dimanche 15 mars - parce que c'était lui, parce que c'était moi...
Vendredi 13 mars, salle du Vigean à Eysines, commune de l'agglomération bordelaise. A 20h30, concert de Sylvain Luc et Richard Galliano. Placement libre, assis. Ce concert s'inscrit dans le cadre de la tournée de promotion de "La vie en rose / Rencontres avec Edith Piaf et Gus Viseur".
On est arrivé à Bordeaux vers 13 heures. On a déjeuné à l'hôtel réservé pour la nuit de vendredi à samedi. On est allé reconnaitre le lieu de la salle vers 17 heures. Retour à l'hôtel. Il fait froid et le vent n'incite pas à la promenade. A 19h30, on rejoint les quatre personnes qui attendent déjà l'ouverture des portes, qui s'ouvriront à 20h15. Cette longue attente valait la peine ; elle nous permet en effet de nous installer au premier rang. A 20h40, début du concert. A 22h15, fin du concert après deux rappels. On s'attarde un peu : c'est l'occasion de pouvoir échanger quelques mots, d'abord avec Sylvain Luc, puis avec Richard Galliano, tous les deux acceptant de bonne grâce de signer pour nous leur album. Peu avant 23 heures, le digicode nous ouvre la barrière de l'hôtel. On a la tête pleine d'étoiles. On se rappelle sur le vif que l'on vient d'entendre "Paris", "Douce Joie", "L'accordéoniste", "Les amants du jour", "La chanson des forains", "La foule", "L'hymne à l'amour", "Je m'en fous pas mal", "La vie en rose", "Je ne regrette rien", "Mon Dieu", "Sous le ciel de Paris", "Swing valse". Liste incomplète certes, mais suffisante pour donner une idée juste du programme.
Ce fut un beau concert. Quand Richard Galliano a annoncé qu'ils allaient jouer un dernier titre, j'ai cru émerger d'un rêve. En tout cas, le temps n'avait pas duré. C'est comme si tout s'était déroulé en un instant.
Samedi matin, sur la route du retour à Pau, forcément avec Françoise nous avons échangé nos impressions et nos souvenirs. Un puzzle de belles sensations. Chemin faisant on convient qu'il est encore un peu tôt pour prendre du recul et pour essayer d'analyser les bonnes raisons de nos émotions et de notre enthousiasme. Et puis, toujours chemin faisant, on finit par se dire qu'il n'est peut-être ni nécessaire, ni opportun de vouloir mettre à jour ces raisons et qu'il serait aussi bien de s'en tenir à notre enthousiasme comme à une évidence.
Du coup, je serais presque tenté de paraphraser Montaigne qui, cherchant à comprendre les raisons de son amitié pour La Boëtie, finissait par s'en tenir à cette évidence :"Parce que c'était lui, parce que c'était moi". C'est tout ! Si l'on se demande maintenant à quoi tient la perfection de ce concert, l'accord de Richard Galliano et de Sylvain Luc, la réponse pourrait bien être, en miroir : "Parce que c'était Richard, parce que c'était moi" ; "Parce que c'était Sylvain, parce que c'était moi".
Pour évoquer cette soirée, sept photonotes prises entre 20h47 et 21h42.
20h47, le duo en bleu...
20h52. Richard Galliano
20h52. Sylvain Luc, dans la même minute.
20h56, le duo en couleurs chaudes
21h13. Richard Galliano entre assis et debout...
21h15, solo :"Melodicelli", une composition de Richard lui-même.
21h42. Je suis frappé par la constance du comportement de Richard et Sylvain : échange permanent de regards. Quelque chose que l'on peut, à juste titre, qualifier de classique.
Un dernier mot pour dire qu'avant le début du concert, on a discuté quelque peu avec Gilles (de Mont-de-Marsan), puis à l'issue de ce même concert avec Christelle. Et ces rencontres amicales nous ont fait plaisir. Elles font partie du plaisir des concerts.
post-scriptum : une dernière, juste pour le plaisir des yeux...
On est arrivé à Bordeaux vers 13 heures. On a déjeuné à l'hôtel réservé pour la nuit de vendredi à samedi. On est allé reconnaitre le lieu de la salle vers 17 heures. Retour à l'hôtel. Il fait froid et le vent n'incite pas à la promenade. A 19h30, on rejoint les quatre personnes qui attendent déjà l'ouverture des portes, qui s'ouvriront à 20h15. Cette longue attente valait la peine ; elle nous permet en effet de nous installer au premier rang. A 20h40, début du concert. A 22h15, fin du concert après deux rappels. On s'attarde un peu : c'est l'occasion de pouvoir échanger quelques mots, d'abord avec Sylvain Luc, puis avec Richard Galliano, tous les deux acceptant de bonne grâce de signer pour nous leur album. Peu avant 23 heures, le digicode nous ouvre la barrière de l'hôtel. On a la tête pleine d'étoiles. On se rappelle sur le vif que l'on vient d'entendre "Paris", "Douce Joie", "L'accordéoniste", "Les amants du jour", "La chanson des forains", "La foule", "L'hymne à l'amour", "Je m'en fous pas mal", "La vie en rose", "Je ne regrette rien", "Mon Dieu", "Sous le ciel de Paris", "Swing valse". Liste incomplète certes, mais suffisante pour donner une idée juste du programme.
Ce fut un beau concert. Quand Richard Galliano a annoncé qu'ils allaient jouer un dernier titre, j'ai cru émerger d'un rêve. En tout cas, le temps n'avait pas duré. C'est comme si tout s'était déroulé en un instant.
Samedi matin, sur la route du retour à Pau, forcément avec Françoise nous avons échangé nos impressions et nos souvenirs. Un puzzle de belles sensations. Chemin faisant on convient qu'il est encore un peu tôt pour prendre du recul et pour essayer d'analyser les bonnes raisons de nos émotions et de notre enthousiasme. Et puis, toujours chemin faisant, on finit par se dire qu'il n'est peut-être ni nécessaire, ni opportun de vouloir mettre à jour ces raisons et qu'il serait aussi bien de s'en tenir à notre enthousiasme comme à une évidence.
Du coup, je serais presque tenté de paraphraser Montaigne qui, cherchant à comprendre les raisons de son amitié pour La Boëtie, finissait par s'en tenir à cette évidence :"Parce que c'était lui, parce que c'était moi". C'est tout ! Si l'on se demande maintenant à quoi tient la perfection de ce concert, l'accord de Richard Galliano et de Sylvain Luc, la réponse pourrait bien être, en miroir : "Parce que c'était Richard, parce que c'était moi" ; "Parce que c'était Sylvain, parce que c'était moi".
Pour évoquer cette soirée, sept photonotes prises entre 20h47 et 21h42.
20h47, le duo en bleu...
20h52. Richard Galliano
20h52. Sylvain Luc, dans la même minute.
20h56, le duo en couleurs chaudes
21h13. Richard Galliano entre assis et debout...
21h15, solo :"Melodicelli", une composition de Richard lui-même.
21h42. Je suis frappé par la constance du comportement de Richard et Sylvain : échange permanent de regards. Quelque chose que l'on peut, à juste titre, qualifier de classique.
Un dernier mot pour dire qu'avant le début du concert, on a discuté quelque peu avec Gilles (de Mont-de-Marsan), puis à l'issue de ce même concert avec Christelle. Et ces rencontres amicales nous ont fait plaisir. Elles font partie du plaisir des concerts.
post-scriptum : une dernière, juste pour le plaisir des yeux...
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire
Abonnement Publier les commentaires [Atom]
<< Accueil