lundi 13 janvier 2014

mardi 14 janvier - le duo peirani parisien à l'espace croix baragnon le 10 janvier

Vendredi ! Notre plaisir est décuplé : Charlotte, malgré un rhume carabiné, est venu avec nous assister au concert du duo. On a encore la tête pleine d'images sonores et visuelles, pleine de sensations pour ne pas dire de bonnes vibrations. Tout le concert va se dérouler pour moi sur un double plan : c'est la même chose qu'hier et c'est tout autre chose. Même et autre : ça, je le reconnais, ça, je ne l'avais pas perçu ; ça, c'est pareil, ça, très différent. Pas de surprises nouvelles, mais, au sens d'Hitchcock, du suspense. On attend ce qui va se passer, mais, c'est tout le travail d'interprétation, on est là, tendu, attentif, en attente de comment ça va se passer. Le même programme qu'hier mais d'autres attentes et d'autres nuances d'interprétation.

Il est 21h35. Le duo joue depuis un peu moins d'une heure. Attitude caractéristique.


20h41. Ce qui me frappe, c'est de voir à quel point Vincent tout d'intériorité établit un contact plein de profondeur avec le public, précisément en ne cherchant pas à en capter l'attention. Il me semble que cette série de photos montre ou simplement suggère comment Vincent fait participer ce public à son interprétation. Disons au travail ou au processus d'interprétation, qui donne vie à sa création. En ce sens, par sa posture même, il nous fait partager quelque chose de ce processus auquel on participe sans aucune analyse ni discours.


20h42.

20h43.

20h45.

20h53.

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