samedi 27 avril - à propos de "tanguillo" de françois salque et vincent peirani
A peine a-t-on eu le temps de commencer à prendre des repères dans l'écoute de "Thrill Box", de Vincent Peirani, Michel Wollny et Michel Benita, que déjà apparait "Tanguillo" du même Vincent Peirani avec François Salque et, comme invité, Tomas Gubitsch. A titre informatif, je rappelle que "Thrill Box" est une production ACT alors que "Tanguillo" sort sous label Outhere Music France / Zig Zag Territoires. Précisons encore que V. Peirani joue de l'accordéon et de l'accordina sur le premier, où il fait aussi entendre sa voix, que M. Wollny joue du piano et du Fender Rhodes, que M. Benita est à la contrebasse. Quant à "Tanguillo", accordéon pour V. Peirani, violoncelle pour F. Salque et guitare pour T. Lubitsch.
J'ajoute que, dans le dernier "Télérama", n° 3302, 27 avril - 3 mai, Michel Contat dit, page 53, tout le bien qu'il pense de "Thrill Box". Autrement dit qu'il n'en pense que du bien.
Encore un mot : même si je reste admiratif devant "Thrill Box", je suis content de voir, avec "Tanguillo", se reconstituer le duo Salque-Peirani, que j'avais déjà admiré à l'écoute du cd "Est", avec un texte de présentation hyper-intelligent, mais aussi à Trentels en direct live. Un très grand moment ! On peut se donner une idée du-dit duo avec le document YouTube ci-dessous.
http://www.youtube.com/watch?v=LNrAc2ddI9s
Pour l'heure, après plusieurs écoutes de "Tanguillo", j'ai beaucoup de mal à analyser mes propres impressions. C'est comme si j'étais dans une phase d'immersion. Et je ne suis pas le seul. Françoise, idem. Pour preuve, alors qu'hier nous écoutions pour la énième fois les morceaux de cet album, nous nous sommes rendu compte tout à coup que nous restions cois. Muets, quoi ! Ou, si l'on préfère, comme deux ronds de flan. C'est assez rare pour être signalé. D'habitude, on n'hésite pas à confronter et surtout échanger nos impressions, quitte à reprendre l'écoute d'un morceau parce que nos commentaires l'ont brouillée.
Et puis, pour analyser un objet, ici l'album, il faut bien avoir une idée de la manière dont il se décompose, dont il a été composé. Je m'explique : l'analyse, contrairement à ce que l'on pourrait croire, n'est pas une opération simple et universelle. Elle ne s'applique pas indifféremment à n'importe quel objet. Pour être efficace, elle doit connaitre et respecter l'organisation de ce quelle réduit en pièces. Par exemple, à la maison, il me revient souvent de trancher du saucisson pour l'apéro, de faire des tranches de roti ou de tailler un gigot ou de découper un poulet. Eh bien, je vous le dis, on n'analyse pas le roti comme le poulet ou a fortiori une épaule d'agneau. Bref ! Pour l'instant, je suis tellement pris par "Tanguillo" que je n'ai pas le moindre recul pour savoir par où commencer pour l'analyser ou, du moins, analyser mes impressions.
Tout de même, on peut noter que sur les treize titres un, le 1.- "Travesuras" est signé par T. Gubitsch ; que le 2. est signé par Piazzolla et J. Menniel :"Seul Tout Seul / Armaguedon" ; que Piazzolla est l'auteur de trois pièces - titres 4, 5, 6 - du "Grand Tango" et de "Café 1930", titre 7 ; qu'enfin V. Peirani a composé en 3 "Untitled Suite", en 9, 10, 11 et 12 les parties I à IV d'une "Suite en 5" et qu'enfin l'ensemble se termine avec une mélodie traditionnelle :"Le chant des oiseaux".
Bon ! Déjà que je n'ai pas de goût pour les palmarès, en l'occurrence je suis bien incapable de dire si je préfère tel morceau à tel autre ou même s'il y en a un que je préfère à tous les autres. Je prends tout... Avec ce sentiment d'avoir affaire à deux musiciens d'une grande intelligence, ce qui dans mon esprit ne signifie pas intellectuels...
J'ajoute que, dans le dernier "Télérama", n° 3302, 27 avril - 3 mai, Michel Contat dit, page 53, tout le bien qu'il pense de "Thrill Box". Autrement dit qu'il n'en pense que du bien.
Encore un mot : même si je reste admiratif devant "Thrill Box", je suis content de voir, avec "Tanguillo", se reconstituer le duo Salque-Peirani, que j'avais déjà admiré à l'écoute du cd "Est", avec un texte de présentation hyper-intelligent, mais aussi à Trentels en direct live. Un très grand moment ! On peut se donner une idée du-dit duo avec le document YouTube ci-dessous.
http://www.youtube.com/watch?v=LNrAc2ddI9s
Pour l'heure, après plusieurs écoutes de "Tanguillo", j'ai beaucoup de mal à analyser mes propres impressions. C'est comme si j'étais dans une phase d'immersion. Et je ne suis pas le seul. Françoise, idem. Pour preuve, alors qu'hier nous écoutions pour la énième fois les morceaux de cet album, nous nous sommes rendu compte tout à coup que nous restions cois. Muets, quoi ! Ou, si l'on préfère, comme deux ronds de flan. C'est assez rare pour être signalé. D'habitude, on n'hésite pas à confronter et surtout échanger nos impressions, quitte à reprendre l'écoute d'un morceau parce que nos commentaires l'ont brouillée.
Et puis, pour analyser un objet, ici l'album, il faut bien avoir une idée de la manière dont il se décompose, dont il a été composé. Je m'explique : l'analyse, contrairement à ce que l'on pourrait croire, n'est pas une opération simple et universelle. Elle ne s'applique pas indifféremment à n'importe quel objet. Pour être efficace, elle doit connaitre et respecter l'organisation de ce quelle réduit en pièces. Par exemple, à la maison, il me revient souvent de trancher du saucisson pour l'apéro, de faire des tranches de roti ou de tailler un gigot ou de découper un poulet. Eh bien, je vous le dis, on n'analyse pas le roti comme le poulet ou a fortiori une épaule d'agneau. Bref ! Pour l'instant, je suis tellement pris par "Tanguillo" que je n'ai pas le moindre recul pour savoir par où commencer pour l'analyser ou, du moins, analyser mes impressions.
Tout de même, on peut noter que sur les treize titres un, le 1.- "Travesuras" est signé par T. Gubitsch ; que le 2. est signé par Piazzolla et J. Menniel :"Seul Tout Seul / Armaguedon" ; que Piazzolla est l'auteur de trois pièces - titres 4, 5, 6 - du "Grand Tango" et de "Café 1930", titre 7 ; qu'enfin V. Peirani a composé en 3 "Untitled Suite", en 9, 10, 11 et 12 les parties I à IV d'une "Suite en 5" et qu'enfin l'ensemble se termine avec une mélodie traditionnelle :"Le chant des oiseaux".
Bon ! Déjà que je n'ai pas de goût pour les palmarès, en l'occurrence je suis bien incapable de dire si je préfère tel morceau à tel autre ou même s'il y en a un que je préfère à tous les autres. Je prends tout... Avec ce sentiment d'avoir affaire à deux musiciens d'une grande intelligence, ce qui dans mon esprit ne signifie pas intellectuels...
1 commentaires:
l'écoute de l'extrait youtube vous donne bien raison ce duo me plaît beaucoup, avec EST je les avait extrêmement appréciés. De plus je trouve, au fur et à mesure de mes découvertes que le violoncelle et l'accordéon vont si bien ensemble d'autres l'ont prouvé et eux s'y joignent très très bien.
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