dimanche 25 mai - encore quelques mots à propos de "mar negro"...
J'ai déjà essayé de dire toute mon admiration pour l'opus du Jerez le Cam Trio dans mon article daté du jeudi 22. Sous le coup de l'enthousiasme, j'ai même donné, in fine, à toutes fins utiles, la procédure pour se procurer l'album, car il s'agit d'une autoproduction que l'on ne trouve pas chez les méga-distributeurs.
Cet album est une vraie réussite. J'ai essayé de trouver les mots pour traduire et expliquer mes impressions mais finalement il me semble plus pertinent de produire deux "pièces" au dossier pour que chacun puisse, en toute subjectivité, comprendre ce que j'aurais voulu dire.
1.- première "pièce" : écouter la musique de "Mar negro" sur le site de Jerez le Cam.
http://jerezlecam.com/musique/
2.- deuxième "pièce" : extraits du texte de présentation de chacun des trois musiciens donné dans le fascicule inclus dans la pochette du disque.
- Gerardo Jerez le Cam, compositions et piano. "Un dialogue constant entre les musiques populaires et la recherche contemporaine [...] Il s'installe en France en 1992 et entame un travail de rencontres entre à travers les folklores de l'Europe de l'Est et de l'Argentine, ainsi qu'un travail de croisement des langages populaires et savants".
- Iacob Maciuca, violon. "Il porte avec lui les bagages culturels de la région de Dobrogea où le folklore de la Mer Noire roumaine atteint les sommets du métissage musical".
- Manu Comté, bandonéon. "Comme une douloureuse beauté proche des vocalises humaines, voilà comment chante le bandonéon de Manu Comté, auteur d'interprétations de grande virtuosité, pleines de vie et d'intenses moments dramaturgiques [...] Manu Comté possède au plus haut degré le swing et la folie de ces musiques qui aiguisent les sens et emballent les cœurs".
Rien à ajouter si ce n'est que le dialogue entre différents styles de musique évoqué ci-dessus se double d'un dialogue entre les membres du trio où Manu Comté apporte sa couleur particulière. Disons la couleur "Soledad". Longue vie au trio !
Cet album est une vraie réussite. J'ai essayé de trouver les mots pour traduire et expliquer mes impressions mais finalement il me semble plus pertinent de produire deux "pièces" au dossier pour que chacun puisse, en toute subjectivité, comprendre ce que j'aurais voulu dire.
1.- première "pièce" : écouter la musique de "Mar negro" sur le site de Jerez le Cam.
http://jerezlecam.com/musique/
2.- deuxième "pièce" : extraits du texte de présentation de chacun des trois musiciens donné dans le fascicule inclus dans la pochette du disque.
- Gerardo Jerez le Cam, compositions et piano. "Un dialogue constant entre les musiques populaires et la recherche contemporaine [...] Il s'installe en France en 1992 et entame un travail de rencontres entre à travers les folklores de l'Europe de l'Est et de l'Argentine, ainsi qu'un travail de croisement des langages populaires et savants".
- Iacob Maciuca, violon. "Il porte avec lui les bagages culturels de la région de Dobrogea où le folklore de la Mer Noire roumaine atteint les sommets du métissage musical".
- Manu Comté, bandonéon. "Comme une douloureuse beauté proche des vocalises humaines, voilà comment chante le bandonéon de Manu Comté, auteur d'interprétations de grande virtuosité, pleines de vie et d'intenses moments dramaturgiques [...] Manu Comté possède au plus haut degré le swing et la folie de ces musiques qui aiguisent les sens et emballent les cœurs".
Rien à ajouter si ce n'est que le dialogue entre différents styles de musique évoqué ci-dessus se double d'un dialogue entre les membres du trio où Manu Comté apporte sa couleur particulière. Disons la couleur "Soledad". Longue vie au trio !
publié par michel à
02:02
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