jeudi 23 octobre - vincent peirani et émile parisien à jazz sur son 31
Mardi 21, 18h30, Jazz sur son 31, Magic Mirrors dans la cour de l'hôtel du département : Vincent Peirani-Emile Parisien. Avec nous, Charlotte et Camille. Le bonheur promet d'être complet. Et en effet il le sera : le concert d'abord, puis la rencontre avec Ferdinand Doumerc, le saxophoniste de Pulcinella, dont je trouve le style parent de celui d'Emile Parisien, et encore quelques mots échangés avec Vincent... et enfin le dîner chez "le japonais", près de la place Wilson. Les filles sont sur leur petit nuage. Nous aussi.
Le programme du concert reprend largement celui de l'album du duo : "Belle Epoque". Entre autres morceaux, je note au passage "Egyptian Fantasy", de S. Bechet, "Song of Medina" du même, "Hysm" et "Place 75" d'E. Parisien, "Schubertauster" de V. Peirani, "Dancers in Love" de D. Ellington ou encore, "3 temps pour Michel P." de Vincent Peirani, titre tiré de "Thrill Box". Bien entendu, je n'ai pas noté sur le moment la suite des morceaux et je m'en tiens à ce qui me revient en mémoire en cet instant. Ce ne sont pas les titres qui m'auraient le plus frappé, car tout était d'un tel niveau que je suis bien incapable de faire la moindre différence entre les uns et les autres. Disons pour faire bref que l'ensemble du concert fait partie de "mes mémorables".
Encore une fois, je trouve difficile, pour ne pas dire impossible de trouver les mots et les phrases pour exprimer mes sensations, mes impressions et mes émotions. Pourtant ce qui m'a frappé et même fasciné c'est d'assister à la création d'une musique qui se manifeste sur le vif. Avec toutes les prises de risques qui y sont afférentes. Jamais l'expression "en direct live" n'a mieux trouvé son sens. Ce qui plus précisément encore m'a fasciné, c'est le travail de déconstruction/reconstruction appliqué à chaque morceau. Déconstruction et pas démolition. Nuance ! Comme un travail, très fin, très délicat de mise en pièce d'une mélodie initiale, de décomposition/recomposition. Suspense garant ! On se dit à chaque instant :"Mais, qu'est-ce qu'ils vont inventer ?" Et ça, avec une belle dose d'humour, de confiance et de complicité entre Vincent et Emile.
Mais, bon, même si les mots me manquent, je vous le dis : "un concert mémorable".
Post-scriptum. Bien entendu, avant le concert, une voix suave mais plutôt péremptoire rappelle qu'il est interdit de faire tout enregistrement de sons ou d'images. Pas de photos donc, avec ou sans flash. Dont acte. Mais, au moment des rappels, je m'autorise quelque liberté avec cette interdiction. Entre 20h01 et 20h09, en contrebande, je fais une douzaine de photos volées du deuxième rang, entre les têtes des deux spectateurs du premier rang devant moi. J'en garde cinq, que j'ai plaisir à regarder, je l'avoue.
D'abord, le duo. Une image assez fidèle de la posture du duo, avec Vincent pieds nus.
Et puis quatre autres images de Vincent avec sa nouvelle coupe de cheveux. Un look de yogi. Une musique flamboyante !
Le programme du concert reprend largement celui de l'album du duo : "Belle Epoque". Entre autres morceaux, je note au passage "Egyptian Fantasy", de S. Bechet, "Song of Medina" du même, "Hysm" et "Place 75" d'E. Parisien, "Schubertauster" de V. Peirani, "Dancers in Love" de D. Ellington ou encore, "3 temps pour Michel P." de Vincent Peirani, titre tiré de "Thrill Box". Bien entendu, je n'ai pas noté sur le moment la suite des morceaux et je m'en tiens à ce qui me revient en mémoire en cet instant. Ce ne sont pas les titres qui m'auraient le plus frappé, car tout était d'un tel niveau que je suis bien incapable de faire la moindre différence entre les uns et les autres. Disons pour faire bref que l'ensemble du concert fait partie de "mes mémorables".
Encore une fois, je trouve difficile, pour ne pas dire impossible de trouver les mots et les phrases pour exprimer mes sensations, mes impressions et mes émotions. Pourtant ce qui m'a frappé et même fasciné c'est d'assister à la création d'une musique qui se manifeste sur le vif. Avec toutes les prises de risques qui y sont afférentes. Jamais l'expression "en direct live" n'a mieux trouvé son sens. Ce qui plus précisément encore m'a fasciné, c'est le travail de déconstruction/reconstruction appliqué à chaque morceau. Déconstruction et pas démolition. Nuance ! Comme un travail, très fin, très délicat de mise en pièce d'une mélodie initiale, de décomposition/recomposition. Suspense garant ! On se dit à chaque instant :"Mais, qu'est-ce qu'ils vont inventer ?" Et ça, avec une belle dose d'humour, de confiance et de complicité entre Vincent et Emile.
Mais, bon, même si les mots me manquent, je vous le dis : "un concert mémorable".
Post-scriptum. Bien entendu, avant le concert, une voix suave mais plutôt péremptoire rappelle qu'il est interdit de faire tout enregistrement de sons ou d'images. Pas de photos donc, avec ou sans flash. Dont acte. Mais, au moment des rappels, je m'autorise quelque liberté avec cette interdiction. Entre 20h01 et 20h09, en contrebande, je fais une douzaine de photos volées du deuxième rang, entre les têtes des deux spectateurs du premier rang devant moi. J'en garde cinq, que j'ai plaisir à regarder, je l'avoue.
D'abord, le duo. Une image assez fidèle de la posture du duo, avec Vincent pieds nus.
Et puis quatre autres images de Vincent avec sa nouvelle coupe de cheveux. Un look de yogi. Une musique flamboyante !
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