c'est d'abord de l'énergie, une puissance "hénaurme", un flux qui emporte tout sur son passage. Une force plus qu'une forme "bien carrée". C'est pourquoi il ne peut jouer assis sans dénaturer ou dévitaliser ses interprétations. C'est pourquoi la chaise ne pouvait être qu'inutile. Même si à deux reprises Richard Galliano a fait allusion aux 13 kilos de son Victoria.
Pour finir, deux images en noir et blanc. Deux images pour la posture représentée et pour les gris. Images moins réalistes qu'en couleurs ; images plus abstraites mais du coup plus lisibles du point de vue de la forme.
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