vendredi 7 juin - juste un complément à l'actualité de jacques pellarin
J'ai dit hier comment nous avions trouvé un message de Jacques Pellarin à notre retour de Toulouse. Il s'agissait de nous faire connaitre une création audio-visuelle, dont la bande son n'était autre que la musique de sa composition "Valse douce amère". J'avais été d'emblée très intéressé par cette œuvre de quelques minutes et surtout touché par sa qualité. J'en étais resté à cette impression d'ensemble et j'avais voulu répercuter "Coquelicots" sans délai sur mon blog, quitte à revenir plus tard sur l'analyse de mon jugement spontané.
Après vingt-quatre heures et plusieurs lectures de "Coquelicots", il me semble que je suis plus à même de comprendre pourquoi j'y trouvais une harmonie ou une correspondance parfaite entre la représentation des fleurs, les mouvements de la danseuse, le rythme de la prise de vues, le montage et la musique. En même temps, j'ai mieux compris que ce qui m'intéressait beaucoup, c'était le sentiment de ne pas avoir affaire à une idée - on dirait aujourd'hui un concept - illustrée ou simplement concrétisée par des images et des sons, mais plutôt à une intuition immédiatement sensible de la fragilité de la vie, sans passer par un discours explicite. Et ça, j'ai beaucoup aimé parce que je l'ai senti immédiatement.
Et puis d'écoute/visionnement en écoute/visionnement j'ai compris que cette harmonie que j'évoquais plus haut tenait à un effet de halo inhérent aux images et à la musique. Tout le contraire d'une perception objective ou scientifique ou rationnelle du monde. Voilà ce que je crois avoir compris : ce qui fait l'unité des divers composants de cette création, c'est un certain effet de halo.
Je vous livre mon hypothèse... A chacun d'en vérifier pour lui-même le bien fondé ou de se donner une autre interprétation, car justement comme "Coquelicots" est bien à proprement parler une création les possibilités d'interprétation sont multiples.
https://vimeo.com/67398024
Après vingt-quatre heures et plusieurs lectures de "Coquelicots", il me semble que je suis plus à même de comprendre pourquoi j'y trouvais une harmonie ou une correspondance parfaite entre la représentation des fleurs, les mouvements de la danseuse, le rythme de la prise de vues, le montage et la musique. En même temps, j'ai mieux compris que ce qui m'intéressait beaucoup, c'était le sentiment de ne pas avoir affaire à une idée - on dirait aujourd'hui un concept - illustrée ou simplement concrétisée par des images et des sons, mais plutôt à une intuition immédiatement sensible de la fragilité de la vie, sans passer par un discours explicite. Et ça, j'ai beaucoup aimé parce que je l'ai senti immédiatement.
Et puis d'écoute/visionnement en écoute/visionnement j'ai compris que cette harmonie que j'évoquais plus haut tenait à un effet de halo inhérent aux images et à la musique. Tout le contraire d'une perception objective ou scientifique ou rationnelle du monde. Voilà ce que je crois avoir compris : ce qui fait l'unité des divers composants de cette création, c'est un certain effet de halo.
Je vous livre mon hypothèse... A chacun d'en vérifier pour lui-même le bien fondé ou de se donner une autre interprétation, car justement comme "Coquelicots" est bien à proprement parler une création les possibilités d'interprétation sont multiples.
https://vimeo.com/67398024
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